Moi aussi j'aimerais bien qu'un physicien résolve ton paradoxe. Ne compte pas sur moi. Je ne connais (un tipeu) la notion d'entropie que dans un contexte de probabilités ou de codage. Entre l'entropie et l'information (concernant, la valeur d'une variable aléatoire), la relation est analogue à celle qu'il y a entre l'énergie cinétique et l'énergie potentielle (pour un mobile en chute libre). La somme des deux est constante.
Pour l'entropie en thermodynamique, j'en suis tout à faut au b a ba.
Je pense que ceux qui prétendent qu'il y a moins d'entropie dans la suite 11111111110000000000 que dans la suite 0010111001111001011 (suite quelconque) jouent dans le terrain glissant des probabilités subjectives. Une suite remarquable a moins d'entropie qu'une suite non remarquable? Mais que fait-on des suites qui sont remarquable pour moi et pas pour toi? J'ai l'impression qu'il y a beaucoup de "subjectif" en entropie-physique.
Je suis plus à mon aise quand le cadre de référence est mieux défini.
Denis