Rien de plus naturel: qui parmi les sceptiques les plus endurcis peut jurer, "en son âme et conscience", ne jamais s'être senti angoissé à l'idée de ne plus être là un jour, ou ne pas avoir souffert de l'idée que l'on ne verra plus jamais un proche ?
Les problèmes arrivent lorsqu'on adopte comme une vérité absolue cette idée de survie après la mort et surtout lorsqu'on y accole toute une imagerie religioso-ésotérico-extraterrestro-quelque chose ...