Re: Re:Y à t'il un physicien dans la salle ?.... --
BOB/Sebastien: Ddans "190-108.GIF" il est souligné:
"Les champs de gravitation naturels différents, au point de vue algébrique, du champ centrifuge de la plate forme" Ce qui conduit au résultat de la variation de pi, avec l'objet d'une tonne en question. "au point de vue algébrique" veut dire que mathématiquement, le traitement des deux cas est différent.
GATTI: Bon !...On va reprendre tout à zéro et on prendra le temps qu'il faudra en plusieurs leçons . Ma crédibilité est en jeu et dieu sait combien mes élucubrations en relativité et en quantique sont observées par des gens malpolis et incultes , prompt a persifler mais totalement ignares sur ces questions. De toute façon ce n'est pas du temps de perdu car beaucoup de physiciens de haut niveau y trouveront du grain à moudre.
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Leçon n°1
La phrase de Paul Couderc citée ci-dessus n'a pas de verbe (c'est une faute de français) mais cela ne change rien au fait qu'elle traduit bien la pensée profonde d'Einstein qui est plutôt nébuleuse dans votre esprit. Pour y mettre de l'ordre je vous dis ceci:
1°) Le physicien relativiste doit différencier deux sortes de champs gravitationnels :
- a) Les champs naturels
- b) Les camps artificiels
2°) Pour y voir plus clair le physicien relativiste doit prendre en compte l'étude de trois cas de figure différents:
-a) étude des champs naturels isolés
-b) étude des champs artificiels isolés
-c) étude d'un champ artificiel " imbriqué" dans un champ naturel
---------------------------------fin de leçon n°1-----------------------
Si vous êtes d'accord faite le moi savoir et nous passerons a la deuxième leçon pour tirer au clair cette histoire de pi .L'interprétation farfelue que vous donnez mérite une réflexion commune plus poussée étant donné que les répercussions de celle-ci sur la connaissance fondamentale.
Francis GATTI
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