2) Euh, non, c'est pas l'«animalité» de l'homme qui est le tabou.
3) La «dignité humaine» c'est pas une chose, c'est une attitude -- c'est-à-dire que ça «existe» seulement dans la mesure où on la met en pratique. C'est un élément de l'organisation sociale des groupes, qui se complexifie avec la diversification des modes de relation entre les membres (division du travail, etc.). Tout ça se joue au niveau symbolique, en plein là où le concept de race est le plus coriace.