C'est G.M. Edelmann et c'est "biologie de la conscience" (typo, je sais, dans le 2e cas).
Une meilleure référence pour soutenir l'idée que le cerveau n'est pas une sorte d'ordinateur est R. Penrose, 1995, "Les ombres de l'esprit, à la recherche d'une science de la conscience".