F.Tremblay:«Quels "faits" ?»
André:Par exemple, dans votre article sur le "déclubage" du territoire québécois, vous laissez entendre que cette opération a porté atteinte aux pourvoiries, ce qui est faux. De plus, vous affirmer que les clubs privés assuraient la protection de la faune alors que ces clubs s'appropriaient l'usage exclusif de vastes territoires publics pour une petite minorité qui avait obtenu ce privilège par des contacts politiques. La seule façon dont la faune était protégée était due au fait que chaque membre braconnier avait un tel territoire à sa disposition qu'il lui était impossible d'anéantir le cheptel.
Par ailleurs vous ne dites rien à propos des ZEC (zones d'exploitation contrôlées) qui assurent la gestion des anciens territoires de club tout en permettant à tout citoyen d'accéder à ces ressources. En plus, à l'appui de votre position, vous faites allusion aux permis de pêche commerciale accordés par le gouvernement fédéral, ce qui n'a absolument aucun rapport avec la question du déclubage et de la pêche sportive.
F.Tremblay:«Je n'ai jamais dit que j'étais pour la démocratie ou le totalitarisme. Je ne supporte dans tous mes textes que le constitutionalisme et le minarchisme.»
André:Je me suis mal exprimé: j'avais très bien compris que vous étiez contre la démocratie. Ce que je veux dire, c'est que puisque nous sommes actuellement dans un sytème démocratique comment comptez-vous instaurer votre propre système politique autrement que par la force?
André
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