"Vous n'êtes pas le premier, et de loin, à tenter cette manoeuvre essentiellement rhétorique. De plus, croyez-vous réellement qu'aucun sceptique ne se soit questionné là-dessus avant aujourd'hui?"
Bien, j'ai cherché sur internet et j'ai trouvé que d'autres personnes s'intérogeait sur le scepticisme. C'est un sujet qui m'intéresse beaucoup.
1) «Pensez-vous que l'emploi de la méthodologie critique pour considérer le "vrai" réussit réellement à découvrir le "vrai" de façon authentique?»
"Le «vrai authentique», connais pas. Donnez une définition SVP. En attendant, disons qu'un sceptique c'est quelqu'un qui se demande toujours si ce qu'il pense savoir est la meilleure approximation possible de la réalité."
Non, je ne répondrai pas tout de suite, définissez-moi d'abord ce qu'est le "vrai sceptique", ensuite je le comparerai avec le "vrai authentique".
"Pour l'instant, les hypothèses possibles sont:
a. vous connaissez déjà le «vrai authentique», et vous pouvez y mesurer le savoir scientifique pour voir si il est conforme
b. vous ne connaissez pas le «vrai authentique» mais disposez d'une meilleure méthode que la méthode scientifique pour y arriver
c. vous parlez à travers votre chapeau"
Je veux véritablement comparez le "Vrai authentique" avec le "Vrai sceptique". Il convient en premier lieu de définir ce qu'est le "Vrai sceptique" pour vérifier d'embler si ce "vrai sc." ne ce contredit pas lui-même.
2) «Quelles sont les limites du scepticisme?»
"Je ne pense pas que vous comprenez vraiment ce que nous entendons par «scepticisme». En tant qu'«approche des affirmations au sujet de la réalité» je ne vois pas de limite intrinsèque. Il n'y a pas de mal à vérifier tout avant de gober. Par contre, évidemment il y a une limite au sens où le sceptique rationnel moyen accepte qu'on a marché sur la lune en 1969. Il accepte également que la vision est basée sur l'analyse par l'oeil et le cerveau de photons réfléchis par des objets réels."
Sur quoi vous basez-vous pour considérer le sujet à l'intérieur de la réalité ? Vous savez peut-être que la critique Nietzschéenne serait très dur à l'égard de ce que vous considérer comme étant le "sujet".
En ce qui concerne la limite intrinsèque du scepticisme, sa limite tient justement qu'il ne veut pas ce soumettre à son propre raisonnement.
3) «Quelles sont les avantages et les inconvéniants de son utilisation?»
"avantages: c'est une très bonne pelle à fumier.
inconvénients: peut donner le vertige aux esprits trop confortables."
La critique scientifique du scepticisme semble donner le vertige à tous ceux qui sont installés trop confonrtablement dans la méthodologie scientifique.
"En conclusion, y a pas de mal à être sceptique du scepticisme, comme vous dites. Au contraire. Il faut toujours être sur ses gardes. C'est pas parce que quelqu'un doute de quelque chose qu'il ou elle a automatiquement raison. Avoir raison c'est pouvoir démontrer. Démontrer c'est utiliser une logique économe pour expliquer des faits empiriques rigoureusement observés (voyez comme je définis mes termes?). Donc être sceptique c'est dire, «où sont vos faits?»"
C'est justement cela que je désir intéroger. L' "avoir raison" des sceptique via une démonstration par des preuves, des faits, est-il authentique ?
En d'autre mots, parce que vous avez la preuve, vous croyez avoir raison. En êtes-vous certain ?
Anonyme
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