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ahahah


Posté par lucca , Sep 21,2002,20:03 Index  Forum

VOICI CE QUE VOUS DETESTEZ...

WILHELM REICH CONTACT WITH SPACE DEBUT DE MA TRADUCTION

FAITES DONS VOTRE AUTOCRITIQUE QUE VOUS DESUREZ TANT...

CHAPITRE I

DEUX "ETOILES" DISPARAISSENT
La planète Terre habrite-t'elle des Extanéens?

Le 20 Mars 1956, à 22 heures, une pensée très lointaine me pénétra qui, je crois ne me quittera plus jamais: Suis-je un homme de l'espace? Est-ce que j'appartiens à une nouvelle espèce terrienne, fruit d'une étreinte entre un homme de l'espace et une femme humaine? Mes enfants sont ils les premiers d'un espèce nouvelle interplanétaire? Ce mélange de société interplanétaire a t'il déja existé sur cette planète, comme le melting pot des différentes nations aux Etats-Unis il y a 190 ans? Cette pensée concerne-t'elle des évènements qui arriveront dans l'avenir? Je revendique le droit et le privilège de me poser de telles questions et de poser ces questions sans être menacé d'être emprisonné par quelque agence administrative de société.

Avec cette question, quelque chose de moi même est rapidement retombé à sa place, qui, quatre jours plus tôt me rongeais d'incertitudes; le désir de répondre à ces questions par oui m'est irresistible. Toutefois, je ne devrai pas me prononcer avant que les faits aient parlés. En attendant, je dois émmettre cette hypothèse: ce n'est pas au dela des possibilités actuelles qu'hommes de l'espaces aient aterri (ou aterrisseront) sur terre et commencèrent à pocréer ici pour quelque raison les concernant.

Cette idée n'est pas tant étrangère à l'espèce humaine qu'elle apparaît à première vue.
En 1951, je crois, Hollywood sortit un nouveau film titré "Le jour ou la Terre tiendra debout" (The day the earth stood still). Dans ce film un vaisseau spatial aterrissait sur terre, un homme de l'espace, semblant comme un être humain mais très intelligent, allait à la rencontre des terriens. Il tomba amoureux d'une terrienne, se fit des amis avec son jeune fils. Il conaissait les mathématiques mieux que les plus éminents génies du siècle. La panique survint lorsqu'il se révéla capable de stopper tout traffic sur la terre en pressant un simple boutton. A la fin, les hommes lui révélèrent ce qu'ils faisaient toujours dans ce cas; l'armée se chargerait de le traquer pour le tuer, qu'il repose mort sur la route. Il fut alors porté à son vaisseau par un robot et un type de médecine unconnu sur terre le ressucita.

Le film était excellent. Il tentait de préparer la population à des évènements extraordinaires à venir. Il avait les bonnes et non les mauvaises idées à propos du fonctionnement de l'énergie cosmique utilisée pour la propulsion des vaisseaux spatiaux. Il représentait l'homme de l'espace semblable à l'homme de la terre, mais différent dans son attitude avec les femmes, les petits garçons,etc. Il admettait que d'insolubles problèmes de mathématiques seraient résolus par sa conaissance de l'énergie vitale. Il n'y avait pas de doutes que l'énergie vitale était présentée: Les lumières du vaisseau s'allumaient lors de certains mouvements précis des doigts; l'éclairage de tubes vides peut actuellement être réalisée en y approchant de forts champs d'énergie vitale biologique.

A travers tout le film j'avais l'impression qu c'était un peu de mon histoire que l'on racontait ici; même l'expression et le regard des acteurs me rappelaient moi et des gens que j'avais connu les quinze à vingt années auparavent.

Malgré cela, je n'ai actuellement aucune preuve que je puisse être la progéniture de ma mère et d'un homme de l'espace. Avec ou sans ces intentions, une nouvelle histoire vient de commencer, me positionnant au centre des problèmes spaciaux: entre 21h40 et 10:45 le 12 Mai 1954, j'ai établi un contact avec des objets lumineux dans le ciel lors de l'utilisation de mon CloudBuster.

En 1954, nous avons enregistré ces planètes le soir:
Venus: du 30 janvier au 15 novembre
Jupiter: du 1er janvier au 30 juin
Saturn: du 26 avril au 5 novembre

Lattitude de boston: Position des planètes*

Venus Jupiter

Mars 15.......................18h55 1h10
Avril 1.......................19h37 12h13
Avril 15.......................20h13 23h25
Mai 1.......................20h53 22h35
Mai 15.......................21h24 21h53
Juin 1.......................21h49 21h02
Juin 15.......................21h55 20h20

Pendant ces heures et pour la première fois dans l'histoire de l'humanité et des sciences, sur terre, l'homme a vu deux étoiles à l'ouest disparaître plusieurs fois qhand l'énergie cosmique fut tirée depuis elles. The choc du résultat de cette expérience n'était pas assez grand, nous la recommençâmes jusqu'au 10 octobre 1954. La raison des hésitation à la poursuivre était la peur qu'elle déclenche une guerre inter-planétaire.
L'évènement était gardé secret.

Je suis un homme modeste, droit et rationnel. Je tente de minimiser mon statut plutôt que d'utiliser mon potentiel entier comme un scientifique. Je hais l'irrationalisme mystique; mais je crois que même dans l'irrationalité la plus flagrante il se trouve une part de vérité rationelle; il n'y a rien dans ce monde d'hommes qui ne soit pas vrai d'une manière ou d'un autre, quelquepart, même déformé à l'extrême; ceci est vallable enver mes étudiants. D'autre part, je n'ai jamais permis les mystifications irresponsables d'affaires sérieuses comme les contacts interplanétaires qui aurait rendu confuse nôtre grave tache.

Le rapport Rupplet à propos des OVNI révèle clairement l'impuissance des méthodes mécanistes se saisissant des problèmes posés pas les extra-terrestres. Lénergie d'orgone cosmique que ces êtres vivants utilisent dans leur technologies est au delà des possibilités scientifiques mécaniques depuis que les lois cosmiques ont étés reconnues non mécaniques mais "fonctionelles". Même les mathématiques nécessaires pour formuler ces problèmes et les rendre technologiquement utilisables, ne peuvent utiliser aucunes des vieilles méthodes mécaniques pour faire face aux foctions de l'énergie d'orgone. (voir: Orgone energy bulletin, 1950-1953)

L'impuissance de la pensée mécaniste apparaît dans la tragique imperfection de nos plus rapides avions de chasse lorsqu'ils tentent de poursuivre et rentrer en contact avec des OVNIs. Etre inévitablement distancé n'est pas bon pour la fierté millitaire.
La conclusion semble correcte: Les méthodes mécaniques de locomotion doivent être considérées comme non aptes à copier celles des soucoupes volantes. Ni l'une ni l'autre des prolusions à savoir l'hélice ou la turbine ne pourront nous transporter dans l'espace.

Le contact avait été facilement obtenu ce jour fatidique avec ce qui semblait être un type hétérogène unconnu d'OVNI. J'ai hésité pendant des semaines à pointer mes tubes de CloudBuster vers une "étoile," le CloudBuster à soudainement été changé en pistolet spatial (SPACEGUN). Depuis, nôtre approche des problèmes spatiaux devint positive, affirmative, confiants d'utiliser prudemment nos données archivées et classées.


De la necessité de nouveaux outils de conaissance.

Lorsque j'ai vu l'étoile disparaître de l'ouest quatre fois de suite, nous avons d'autant plus abandonné la conaissance du vieux monde humain que lors de la découverte de l'énergie d'orgone entre1936 et 1940. Depuis lors et à propos de tout, tout était possible. Rien ne pouvait plus longtemps être considéré comme "impossible."
J'ai dirigé le viseur des tubes, connectés avec la fontaine profonde, vers une étoile ordinaire et elle a disparu quatre fois de suite. Il n'y avait pas de doute à propos de cela. Trois autres personnes l'ont vu. Seule une conclusion était possible: La chose vers laquelle nous avons visé n'était pas une étoile. C'était autre chose; un "OVNI".

Je dois rappeler au lecteur qu'en mai 1954 J'ai lu seulement un rapport sur les OVNIs; Je n'ai pas étudié quoi que ce soit à ce sujet. Je ne conaissait pratiquement rien à ce propos. Mais mon cerveau, habitué à s'attendre à des surprises en recherches naturelles, était ouvert à quoi que ce soit qui se présente vrai. Je devais d'abord me convaincre moi-même. Beaucoup de gens tentent d'obtenir leur accord subjectif avant d'être eux même convaincus. J'ai longtemps eu l'espoir de convaincre quelqu'un pataugeant tout le jour dans les mécanismes ou le mysticisme. Les autorités étaient absentes, personne n'était là pour confirmer cette observation.

(en mai 1954, quelques semaines plus tôt, l'assaut de l'American Drug Buisness avait simplement commencé à nous ennuiyer.) Nous étions tranquillement en train de travailler à essayer de comprendre ce qui s'était passé tôtce matin de 1951 quand l'expérience Oranur à été faite, faisant irruption dans nos vies; nous étions toujours en train d'essayer d'extraire humainement, émotionellement et scientifiquement dessous l'avalanche de faits nouveaux, observations, idées, qu'Oranur à déposées sur nôtre chemin. Nous n'avions pas l'intention de percer un trou dans le mur qui sépare depuis des millénaires l'homme de l'univers qui se trouve autour de lui. Nous étions pressurisés à l'idée de sortir indemme du déluge d'évènements. Un ordre de la cour des états-unis interdit la poursuite de toute recherche sur l'orgone, publications comprises.
Nous avions ainsi à faire face à un déluge de nouveaux faits incroyables, notre propre misère émotionelle et physique doublée de l'attaque des cerveaux mécaniste américains et russes. Cela nous noua avec notre recherche basique à un seul fait, nettement:
Les hommes de la terre ont découvert l'espace comme il était réellement; pas comme la science l'a conçu dans le passé.

Voici la liste des évènements majeurs ayant précédé la disparition d'une "étoile":
Le 30 décembre 1953, un de nos coéquipiers signala une "localisation," un object orange volant du sud-ouset vers le nord-est.

Le 9 janvier 1954, j'ai vu le film d'Orson WELLS "La guerre des mondes", une approche plutôt réaliste de l'émergence planétaire. Le film considérait encore que la guerre galactique consistait en une bruyante guerre de robots et de machines; cette guerre sur la terre était faite pas des intelligences extra terrestres qui avaient les bras verts, des griffes aux mais, et d'autres fantaisies sorties des cauchemars humains.
L'auteur n'était pas au courant des propriétés insidieuses, silencieuses, de l'émaciante nature d'une guerre d'usure: éteindre l'énergie de vie d'une planète peuplée de végétation et d'êtres vivants. Par ailleurs, la représentation de aterrissages était réaliste, comme l'effondrement des buildings. Nous devions être dans le vrai en admettant que les effondrements étaient filmés avec une vive accélération d'un phénomène qui se produit invisiblement et en réalité actuellement. La panique du peuple était plus due à l'accélération des phénomènes qu'aux phénomènes eux-mêmes. En réalité, les rochers étaient en train de s'effondrer en même temps aux U.S.A, mais personne n'y faisait attention, car le processus était très lent, tellement lent et la population qui observait tellement évasive et peureuse de le faire savoir.

Durant l'année 1954, les préparations de notre expédition en Arizona et d'autres parties du sud-ouest des états unis étaient en cours, financièrement handicapées par les attaques de la Food and Drug Compagny, qui nous empèchaient de vendre nos produits pour l'usage médical de l'energie d'Orgone.

L'été 1953, j'ai débuté la recherche chimique préatomique afin d'obtenir si possible, une réponse au problème Mélanor, la substantce noire comme de la poudre qui avait envahi l'atmosphère d'Orgonon. Cela attaquait et détruisait les rochers, asséchait l'atmosphère, nous rendait misérables, assoiffés, nous donnait des cyanoses et autres malladies de toutes sortes.

En avril 1954, sur la base de nos trouvailles, Monsieur McCoulough alla à Yuma, en Arizona, avec un CloudBuster pour étudier les nuages DOR et Melanor complètement développés dans le désert. Les résultats en vallèrent la peine, ils permirent de connecter les problemes des espaces sidéraux avec la chimie pré-atomique. C'est Mr McCoulough qui le premier, repéra le plafond de dor dans le désert, cela permit de confirmer que les nuages qui stagnaient au dessus d'Orgonon étaient bien des nuages de DOR.

Cela complèta nos observations extraordinaires. Elles aboutissèrent à l'effrayant évènement du 12 mai 1954: la disparition d'une étoile. Elle aiguisa également nos sens et nous prépara à créer de nouvelles méthodes pour observer correctement Ea. C'est vers la fin de 1953 que j'ai lu le rapport Keyhoe's concernant les UFOs. Cela me frappa à la première lecture que personne n'a jusqu'à présent fait une série de simples photograhies du ciel la nuit. C'est au moins l'impression que rendent tous les rapports publiés sur le sujet y compris le Rupplet (1956). Les rapports sont pleins d'informations concernant les témoins occulaires, de détails de positions, d'heure , de directions et de choses similaires. Mais personne, comme je peux en juger, n'a pensé à faire des photos systématiques du ciel la nuit. La conclusion a semblé être: personne ne sait quoi photographier et quand.

Une autre caractéristique frappante est l'effort frustrant de nos pilotes de chasse de faire la course à ce qui sont manifestement des vaisseaux biens supérieurs technologiquement. Au bout du compte, j'ai eu l'impression que l'ambition compétitive et l'anxiété sociale des "autorités" n'étaient pas très sobres, que l'approche systématique sapait les efforts vis à vis des problèmes OVNIs. A ce point que cela était plus facile pour les détracteurs névrotiques de nier la totalité de l'affaire sérieuse des OVNI comme une impossibilité et de désigner ceux qui avaient émis ces observations de lunatiques, cancres, escrocs ou pire encore. Nous comprenons de pourquoi le sérieux pilote était distancé par l'OVNI qui a du se sentir coinçé, ridiculisé, blessé par l'orgeuil.
Tout cela sans aide, bien sur.

De ce point de vue, l'agression de la food and drug agency à propos de l'orgonomie était plus qu'une expression de terreur à propos de l'énergie cosmique de la part de l'homme mallade. "Cela n'existe pas" cette découverte était de ce point de vue encore une fois un "charlatanisme", un "lunatisme".

Cela doit être une bonne chose que ces premières impression soient à l'origine de toutes nouvelles techniques d'observation. Quantité de mesures exactes peuvent attendre sans que cela nuise jusqu'a ce qu'une seule nous dirige vers des corrélations
caractéristiques entre observations du ciel de nuit.

J'ai donc encouragé mes assistants à ne prendre ni notes ni pohtographies, à ne pas faire de tentatives déterminées par ce qu'ils pensaient juste par rapport à la base de données des observations; mais plutôt de se détendre et simplement regarder le ciel, comme il était, hasardeusement, laisser nes nouveaux faits venir d'eux même plutôt que courir désespérément après l'insaisissable, l'étrange.

Cette idée se révéla payante à long terme. Nous apprenions graduellement à repérer les OVNIs au milieu des millions d'étoiles et à vérifier nôtre jugement avec le SPACEGUN et l'appareil photo. Par ce type d'approche résultèrent les trouvailles reportées ici. Nous faisions toujours attention à laisser les nouvelles observations nous guider de force. Les observations étaien rejetées jusqu'à ce qu'elles se renouvellent encore et encore, qu'elles soient indéniables. Les observations douteuses n'étaient cependant pas négligées. Nous nous refusions également à entasser les évènenements incompréhesibles. Nous devions d'abord nous créer un point d'appui solide. Avant de quantifier, nous devions qualifier ce qui serait plus tard mesurable exactement. Je sentais que pour plaire aux "autorités" les observateurs surchargaient leur rapports vainement, même avec des détails fallacieux. Ce qui était de toute première importance, ce n'était pas ce qui était un ONVI et à quel moment, mais l'impression que cela procurait, comment cela affectait l'observateur émotionellement et physiquement; pas seulement si l'observateur était un pilot_les pilotes peuvent, comme tout le monde, réagir irrationellement_mais si il s'exprime honnêtement; pas l'altitude exacte de l'OVNI, qui n'a ici pas d'importance, mais si ces mouvements étaient extraordinaires, inconnus. Et en dernier lieu et non le moins important, pour obtenir des résultats compatibles, sans se soucier de la possibolité ou non d'un tel évènement, il doit assumer que l'objet observé était réel et digne d'importance. C'est un non sens de manger un sandwitch et de dire en même temps qu'il n'existe pas. S'il n'existe pas, mets-le de côté, ne le mange pas, reste silencieus, c'est le moins qu'on puisse dire.

Nous avons ici une lignede conduite à observer dans l'étude des OVNIs. Elle est incomplète, elle émergea du processus d'observationdu ciel de ces dernières années.
Elle a permis de corroborer les résultats avec ceux de la recherche pratique dans le désert, des nuages DOR et des pluies.

Nous avons compris avec ces règles d'observation que nous devions faire confiance en nos sentiments et en ceux des autres. Nous ne nous attarderons pas plus longtemps sur la fuite de l'opinion publique, sur la non-existence "d'autorités" dans ces affaires extrèmement inconnues et étranges. Nous deviendrons graduellement experts en la matière de la "Conaissance du Futur."

Nous étants nous-mêmes libérés de la dépendance de l'opinion publique et de nôtre propre désir de plaire, d'impressionner ou de convaincre des "autorités" inexistantes; ayant appris comment compter seulement sur nos observations, nous devons procéder en accord avec nos observation et experiences seulement.

Premièrement, nous nous intallons dans une région de la planète et de son ciel tel quels, continuant dans le sens de nos opérations. Je connais la région d'Orgonon approximativement dans un rayon de 100 miles. Tous les jours, je fais des voyages de routine dans cette région, équipé de compteurs Geiger, de jumelles, d'appareils photos et d'autres équippements necessaires me permettant d'observer les nuances de variations dans la végétation, si les changements prennent quelques semaines ou quelques jours, si la montagne joue son rôle avec le flottement des nuages; la forme des nuages au dessus de certaines zones; "sentir" la descent de ce qui pourra peut-être être appellé plus tard des "poches de DOR",ect. Cela me rend également potentiellement adapté aux changements particuliers aux changements d'arrière-plan caractérisant la région. Par exemple mon rapport sur les rochers noircissants (OEB,1952), qui parle d'un lieu grandement affecté dans une région proche d'une activité de fond normale dans le Maine proche de Rumford sur les routes 17 et 2. Qui sans la conaissance de la forme de la chaine de montagne et la relation avec la localisation d'Orgonon beaucoup de choses m'airaient échappées.

Lors des opérations EA en Arizona, 1954/1955, commes lors de celles de Washington 1955/1956 une certaine région avait été désignée territoire de recherches,
la règle stricte était, rouler sur une cetraine route chaque jour et reveir à la base, 80 à 100 miles en arizona, 40 à 50 en Maryland, pour se familliariser avec la région, bien connaître sa végétation, des arbres seuls aux groupes d'orages particuliers, certaines parties du désert, certains lits secs de rivières à flancs de montagnes, les parties basses des rivières dans les vallées, ect. Pendant ces opérations, nous avons appris à esquiver certaines prétensions d'exactitude. Photographier immédiatement ou mesurer quelque chose sans savoir ce que l'on mesure, pourquoi ou dans quel but, écrire des protocoles sans fin, portait à confusion, n'était pas le vrai savoir. La règle était connaître l'objet des recherches uniquement en observant et en coordinant ses observations, avant que les test quantitatifs ne soient faits. Cette cruciale coordination securisée semblable à celle observée lors de l'étude des formes de nuages ou de l'accumulation de DOR dans la région. Cela mène à d'importantes conclusions vis-à-vis des effets de l'EA sur le climat et la végétation.

Il y a un petit usage possible pour évaluer les propriétés quantitatives d'un objet inconnu dans un domaine avant d'avoir obtenu de suffisantes observations à propos de son apparence, ses qualités basiques, son fonctionnement, son comportement, sa dynamique interne, ect. Cela ne nous renseigne pas seulement à propos de l'inconnu;
cela nous prévient des vraies causes à surveiller. Cela nous donne l'illusion que nous savon quelque chose si nous pouvons déterminer exactement à quelle heure, minute, seconde, lattitude et longitude, ect., nous verrons l'inconnu. C'est important de savoir localiser les objeccts concernés. C'est sans ou de seconde importance, cela peut détourner l'intérêt des résultats inconnus considérés. Il n'y a pas d'intérêt à se tromper soi-même en gaspillant du temps à essayer d'être un "scientifique exact" en comptant le nombre exact de mots qu'un homme dit à la minute dans un certain immeuble à une certaine heure du jour, si c'est pour l'ennuyer et le conduire chez nous docteurs qui ne sauront pas soigner un mal sévère indiagnosticable pour nombre de physiciens. La première chose à faire est se relaxer, s'assoir, observer le patient, discuter avec lui et sentir son malaise, tout ce qui est tellement méprisé par les "scientifiques perfectionnistes" en tant que "psychologie" ou "mysticisme." Nombre de "scientifiques" ne sont pas du tout sientifiques. Ils ignorent le respect de ce qui est cru, brut, les règles de base de l'observation scientifique; les règles de base de l'observation intrinsèque observateur/observé; l'inévitable influence sensorielle et la pojection de la structure émotionelle de l'observateur sur l'observé. Un doute compulsif et névrotique en science doutera de tout et expulsera tout, cela ne fait aucun doute. Un scientifique rigide et arrogant rendra inaccessible à un esprit tempéré nombre de données sensorielles. Cela ne change pas tellement la situation que l'homme mallade montre sa compulsion son ignorance ou son arrogance derrière une fausse vénération objective.
Etre scientifique implique un esprit ouvert, prêt à accepter n'importe quoi si certaines condiions objectives se trouvent accomplies; pour être positiviste, et non pas négationniste dans l'examination de nouvelles réalités de connaissance. Il y a effectivement des banalités anciennes et bonnes, vraies sciences en soi.

Je présenterais sur les pages suivantes quelques dessins et photographies de phénomènes inconnus des sciences. Je ne les présente pas pour convaincre qui que ce soit. L'unique objectif étant l'explication des méthode utilisées dans la recherche EA.
J'omis les dates, localisations et données similaires afin de me concentrer sur les principes communs observés, et non sur les données secondaires de présentation hors de propos pour le moment. Cela nous aidera également à exclure les peureux, névrotiques, "scientifiques critiques" de la scène de nôtre sérieux débat.

Sythétiquement, les caractéristiques suivantes des object inconnus, EA dans notre terminologie, ont étés désignées comme importantes suites à nos observations célestes:


Différences entre EA(objets inconnus) et les étoiles

Connus Inconnus, EA, OVNI

1) Couleur des étoiles fixes: bleu acier; Couleur: Jaune à rouge ou blanc,
étincelantes les nuits claires; non flashantes, pulsatoires. Changent
étincelantes après la pluie. de couleur de jaune à rouge ou
vert et vice-versa.

2)Taille des étoiles fixes: plus petites Taille: principalement plus grosses que
que Jupiter. Jupiter.

3)Localisation connue, visible toutes les Localisation irrégulière après
nuits d'après l'orloge astronomique observation systématique, EA
connue. quelquefois absente, ou apparaissant
soudainement au milieu du ciel,
disparait quelquefois, ect.

4)Mouvement lent, prévisible. Mouvement quelquefois régulier accordé
à celui des étoiles ou planètes en ellipse.
Mais aussi déviant grossièrement en
vitesse et direction. Voir photographies
pour comparer aux étoiles fixes.

5)Les objects volants connus comme les Une EA apparaît comme une étoile à
avions volent à des vitesses connues l'horizon est, puis bouge lentement
trajectoires droites ou courbes; les ballons suivant l'horizon vers le sud et tombe
dérivent avec le vent, jamais contre. sous l'horizon à l'ouest. Les types
argentés changent soudainement de
vitesse, se déplacent contre le vent,
vacillent comme des toupies,
disparaissent soudainement, affectent les
appareils électro-magnétiques,
dispersent les nuages.

Les EAs s'attardent dans le ciel, sur les
inclinaisons des montagnes; maneuvrent;
donnent l'impression de regarder le sol
au dessous. Se déplacent souvent avec
le mouvement général des étoiles mais
ne suivent aucune règle particulière.

6)L'effet SPACEGUN assombrit mais ne Mise hors circuit de l'énergie qui les fait
fait pas disparaître. Seules des régions du suivre leur trajectoire, ils ralentissent
ciel s'obscurcissent quelquefois. Aucune diminuent, s'estompent, changent de
sensations spéciales. direction.

Aigreur, petit gout sur la langue, ou
perte d'équilibre lors de l'observation.

7)Les Meteorites traversent un bout du ciel Peuvent sembler être des météorites
en un éclat de lumière, à période courte,
survenant dans des directions irrégulières Les EAs sont seulement visibles avec de
et variées, en général vers le sol. puissantes jumelles, à très haute altitude
en observant longtemps certaines
étendues du ciel, elles bougent soit en
groupes syncronisés soit en successions
rapides au dessus de la même zone dans
la même direction, avec
approximativement la même vitesse
comme une formation millitaire, souvent
parallèles, pas perpendiculaires au sol.

EA est un nouvel évènement sans précédent dans nos vies. L'Humanité, excepté certains philosophes n'a aucune idée d'une possibilité de visites depuis l'espace. Les Terriens n'ont dévelloppé aucune vue, méthode ou outils scientifiques pour faire face à ce problème. De plus, ils ont développé dans leur progéniture une structure caractérielle et une sorte de pensée qui gène l'approche de faits nouveaux par le moyen de la ridiculisation, calomniant et interdisant, menaçant l'existence de pionnier dans le domaine de l'inginérie spatiale. De plus, nôtre nouvelle approche doit démarrer de zéro, comme si aucune science n'existait. L'homme, de retour de la lune, se demandant pourquoi il n'y a pas de coiffeur comme au coin de la 42ème rue à Broadway à New York dira: Il n'y a rien; point final. Pas "d'autorités publiques" sur la Lune, nous devons en créer. Il ny a pas d'autorités jugeant de ces nouveaux problèmes.

L'astronomie est partie de "rien". Et rien signifie ici les faits, comme les théories Coperniciennes et Képleriennes des cercles et ellipses "parfaites" ne sauraient s'appliquer aux vrais mouvementd du système solaire. Le Soleil avance pendant que les planètes "tournent." Il n'y a donc aucun mouvement circulaire ou elliptique autour du soleil. Cercles et ellipses sont nécessairement remplacés par les ondes rotatives (spinning waves (KRW, ossilations) dans des relations variées par rapport au soleil, accélérations et décélérations irrégulières comme au point haut de la courbe oscillante, par des sentiers généraux courbés, ect. Cet exemple suffit à clarifier l'inévitable raison d'une nouvelle approche en astrophysique.

Par conséquent, il est compréhensible qu'un panel de scientifiques établissèrent en 1952 à l'écran la conclusion suivante vis-à-vis des OVNIs:

"Nous étions un groupe qui ne croyait pas à l'impossibilité pour d'autres corps cellestes d'être habités par des créatures intelligentes. Ce n'est pas impossible que ces créatures aient atteint un stade de développement leur permettant de visiter la Terre. Par ailleurs, il n'y a rien dans le célèbre rapport "Flying Saucers" que nous avons lu qui indiquerait que cela ait eu lieu." ("Report on Unidentified Flying Objects," 1956)

Ruppelt poursuit:
"le film Tremonton (un film actuel sur les OVNIs) à été rejeté en tant que preuve mais les experts ont laisse la porte ouverte en attendant une étude photographique supplémentaire des experts de la Marine (Navy), mais la marine n'a jamais confirmé le rapport."

Il est largement compréhensible que la Marine U.S n'ait jamais fait cela. On ne peut juger d'un élément pendant qu'on en vit un autre. Il faut vivre les choses pour en juger. Le problème reste enterré dans le vaste domaine de l'énergie de vie.

Malgré que les théories ici présentes soient fausses, qu'elles ne reflètent pas la réalité spaciale, les calculs sont corrects; les prédictions astronomiques, si je suis informé corectement, sont justes. Je ne sais rien à propos l'arrière scène des ces affaires dans le cercle astronomique. Mais il y a un petit doute quand à la confusion créée par les vieux noms donnés par les égyptiens et les grecs au "contellations". Ils doivent être abandonnés le plus vite possible, car ils sont fallacieux, cela nous permettra de regarder le étoiles sans désignations arbitraires.

J'avoue que je n'ai jamais pu me rappeller les différents noms d'animaux ou de Dieux; que je n'ai jamais trouvé similarités avec les actuels motifs d'étoiles. D'autres groupements semblent à peine possible. J'ai passé des dizaines d'années à perdre mon sentiment d'ignorance. J'ai commençé à voir la plupart des modèles bouclés de groupes d'étoiles fixes qui suggéraient regroupement en accord avec la superposition des ondes rotatives. Je dois ici avoir tout faux. Sauf si je voulais ajouter à la confusion et à la paralysie des systèmes déja existants. A la place, je me propose de présenter en exemple une naïve photographie des étoiles. Elle a été prise une nuit pendant l'expédition en Aizona sans objectif spécial je crois. J'avais besoin d'une photo des voies que prenaient les étoiles. J'omets les données concrètes car elles sont inutiles ici. Elles ne nous distraireront pas du sujet.

La photographie des trajectoires des étoiles à été prise avec un Leica, ouverture 3,5, la nuit sans zoom, directement vers un certain groupe d'étoiles proche du zénith:

A première vue, la photo ne montre aucune irrégularité. Après une étude attentionnée, cependant, une ligne (voir ci-dessous) vue en agrandissement, se différencie des autres d'environ deux millimètres de longueur supplémentaire des autres étant toutes strictement identiques. Cette petite pièce justifie la nécessité de repartir à zéro. La quantité de différence est sans itérrêt ici. Le fait qu'une ligne soit plus longue que les autre est Qualitativement de bien plus grande importance.

Après une examination plus attentive, nous repérames une déviation de la même "étoile" des autres lignes courbes parallèles d'environ 2,5 degrés. Nous devrons éliminer toute idée ou opinion qui refusera la possibilité du fait stupéfiant indiqué ici. Nous devons poursuivre sans nous résigner à une théorie entravente.

Deux photographies d'EA successives

Les photographies suivantes ont étés prises lors de deux nuits claires consécutives à little Orgonon en Arizona pendant les mois d'hiver 1954/1955. Encore une fois, les coordonnées, temps d'exposition, heures exactes, jours et mois sont omis commes inutiles. Seul ce que l'on y voit compte.

Ce sont des phénomènes célestes extraordinaires. L'heure de la nuit, temps d'expositions, ouvertureset positions étaient les mêmes dans les différentes images, les lieux sont évidemment les mêmes d'après le paysage. Les reflets clairs de lumière vers Tucson et vers Little Orgonon, sont environ distants de 8 miles. Les deux images diffèrent considérablemet, contrairement aux images astronomiques. Elles présentent des trajectoires d'EA en termes d'orgonomie, OVNIs en termes d'intelligence navale:


1. La photo A présente la trajectoire basse au dessus de l'arbre de gauche (est), la B montre le même objet à droite (ouest) du même arbre.

2. La trajectoire A est plus courte, quasiment à la moitié du trajet B pendant la même période d'exposition. La trajectoire B apparaît soudainement dans la photographie comme si l'objet était sorti dans le ciel de nulle part, comme ça.

3. La trajectoire A montre plusieurs interruptions: L'objet était toujours là dans les zones sombres mais n'émettait plus de lumière.

4. La trajectoire B ne montre pas de semblable interruptions dans l'émission de lumière. Elle apparaït soudainement sur la photographie (flèche du milieu) comme si de nulle part, elle bougeait vers l'ouest (vers la droite). Cela apparait soudainement pendant qu'un autre objet bouge apparemment plus vite et plus haut. Ce second objet apparut sur la photograhie au début de l'exposition. C'est une courbe "vacillante" à la première flèche et on voit trois interruptions de lumière régulières à la troisième.

5. Il y a sur la photo B quelques autre lignes parallèles à la plus basse. La photo A ne montre aucune de ces lignes additionelles.

Nous devons renoncer à quelque interprétation que ce soit. C'est le but de ce récit de nous suspendre de tout jugement, omis les description quantitatives disponibles, en ne révélant par quand ces photos ont étés obtenues. Nous devons conserver cette approche des EA comme strictement objective afin de trouver une première orientation de quoi regarder, quoi expecté ce qui nous est "inconnu" dans le ciel. Nous ne shouaitons pas être négationnistes, obstructifs. Nous voulons être affirmatifs dans nôtre approche; affirmatifs d'une manière prudente, pas à pas, l'observation.


CHAPITRE II

Le "SPACEGUN" (pistolet spatial)
L'effet atmosphérique "ORUR"


L'été 1954 à été principalement consacré aux préparations de l'expédition. Nous apprîmes par deux observations parallèles que les substances poudreuses blanches et noires, Orite et Mélanor, étaient liées à la sécheresse, au manque d'humidité et affectaient l'homme, l'animal et la végétation de la même manière. En même temps, une relation avait été faite entre ces condition atmosphériques et la présence de ces grosses "étoiles" pulsatoires jaunes ou rouges que nous avions appris à distunguer des planètes et autres étoiles bleues fixées sur leurs trajectoires. Mais nous étions moins sûrs de l'exactitude des corrélations établies entre EA et la sécheresse. Nôtre vieille idée d'aller tester l'exactitude de nos observations au milieu du désert gagna donc en importance dans les semaines qui suivèrent.

Les préparations touchèrent à leur fin. Ceci fait, il me frappa que j'avais complètement abandonné mon processus de recherches Oranur de 1951. Quand l'effet atmosphérique du DOR à Orgonon était devenu insupportable, j'avais enseveli les petites quantités de matériaux nucléaires, trois milligrammes de radium et quelques microgrammes de cobalt radioactif, dans une zone inhabitée, route 17, près de Rumford à environ 15 miles d'Orgonon. Pendant près de trois ans ces matériaux étaient ensevelis dans le sol sans forts boucliers de plomb. Je me dit alors, pourquoi pas retester ce matériel avant de partir en Arizona? L'idée semblait bien fondée. Le 21 septembre 1954, le radium fut ramené à Orgonon et immédiatement testé avec l'autofréquenceur 4096 Tracerlab.

Les résultats furent enregistrés lors du protocole original suivant. Afin de comparer les résultats avec la radioactivité originale du 28 avril 1951, le rapport de cette date est ici réimprimé en entier, il concerne deux épingle de Radium, les épingles 1 et 2 :


A. Expérience Oranur, premier rapport, 1947-1951___pages 323-324

Toutes mesure des épingles en Radium traitées à l'Oranur (un milligramme chacune),
protégées et nues, au compteur Geiger autofréquenceur, 26 avril 1951, 15 heures.

Toutes mesures effectuées à 1cm de distance. Chaque mesure moyennant les suivantes.

_______________________________________________________________________
avec durée cycles par
Matériaux résolution bouclier nues en sec. minutes (CPM)
_______________________________________________________________________
1. Ra 1
(1 milligramme non traité) 4096 + 0,8 307200

2. Ra 2
(1 milligramme traité Oranur) 4096 + 1,05 245760

3. Ra 2 256 + 0,4 43000

4. Ra 2 4096 + 2,8 81920

5. Ra 1 4096 + 8,3 28877

6. Ra 1 4096 + 0,8 307200

7. Ra 2 4096 + 0,8 307200

8. Ra 2 4096 + 3,0 81920

9. Bouclier seul 64 3,15 1280

10. 1 micorgramme de radium
traité à l'OR 5 ans 4096 0,8 307200

11. Montre, portée un mois
sur soi 4096 10,0 24576

12. Montre, portée deux ans
sur soi 4096 10,0 24576

13. étallonnage après mesures 256 4,15 60
_______________________________________________________________________

Avant d'aller plus loin, laissons-nous observer les faits dans leur relations internes et sutout pas séparéments:

PREMIEREMENT: L'aiguille de Radium (AR) nue donne un taux moyen plus faible (un dixième) que lorsqu'elle est dans son épais bouclier de plomb.

SECONDEMENT: Que dix fois de suite le compte soit plus haut dans l'atmosphère autour de l'AR enfermée est une fonction de L'ENERGIE D'ORGONE luttant contre les AR.

TROISIEMEMENT: Dès que l'on stoppe le contact entre OR et AR, le niveau d'activité Orgonotique élevé stoppe pour revenir au niveau atmosphérique normal.

QUATRIMEMENT: L'énergie d'Orgone seule ne réagit pas sévèrement sans être irritée par les AR.


B. Oranur, second rapport

Protocole (dès l'arrivée) : 21 septembre 1954, midi pile.

Sujet : réactions Geiger au radium affecté d'Oranur.

Témoins : Wilelm REICH, Médecin de garde (M.G.) Eva REICH, Thomas ROSS, Robert McCullough

A midi pile aujourd'hui, Mr ROSS ramena à l'observatoire la boite contenant les 3 milligrammes de Radium (ceux de l'expérience Oranur de 1951), qui avaient étés ensevelis à 15 miles d'Orgonon depuis le 31 mars 1952. Nous fîmes immédiatement des relevés de fond dans la zone générale de l'expérience avec le compteur Geiger de survie SU-5. Cela donna 150 CPM. Sans le bouclier du tube, à un mètre de distance de la boite, le compte était de 8-900 CPM. Le tube posé sur le haut de la boite donnait 8-9000 CPM.

Une aiguille de Radium fut ensuite testée avec la résolution le plus gros et plus sensible tube et autofréquenceur Geiger. Avec l'aiguille nue à une distance de 1 cm le compte était 2457,6 (comtre 16000 en 1951 W.R.). Avec l'aiguille de Radium remise dans sa boite en plomb refermée et le tube du compteur à un centimètre de distance de la boite, le compte était de 163,840 CPM (contre 7000 en 1951).
Notes: le conteneur de radium étanche s'est trouvé être rempli de ce qui semblait bien être de l'eau. Le couvercle était fermé et il n'y avait aucune raison évidente à ce qu'il y ait de l'eau dans cette boite. W.R à alors mis en cotact la boite avec les cables du Cloudbuster. Immediatement, un sentiment de bien être général envahissa deux personnes. Rocher et végétation s'éclaircissèrent soudainement; les montagnes au loins, qui étaient noires, apparurent brusquement bleues; le ciel s'éclaircit et un vent d'ouest apparut. W.R. remarqua que son organisme semblait mieux aller. R.M.C nota que ses mais étaient au meilleur de leur forme. La respiration contraignante fut soulagée et devint joyeuse. Le chien-Troll de W.R ne motra aucun dégout envers la boite d'AR.
/s/ Robert A. McCoulough


C. Oranur, second rapport

Protocole: 26 septembre 1954___10h30.

Témoins: Wilhelm REICH, M.G. Eva REICH, expérimentateurs.
William MOISE, Robert McCullough, chargés du protocole expérimental.

Lieu: Observatoire de l'énergie d'Orgone, Orgonon, Rangeley, Maine.

Sujet: Mesures Geiger des AR traitées Oranur (celles de 1951).


/signé/ Wilhelm REICH

L'épaisse boite en plomb qui contenait une des AR de 1 mg qui avaient étés utilisées lors de l'expérience Oranur fut amenée à l'observatoire et le taux CPM fut pris avec le tube 2,3 mg./cm² compteur et autofréquenceur Tracerlab. Les résultats suivent:


1. AR dans le double conteneur en plomb___1 cm de distance

résolution 4096 10,65 sec 24576 CPM
11,65 sec 22000 CPM

2. Radium en plus petite quantité, dans la boite en plomb___1 cm de distance

résolution 4096 2,50 sec 98304 CPM
3,65 sec 70246 CPM
2,00 sec 122880 CPM
59,10 sec 4096 CPM

3. AR nue___1 cm de distance

résolution 256 13,50 sec 1024 CPM
11,42 sec 1400 CPM

résolution 4096 5,5 minutes 702 CPM

4. Boite en plomb vide (sans ARs)___ à 1 cm de distance

résolution 64 1,0 sec ~0 CPM
1,0 sec ~0 CPM

5. étallonnage après mesures

résolution 256 4,15 sec 60 cycles

Voltage minimum 1200 Volts.

/Signé/ Robert A. McCullough
Associé de recherches


AR 1 et 2 ont perdues toutes les deux de leur activité de 1951. La troisième aiguille qui n'a pas été traitée à l'Orgone concentrée à beaucoup perdu de son activité originale de 16000 CPM nue à 1 cm de distance du tube du compteur. L'importante vacillation, l'activité du matériau, est aussi saisissante que le plus haut taux enregistré sans bouclier de plomb.

Ces phénomènes de base étaient nouveaux. Le premier exemple de base d'un taux très fort d'activité atmosphérique sans bouclier de plomb enregistré jusqu'ici. Depuis 1954, cette activité sans bouclier de plomb variait tout le temps, avec les lieux, climats, transports, ect. Il avait été jusqu'ici impossible de désigner une loi mécanique dans ces oscillations.


L'usage Technologique de l'ORUR

Les nouveaux usages du matériel Oranur en relation avec le projet du désert d'Arizona vinrent de cette manière, pendant que nous cherchions désespérément à soulager nôtre détresse physique. Je pris mon agenda et l'ouvrit aux pages des 21 et 28 septembre 1954:


21 Septembre.
McCullough charge le camion * * *

Ma cheville enfle à cause du mauvais DOR d'Orgonon; ma cheville gauche me fait
mal, elle est enflée et enflammée * * * (ma famille est partie * * * ) Je suis
seul, abandonné ici.

28 Septembre.
J'ai appellé Moise et Eva pour qu'ils soient à Orgonon vers le 1er Octobre, pour
charger le camion * * * le chargement avance.

Un EA ce matin à 5h30, très forte activité, 6h30, chute de l'activité sentie par WR
(sauts au coeur, vomi deux fois, fatigue, dépression) ; Helen Tropp s'éveille ;
Madame McCullough semble faible, nausées; Madame Tom Ross, également* * *
J'avais envie de baisser les bras, de mourir * * * Une étoile jaune brillante se
tenait bas dans le ciel du sud. Il est temps de partir pour l'Arizona.

Le riche contrôle météo Oranur par rétablissement OR + AR, désactivé par
séparation, avec AR + Pb (boite) 40000 CPM.

DOR facilement supprimé par OR + + + + (qui signifie OR + Pb).

Principe: L'énergie d'orgone irritée s'étend. Le ciel s'éclairçit, devient bleu en
quelques minutes.


Ce fut un bon en avant formidable. Jusqu'à maintenant, le nettoyage de l'atmosphère se faisait en noyant les DOR-nuages dans un lac. Maintenant, en quelques secondes, le ciel s'éclaircissait, devenait bleu au zenith et loin à l'horizon par Orurisation. Le nom ORUR serait ultérieurement utilisé afin de distinguer cette opération d'Oranur. Jusqu'à aujourd'hui, le matériau nucléaire (NU) original, irritait l'énergie d'Orgone atmosphérique concentrée, la faisant fuir au lointain ou changer en DOR. Désormais d'autre part, NU rnedu innoffensif par Oranur et affaibli en radioactivité, se comportait comme OR à l'inverse d'Oranur. en ORUR. Il était faible énergétiquement quand il était en dehors du plomb ou de tout autre métal. Par ailleurs, dès qu'il était mis sous plomb, l'activité reprennait instantanément autour du conteneur en plomb jusqu'à des distances de quelques pieds on enregistrait avec le SU-5 compteur de survie de 40000 à 100000 CPM. C'était nouveau, innatendu : L'atmosphère peut être chargé, "Orurisé," directement par l'ORUR.

Je répète: Les matériaux Oranur (AR) ne donnaient nues aucune ou une négligeable réaction Geiger. La boite en plomb également, pas de réaction. Mais dès que les deux étaient mis ensemble, l'un dans l'autre, le compteur Geiger (SU-5) affichait de 40000 à 100000 CPM. C'était aussi surprenant qu'incompréehendible. C'était une réaction inconnue et mystérieuse. Quelques jours d'observations révélèrent que ORUR était un outil très puissant. Utilisé quelques secondes, de deux à cinq, il nettoyait le ciel du DOR. Le sombre DOR qui s'attardait bas au dessus du paysage et particulièrement au dessus des vallées, semnlait tourner au gris/bleu d'un horizon à l'autre. Utilisé trop longtemps, par rapport au temps de 20 à 60 secondes, des nuages se formaient instantanément; il pleuvait dans les heures qui suivaient. Mêmes les nuages gris que l'on dit "incapables de rendre leur eau," redaient immédiatement un douce averse. Cela s'est difficilement avéré juste après les quelques premières observations. Plus tard, j'appris à respecter la douce sensibilité de l'énergie atmosphérique et le pouvoir de l'ORUR.

La réaction atmosphérique semblait plus grande quand le matériau ORUR était successivement mis à l'intérieur et retiré de la boite en plomb. Au début, Orur et Cloudbuster étaient untilisés séparément. Mais rapidement les deux furent combinés. Nous pouvions effacer le DOR du zénith à l'orizon, et ensuite "oruriser" de l'ouest au sud ouest. Cela semblait particulièrement efficace au sud ouest. Nous apprenions bientôt que toucher la direction galactique sud-ouest / nord-est (voir CORE, vol. VI, 1954 page 92) pendant quelques secondes ferait s'écouler l'OR energie plus rapidement, couvrant les jadis sales d'apparence et noires montagnes d'une fine brume bleue/grise. Le changement dans l'atmosphère était senti immédiatement par tous les témoins. Jusqu'aux nuages de pluie sales et gris/argent de DOR reprenaient une couleur blanche, semblaient aller mieux dans une atmosphère brillante, jadis ennuiyeuse, croupie.

Cette idée s'est imposée à moi d'elle même: cela doit être possible d'effacer le DOR des déserts et d'amener l'humidité de l'océan pacifique à la place. L'effet Orur du 29 septembre à atteind 170 miles (275 km) du côté de la côte ou ma fille vivait. Elle attesta un éclaircissement soudain du DOR et une fraîche brillance atmosphérique. Elle a pensé que j'avais terminé une nouvelle expérience à l'ouest d'Orgonon.


Nous avons été Vus . . . ?

Les nouveaux faits qui ne concordaient pas avec le rythme des expériences de routine ne devaient pas être déniés ou ignorés; ils seraient mis de côté encore et encore par l'obsevation jusqu'à ce qu'ils puissent être jugés à jamais vrai et non plus ignorés. Cela est arrivé avec l'impression que nous avions tous lors des opérations de préparation à Orgonon: Nous étions observés. C'est toujours difficile à croire aujourd'hui. Mais une symphonie de faits révélateurs nous forçaient à penser que c'était la réalité. Trois séries de processus y étaient relatifs. Initiallement, ils étaient indépendants les uns des autres; ils furent analysés séparément, hermétiquement :

1. Nous commençames à "extraire" l'énergie des EA ; leur luminosité s'affaiblissait ou même s'éteignait ; elle voyagaient manifestement en étant hors sevice à plusieurs occasions dans le ciel d'Orgonon en 1954.

2. McCullough voyageait au moment d'une expérience de la plus haute importance le 13 octobre, vers l'Arizona, près de Kansas City (voir sa lettre du 19 octobre 1954, page 139). Cet évènement est dans la même ligne qu'un autre du 14 décembre 1954, le jour ou l'ORUR arriva en avion à Tucson en Arizona.

3. Moise devait prévenir l'ATIC ( Air Technical Intelligence Center ) de Dayton dans l'Ohio de nos contacts avec AE. Les officiers de l'armée de l'air qui recevèrent ce rapport furent préssément (burningly) interessés, mais ne semblèrent pas surpris par ce qu'il leur racontait. ( voir le rapport mot à mot par Moise, page 79).

Nous devons considérer ces fait indépendamment, mais les garder intégralement en mémoire en tant que parties d'un seul processus EA :

Les opérations Oranur sur terre semblent prudemment observées par des êtres vivants de l'espace intersidéral.


Contact prolongé avec des EA à Orgonon,
Septembre-Octobre 1954


Le 29 septembre 1954, pendant que nous orurisions l'atmosphère sur la colline à côté d'Orgonon , je vis, les yeux au ciel au dessus de moi à 10h45 quatre fabrications gris/noires traverser la région de l'observatoire à haute vitesse, impossible pour les avions terriens, les plus rapides jets inclus, à haute altitude mettant deux secondes à aller du nord -est au sud-ouest. Ils volaient en formation.

Un potentiel de 40000 ou 60000 CPM avait été créé artificiellement un juste avant par ORUR. J'orurisais maintenant l'atmosphère chaque jour depuis que les effets du DOR revenaient promptement après avoir étés soustraits. Le "Spacegun," c'est à dire l'assemblage d'ORUR et du Cloudbuster fut inventé par moi le même jour :

Protocole: 29 septembre 1954 Invention du Spacegun

Sujet: Combiner ORUR et Cloudbuster

WR m'informa aujourd'hui qu'il concu l'idée de la combinaison d'Oranur et du Cloudbuster pour augmenter la puissance de chacuns. WR déclara plus tard qu'il essayerai une longue réaction Oranur lors du prochain ouragan.

/signé/ Robert A. McCullough

Le développement technologique Oranur destiné aux opérations ORUR se précipita rapidement et en toute logique.

Le matin du 31 septembre fut frappant, nous avions éclairé le ciel. Une formation extrêmement rapide d'humidité déposa une lourde buée sur les fenêtres, sur les voitures, les rochers et les prés. Températures et climats semblaient subtropicaux. Les feuilles brunes et jaunes devenaient vertes lorsqu'on les regardaient, observé par McCullough, Tom Ross, un vieux bucheron, et moi même, éveillé près d'une ferme. Tous les bulletins météo étaient contrariés ce jour. L'armée de l'air semblait très active dans le ciel; quelques avions encerclaient notre région. Un avion rouge passa cinq fois sur et autour d'Orgonon. Nous étions alors fatigués de ces inspections sur nos terrains de divers engins volants. Nous avions éclairci le ciel. Nos jambes étaient lourdes quand nous montions les marches allant vers l'observatoire. The phénomène nous était connu comme une conséquence lourde d'Oranur ; l'attraction gravitationelle était plus forte (comparativement à un contexte différent).

Les soirs des 5 et 6 octobres, quatre d'entre nous ont vu trois grandes EA pulsantes et jaunes se tenant bas à l'horizon du sud et et une au nord-ouest au dessus de l'observatoire, elles n'étaient jamais venues la nuit auparavent.

McCullough nous quitta avec le camion le matin du 7 octobre. Le même jour, quatre EA se tenaient immobiles, grosses, pulsant fortement dans le ciel, trois au sud-ouest et une au nord-ouest. Une autre apparut plus tard, sortie de nulle part, comme ça, au dessus de l'observatoire.

Mon agenda me rapella que le DOR nous avait rendus misérables le même jour à 11 heures. Je l'avais effacé à 17 heures par Orurisation. Le ciel redevint bleu/gris. Une note dans l'agenda se lisait comme suivant: "Aujourd'hui, 7/10/1954 quelques personnes se sentaient commes éteintes, brusquement, et stoppées soudain. Les chaines de montagnes sont pâles, noires, la brillance venait quand, lors des deux dernières semaines le paysage revivait, quand on utilisait AR-OR (ORUR). Il n'y a pas de doute que je suis en guerre avec les EA. Ce qui semblait seulement une possibilité il y a un an est désormais une certitude. Elles se cachent toujours au milieu des étoiles, ou elles suivent les mêmes trajectoires, c'est à dire qu'elles sont dans la même position fixe vis à vis de la terre (comme les étoiles fixes) . Le sentiment de comme un changement, soudaine sensation d'être entrainé ou soulagé était ressenti pas plusieurs collègues."

"8 octobre 1954: 4-5 EAs dans le ciel de la nuit de nouveau, débutants à 22 heures , sentiment de chute. Une se déplaçait lentement vers le nord, puis vers le haut, apparaissait et disparaissait. La sphère rouge du sud n'était plus là après 21 heures. Deux fois, j'ai opéré, 20 seconde chacune à 0,6 Oranur bons résultats. Deux jours monotones noircis, donnèrent lieu ce matin à un plus distant et fort scintillement bleu. Les EAs n'avient aucune influence semblait-t'il."

Deux avions de l'armée de l'air encerclaient minutieusement l'observatiore le même jour.


La seconde OROP (Orgone operation) EA

Le dix octobre 1954, à environ 19 heures. Nous relevames dans le ciel un gros objet rouge, bas près de la montagne. Nous Orurisames l'atmosphère et visions directement l'EA pendant une minute, quelques minutes après 19 heures. A nôtre grand étonnement, l'EA se déplaça de la première à la seconde position conformément à dessin ci dessous tiré page 50 de mon agenda, qui est vu du sud.


L'EA est aussi devenu plus petite, moins rouge, et quelquepeu plus haute dans le ciel. Ce n'était certainement pas ni une planète ni une étoile fixe accordée à cette trajectoire. L'opératrice Eva REICH la vit plus tard sombrer sous l'horizon.

Une seconde durant, l'objet jaune à l'ouest à 30° approximativement disparut à 19h30, après deux minutes de visée ORUR. Il réapparut faiblement deux fois et n'était finalement plus visible aux jumelles. Nous avions l'impression distincte d'un effort, alterné d'effacement et d'une forte pulsation flashante, tremblante, mouvante en directions variées.
Cela bougeait du nord au sud pendant l'effort:


Cela disparut après affaiblissements, décroissements et clignotements. Cela revint et ressorti encore à 19 h 53, retrouva encore plus que sa luminosité initiale à 19 h 55, devint timide, rapetissant, comme si ça s'en allait plus loin à l'ouest. A 20 h 08, tous en même temps, 1 au sud, 1 à l'ouest, 1à l'est, 1 au nord semblaient se retirer, devenant timides et petits, comme par une commande commune.

Je m'apprêtais à mettre ces notes dans mon agenda d'études avec pour heure celle de la montre de laboratoire quand à 20 h 11 j'entendis. Eva Reich et William Moise s'exclamant sur le pont d'observation : "un embrasement!" une sorte de flamme venait de traverser le ciel de l'est vers l'horizon. Je ne l'ai pas vu moi-même ce soir là mais j'en ai vu d'autres fois plusieurs. Il y en avait en abondance à Tucson qui volaient les nuits d'Orur, comme ceux des rapports existants à l'aéroport (voir page 199, rapport Tucson), dès l'arrivée du matériel ORUR.

A 21h35, un heure et vingt-quatre minutes après que les EA du nord et sud soient revenues; elles sont grimpées haut dans le ciel, contre le mouvement régulier des étoiles.
Celles de l'ouest et de l'est ne seraient pas visibles plus longtemps.

Cette opération EA fut transmis après conclusion à nôtre secrétaire Me Hellen Tropp, par téléphone du village (rangeley) le plus proche. Une note dans mon agenda page 52 de 1954, se lit comme suit:

"Ce soir pour la première fois dans l'histoire de l'homme, la guerre commencée depuis des ages par des êtres vivants de l'espace interstellaire contre cette Terre (avec le respect des DOR, sécheresses et déserts, WR, 1956) à été rétribuée avec ORANUR par un résultat positif."

Les jours furent remplis d'évènements secouants. Heureusement, j'étais devenu habitué depuis Oranur à ce genre de choses et avait entrainé assez d'étudiants pour me faire confiance sans fuir, comme je l'avais si souvent fait auparavent sous la pression du DOR.

Je désire citer ici du premier rapport Oranur de 1951, la not suivante:

"Nous devons assumer le fait que l'océan d'énergie d'Orgone ubiquiste est le support de vibrations relatives à la lumière. Toutefois, la relation semble être très proche. L'énergie d'Orgone s'unit, comme elle se développe depuis et coule dans l'océan d'Orgone, emettant de la lumière, plus forte et plus pointue au sommet et plus légère lors de la période d'élévation et de chute.

"L'examination des points sur la photographie (fig. 7.a, ci dessous) révèle de nombreux détails de première importance :

"1. Beaucoup des points sont noirs, seuls quelquepeus sont blancs, c'est à dire qu'ils correspondent aux effets normaux de la lumière.

"2. Tous les points noirs ont un précis 'centre' ou 'noyau,' et une moins précise périphérie ou 'membrabe.'

"3. Intensité et taille des points seuls varie grandement.

"4.


Suivi

  • Mmmmh? --- Denis (Sun, Sep 22, 2002, 00:40:11) (33 reads) (652 bytes) +1
    • Re:Mmmmh? --- lucca (Mon, Sep 23, 2002, 15:46:21) (0 reads) (490 bytes)