J'ai lu ce qui suit sur une liste de diffusion à laquelle je suis abonné. Ca me fout grave les jetons ! Qqn sait-il ce qu'il en est vraiment et si il y a qqch à faire pour empêcher ça, si c'était vraiment vrai ?
Merci de me rassurer, enfin si c'est possible, ou sinon de m'indiquer un moyen rapide, efficace et indolore de mettre fin à mes jours... :-(
Mikaël
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Le soleil va exploser dans moins de six ans !
Traduit par Sophy FORTIN
:
Mercredi 18 septembre
2002.
Par George Sanford.
Le soleil surchauffe et va bientôt exploser ... Emportant la Terre et le
reste du systême solaire avec lui, ont déclaré les scientifiques.
L'alerte a été publiée après qu'un satellite international ait photographié
une explosion massive sur la surface du soleil, qui a envoyé une lame de feu
dans l'espace trente fois plus longues que le diamètre de la Terre. "C'est un
signe que le soleil est prêt à exploser ... Je ne sais pas si je peux être
plus clair que ça", a déclaré l'astrophysicien hollandais Piers Van der Meer,
un expert renommé, affilié avec l'Agence Spatiale Européenne.
"Ce sera comme une bombe nucléaire 3 milliards de fois plus puissante que
celle tombée sur Hiroshima, en plein centre de notre système solaire.
Quand cela arrivera, la Terre sera instantanément incinérée, incluant toute
forme de vie présente. Ce sera comme une guimauve qui tombe dans
un feu, qui noircie et fond."
Les scientifiques ont déclaré que le problème vient du fait que le soleil
devient littéralement trop chaud. La température centrale du soleil est
normalement de 27 millions de degrés Farenheit. Mais, ces dernières années,
elle a augmenté à un niveau alarmant de 49 millions de degrés, déclara
le Dr. Van der Meer, chef d'une équipe scientifique, basée à Amsterdam et
spécialisée dans l'espace, qui traque les changements du soleil.
"C'est assez similaire à une étoile qui devient une supernova à la fin de sa
vie," explique le Dr. Van der Meer. "Au cours des dernières onze années
nous avons vu notre soleil passer à travers des changements drastiques et
inquiétants, comme ceux qui ont eu lieu dans l'étoile de Kepler, juste
avant sa transformation en supernova en 1604." La température à la surface du
soleil a considérablement augmenté la décennie passée, ont
déclaré les scientifiques.
"Nous pensons que cette pollution non-humaine est responsable du
réchauffement général et des effets alarmants qui ont lieu sur la Terre,
comme le réchauffement des glaciers de l'Antarctique." a assuré le Dr. Van
der Meer. Les images du 1er Juillet ont été prises par SOHO
( Space-based Solar and Heliospheric Observatory ), un satellite conçu pour
étudier la structure interne du soleil, et dirigé conjointement
par la NASA et l'Agence Spatiale Européenne.
"L'explosion, connu techniquement comme une éruption proéminente, a été
colossale", a déclare le Dr. Van der Meer. "C'est l'avertissement
final que nous avons tous redouté." Les scientifiques hollandais ont calculé
que si les températures continuent de grimper à ce rythme, le
soleil sera incapable de le supporter.
"Il explosera comme un réacteur nucléaire hors de contrôle d'ici six ans," a
prédit le Dr. Van der Meer.
La NASA refuse de confirmer les affirmations des scientifiques européens, et
une source de la Maison-Blanche a déclaré :
"Nous n'avons pas besoin de quelqu'un qui sème la panique en ce moment."
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FAMILY="SANSSERIFSCIENCE :
http://www.cybersciences.com/cyber/3.0/n2040.asp :
http://www.cybersciences.com/cyber/3.0/n1282.asp :
Le réchauffement venu du Soleil :
On pensait encore récemment que l'activité humaine expliquait à elle seule le
réchauffement de notre planète.
Les experts pensent maintenant que le Soleil y joue un rôle non négligeable.
Îles Canaries : 20/09/2000 - Les gaz à effet de serre sont la principale
cause du réchauffement planétaire, mais pas la seule.
Le Soleil est plus lumineux qu'avant, un facteur dont les spécialistes
cherchent à mieux mesurer l'importance. Un congrès international, qui doit
avoir lieu à Santa Cruz de Tenerife, aux Canaries, du 24 au 29 septembre,
discutera de la responsabilité de notre étoile dans le climat de plus en plus
chaud de la Terre. L'enjeu : déterminer quelle est la part de la nature et
quelle
est celle de la pollution humaine.
La tâche ne sera pas facile, car les phénomènes en cause sont mal connus et
difficiles à mesurer. Le satellite SOHO, par exemple,
a mesuré une augmentation d'environ 0,1% de la luminosité du Soleil depuis
1995. Mais cette variation serait purement cyclique, reliée
au maximum solaire de cette année. Il n'y aurait pas eu d'augmentation nette
depuis les années 1980. On sait par contre que vers 1700,
le Soleil était fort peu actif et qu'en même temps, l'Europe a connu des
saisons très froides. La luminosité aurait augmenté de 0,2% depuis
et les ultraviolets, de 0,7%.Il semble aussi que l'activité solaire ait connu
une forte hausse entre 1900 et 1960 et qu'elle soit la principale
cause de réchauffement qu'ait connu notre planète à cette époque. L'émission
de gaz à effet de serre était déjà relativement élevée, mais
leur effet était alors contrebalancé par la poussière émise par les diverses
éruptions volcaniques et les aérosols, qui réfléchissaient une
partie de la lumière solaire. L'équilibre fragile entre gaz et aérosols
aurait été rompu après 1960, entraînant un gain de température.
L'activité accrue du Soleil aurait aussi renforcé le champ magnétique de la
Terre. Résultat : moins de rayons cosmiques se rendent
jusqu'à notre planète, ce qui ralentit la rythme de formation des nuages sous
les tropiques. Le temps moins couvert signifie que moins
de chaleur solaire est réfléchie vers l'espace et donc que la température
augmente. Au sol, du moins, car contrairement à ce que
prédisent les modèles, la température de l'atmosphère tropicale, elle, est à
son plus bas depuis 22 ans. Les chercheurs sont perplexes.
Le soleil nous réchauffe davantage :
Un chercheur américain estime que la chaleur provenant du soleil a augmenté
depuis 1986. La tendance inquiète certains scientifiques qui y voient une
aggravation de la situation provoquée par les gaz à effet de serre.
États-Unis : 29/09/1997 - Le réchauffement de la planète est une
préoccupation majeure en cette fin de millénaire.
Et comme si les gaz à effet de serre n'étaient pas assez problématiques,
voilà que le soleil se met de la partie. Du moins,
c'est la conclusion de Richard C. Wilson, un chercheur rattaché à
l'Université Columbia.Wilson conclut que les radiations solaires qui touchent
la Terre sont 0.036% plus chaudes que celles qui avaient cours en 1986.
Minimes en apparence,
sur un siècle, l'augmentation pourrait provoquer une hausse du mercure
d'environ 0.72 degré Fahrenheit (environ 0.4
degré Celsius). Si on ajoute cela à l'augmentation prévue comme suite du
relâchement de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, ça commence à
compter.C'est en analysant les données provenant de trois satellites qui
mesurent les
radiations solaire que le chercheur américain en arrive à cette conclusion.
Cela dit, ce ne sont pas tous les experts qui s'entendent sur les causes du
réchauffement de la planète. Certains, estiment qu'il s'agit d'un phénomène
cyclique tout
à fait normal, dont les humain ne sont pas responsables.
Le réchauffement de la planète,
un phénomène mal compris :
Des données recueillies récemment par une équipe de chercheurs américains
remettent en cause notre compréhension
de l'effet de serre.
États-Unis : 11/06/1997 - Une quantité impressionnante de particules se
trouvent en altitude. Certaines d'entre elles
agissent comme un bouclier et réfléchissent les rayons du soleil. Ce faisant,
elles ralentissent le phénomène de
réchauffement de la Terre.Les scientifiques ont longtemps cru que l'effet de
serre était contrebalancé par les
propriétés réfléchissantes des particules de sulfure qui se trouvent en
altitude. En effet, jusqu'à tout récemment
les spécialistes étaient d'avis que ces particules, dont les propriétés
réfléchissantes sont parfaites, composaient
la majorité des particules en altitude.Les résultats d'observations récentes
menées dans l'est des Etats-Unis, par
des chercheurs de l'Université de Washington, remettent cette hypothèse en
cause. Les échantillons d'air recueillis
par un avion laboratoire à 3 000 mètres d'altitudes démontrent que les
particules de sulfure ne dominent pas.
Au contraire, ce sont plutôt les particules de carbone que l'on retrouve en
plus grande quantité. Or, ces particules
ne réfléchissent pas les rayons solaires aussi efficacement que les
particules de sulfure.Les scientifiques sont donc
dans le noir. Il leur faut trouver une nouvelle théorie pour expliquer le
pourquoi du réchauffement aussi lent de la
Terre. En effet, comment expliquer le phénomène alors que les particules
dominantes en altitude ne réfléchissent
pas les rayons solaires aussi efficacement que les particules de sulfure
auxquelles on attribuait cette lenteur.
Le réchauffement planétaire pire que prévu !
En 1995, les chercheurs mandatés par les Nations Unies ne croyaient pas que
le réchauffement de la planète
dépasserait 3 degrés d'ici 2100. Leur rapport révisé parle maintenant de 6
degrés - un désastre.
Suisse : 30/10/2000 - Au cours du prochain siècle, le réchauffement de la
planète sera deux fois pire qu'on le
pensait jusqu'ici. C'est du moins ce que croit le Panel intergouvernemental
sur les changements climatiques,
un groupe de centaines de chercheurs mandaté par les Nations Unies. Une
version préliminaire de son rapport,
qui doit être adopté en mai 2001, circule depuis la mi-octobre dans les
divers gouvernements de la planète.
La version précédente, en 1995, prévoyait une hausse de la température de 3
degrés d'ici 2100, ce qui était
préoccupant. Les chiffres révisés estiment que la hausse pourrait atteindre 6
degrés - un véritable désastre.
Et si c'était le Soleil qui nous réchauffait ?
Le Soleil émet beaucoup plus d'énergie qu'au début du siècle. Ceci
expliquerait pourquoi le climat se réchauffe
et même pourquoi il y a plus de gaz carbonique qu'avant.
Grande-Bretagne : 03/06/1999 - Le gaz carbonique ne joue peut-être pas le
rôle que l'on croit dans le réchauffement
de la planète. Des chercheurs du Rutherford Appleton Laboratory, en
Angleterre, croient plutôt qu'il faut chercher le
coupable du côté du Soleil. Leurs études démontrent en effet que les rayons
solaires sont beaucoup plus chauds qu'au
début du siècle, réchauffant d'autant notre planète. C'est cette chaleur
supplémentaire qui aurait provoqué la hausse
du taux de gaz carbonique et non le contraire, comme on le croit
généralement.
L'étude s'est surtout intéressée au vent solaire, ce flux de particules
chargées qu'émettent les éruptions à la
surface du Soleil. Plus le Soleil est actif, plus y a de particules. Le vent
solaire provoque un champ magnétique
entre les planètes. Or, les données recueillies indiquent que ce champ
magnétique est 40% plus puissant qu'en
1964 et 230% plus puissant qu'en 1901. Seule explication possible : le Soleil
émet beaucoup plus d'énergie
qu'avant. Et c'est cette énergie supplémentaire qui réchauffe la Terre.
Et les fameux gaz à effet de serre, dans tout cela ? En réchauffant la Terre,
le Soleil a aussi réchauffé les océans.
Or, plus les océans sont chauds, moins ils absorbent le gaz carbonique
naturellement présent dans l'atmosphère.
Autrement dit, en se réchauffant, les océans auraient libéré une partie du
gaz qui y était dissous. Les combustibles
fossiles ont sans doute eu moins d'impact qu'on ne le croyait. Dans les
milieux scientifiques, on parle de plus
en plus de l'impact du Soleil sur le climat. Des études historiques ont
révélé que durant le « Petit âge glaciaire » du
XVIIe siècle, il n'y avait presque pas de taches solaires, ce qui donne à
penser que le Soleil était alors plutôt « froid ». Inversement, le climat du
XIIe siècle a été particulièrement clément. On pense que l'activité solaire
était plus intense
à cette époque.
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