Stéphane: "je pense que ce que j'ai dit depuis le début c'est que le «féminisme» n'est pas une position homogène, un club ou une secte."
Je reconnais que le mouvement féministe n'est pas monolithique. Je crois que notre désaccord porte plutôt sur la synthèse. Je crois que les analyses féministes ont certains points en commun. Notamment, elles ont pour "a priori" de définir les femmes comme des victimes et les hommes comme des agresseurs ou des exploiteurs. Tu ne partages pas ma généralisation.
Stéphane: "En fait, l'affaire des «hommes agresseurs», prise au sens primaire (cad que l'acte sexuel payé est déjà automatiquement une agression de la prostituée), est à ce que je sache une position très minoritaire."
C'est pourtant le "consensus" retenu par la fédération des femmes du Québec.
http://www.ffq.qc.ca/pub/travaildusexe.html
À moins que cette fédération ne représente, à tes yeux, qu'un groupe féministe minoritaire?
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