Essentiellement une boutade, mon expérience se limitant à la fréquentation de cas relativement légers (ou répondant au traitement médicamenteux) de schizo. J'en ai parlé au psy de notre consultation (douleur chronique), qui m'a confirmé que les schizophrènes montraient parfois des traits paranoïaques, peu organisés et souvent fugaces, et surtout dénués de l'agressivité que l'on retrouve chez les paranos, lesquels étaient diamétralement à l'opposé. Je vous livre ces réflexions pour ce qu'elles valent: une conversation sans, hélas, référence vérifiable.