On peut le reprocher aux libraires. Mais d'un autre côté, ils répondent à la demande. Et puis peut-être aussi à la représentation de l'offre. C'est à dire qu'il y a "une" astronomie mais plusieurs astrologies. Je suis moins inquiet des représentations relatives de chaque catégorie que du mélange des genres, quand on retrouve des livres pseudo-scientifiques sur les rayons scientifiques. Qu'il y ait 10 livres d'astrologie dans "passe-temps" ou "new age" pour un livre d'astronomie dans "science" me dérange moins qu'un livre d'astrologie et un livre d'astronomie dans "science" tous les deux.
Je vois le phénomène plus comme un symptôme que comme une cause.