Une étude de Serge Larivée, professeur en psychoéducation, indique en effet que les librairies québécoises misent grandement sur les pseudo-sciences pour gonfler leurs recettes. En moyenne, elles attribuent aux pseudo-sciences de sept à 15 fois plus d'espace en étalage qu'aux ouvrages de vulgarisation scientifique. Et, dans certaines, 50% des ventes sont réalisées avec de tels ouvrages.
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http://www.cyberpresse.ca/reseau/editorialistes/mroy/mroy_102090137581.html
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