Pour ma part, j'ai toujours été en contact avec un milieu muticulturel (d'où d'ailleurs mon amusement consterné à lire la prose baveuse de gens comme Jules), et je compte plusieurs japonais dans mon entourage proche. Je me suis lancée sérieusement dans l'étude de la langue à mon 2ème voyage au Japon il y a très, très longtemps (non, je ne vous révélerai pas mon âge, gna, gna, gna), lorsque j'ai constaté qu'il était impossible de s'intégrer peu ou prou sans pouvoir communiquer aisément ni consulter des documents originaux. En plus, le domaine des arts martiaux est constellé d'escrocs qui se servent de l'ignorance des occidentaux pour leur vendre de la pseudo-mystique orientale au rabais et il est indispensable pour s'y retrouver de connaître l'histoire de la chose, laquelle n'est disponible que dans la(les) langue(s) d'origine.
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