Postée par Jean-Franços , May 05,2000,14:33

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Ody: "Je laisse à Julie le soin de vous répondre... Mais non, c'est entendu, Julie et moi ne faisons qu'un. Le mythe de la symbiose matrimoniale!"

Décidez-vous, vous êtes qui?

Si quelqu'un arrive à déterminer qui à écrit ce message, il me fera signe pour me l'expliquer... Qu'on m'explique aussi où se trouve l'allusion au "mythe de..." dans mon message.

(Que Florence dise quelque chose, c'est son droit. Comme je trouve ses réflexions sensées, je les lis, j'y réfléchis et me demande sur quoi elle se base pour être persuadée que Julia et vous êtes deux personnes? Moi, je demeure dans l'espectative tout en considérant que cela n'a vraiment pas d'importance.)

Ody: "Vous me reprochez de ne pas employer la troisième méthode"

Les seules choses que je vous reproche vraiment c'est de rester dans le vague, de vous contentez de lancer des choses sans y ajouter d'exemples précis, et de croire que votre parole doit être bue comme un nectar divin empli de toute la Vérité du monde... surtout, de refuser la discussion par de continuelles esquives des critiques amenées.

Ody: "Ma démonstration de la stupidité et de l'esprit borné ayant présidé à la rédaction du skepdic touchera les trois" et "Mais je vais tout de même démontrer les choses comme vous le demandez lors de mon analyse critique d'un article du skepdic. En fait je vais toucher les trois approches sus-mentionnées."

Des promesses vous en faites depuis un bout de temps déjà.

Ody: "Mais vous avez tout de même refusé d'examiner le questionnement critique" et " Avec le souhait, même plus l'espoir, que vous daignerez accepter un débat sur la démarche sceptique après coup"

Si vous aviez bien lu mes premières interventions, vous auriez compris que cette discussion m'intéressait en soi. Je vous ai posé des questions que je ne crois pas hargneuses, et si vous n'aviez pas cette fâcheuse manie de mélanger vos interlocuteurs en une sorte de "eux-les-méchants-sceptiques" ces choses-là apparaîtraient clairement à votre esprit.

Maintenant, je ne suis pas certain d'avoir envie d'en discuter avec quelqu'un qui ne rattache pas ce débat à la réalité par des exemples concrets (et non pas des affirmations sentencieuses), refuse de considérer les critiques qui lui sont adressées et se sent constamment persécuté.

Jean-François

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