Vous m'avez accusé de tricherie, j'y ai répondu.
Mais
"Votre réaction épidermique avec tous les messages signés Ody-... n'a rien fait pour enlever cette impression et, on peut très bien interpréter votre message plus tardif - celui qui identifie Julia comme votre conjointe - comme une idée qui vous est venu plus tardivement."
Mais non, vous êtes à côté de la piste: je souffre de dédoublement de personnalité. N'est-ce pas une belle concession? En effet, je peux maintenant dire que je dis vrai quand j'affirme qu'il s'agit de deux personnes, et vous pouvez continuer à dire vrai quand vous dîtes que c'est la même personne. Content? Allez, un sourire...
Tiens, je devrais changer de pseudo pour traduire cette réalité. Je devrais maintenant m'appeller M. Zelig (Hommage à Woody Allen)...
N'empêche que c'est une attaque personnelle que vous faite, qu'il y en a eu et que ça continue. Vous avez décrété, du haut de votre Savoir, que j'ai emprunté une autre identité. Allez, faites donc une analyse psycho-sémantique pour déterminer que c'est bien la même personnne. Si vous êtes compétent en la matière, s'entend...
Mais non, c'est entendu, Julie et moi ne faisons qu'un. Le mythe de la symbiose matrimoniale!
Même Mme Florence dont on ne peut pas dire qu'elle me voit d'un oeil sympathique (et c'est réciproque) a reconnu que vous vous étiez planté. Je vous ai soumis une explication et une démonstration que vous avez rejetée en alléguant qu'elle est venue a posteriori. Puisque de toutes manières je suis un menteur, nonobstant les faits. Bon, je dois en conclure que je n'ai aucune crédibilité à vos yeux et que je n'ai aucune espérance de pouvoir vous convaincre.
Bref, que je suis "chose jugée" et affaire classée. Car vous n'avez même pas la bonne foi de reconnaître que vous aviez pu vous tromper. Histoire de sauver la face?
Si vous vous intéressez tant au contenu des messages:
"Aussi, je me fous totalement que vous votre nom soit Gatti, Jean-François, ou quoi que se soit d'autre. Je ne m'intéresse qu'au contenu des messages et a la discussion quand il y en a une."
Alors pourquoi vous obstinez-vous à parler d'une crédibilité que vos pathétiques maneuvres et votre obstination enfantine tentent de miner? C'est peut-être signe que ça vous importe plus que le contenu que vous êtes incapable de voir
"Je ne m'intéresse qu'au contenu des messages et a la discussion quand il y en a une."
Nommer une chose ne la rend pas réelle. Vous pratiquez la pensée magique, mon pauvre ami.
"(en ce sens, votre intention de critiquer un article du Skeptic dictionnary est excellente, pour autant que vous acceptiez que nous puissions ne pas être d'accord avec votre argumentation)"
Je ne compte même pas convaincre. Je vais critiquer pour en faire la critique, comme la montagne que l'alpiniste gravit "parce qu'elle est là". Vous en ferez bien ce que vous voudrez. Tiens, je vais partir un site internet de super-scepticisme! Les Super-sceptiques du Québec!
"c'est vous qui avez débarqué sur le forum en disant que "notre" démarche ne valait rien, et cela sans faire la preuve véritable (exemples) de votre affirmation. Ca vous étonne tant que ça que l'on réagisse?"
Il existe plusieurs manières d'aborder une question. Citons en trois. La première consiste à apporter un questionnement critique sur la démarche. La seconde consiste à apporter un questionnement critique sur les protocoles employés. La troisième et dernière que je cite consiste à apporter un questionnement critique sur les résultats.
Vous me reprochez de ne pas employer la troisième méthode. Moi, j'ai employé la première. Au lieu de me répondre sur le même terrain, on a défilé vers la troisième.
Ma démonstration de la stupidité et de l'esprit borné ayant présidé à la rédaction du skepdic touchera les trois.
Mais vous avez tout de même refusé d'examiner le questionnement critique sur la démarche sceptique, au motif que vous postulez que la science est la "plusse meilleure"/la seule manière (selon les versions et les intervenants) d'aborder la réalité. Le mot postulat est utilisé au sens premier et non dans une intention allégorique.
Notez: mes premières interventions se situaient sur le plan du questionnement critique de la démarche alors qu'on m'a immédiatement demandé de faire une démonstration sur le plan du questionnement critique des résultats.
C'est évident qu'ayant posé une problématique touchant la démarche, si on me demande de la démontrer par le questionnement des résultats, automatiquement on se situe dans une autre perspective dans laquelle ma problématique n'a plus aucun rapport. Et je suis assez con pour relever ce 'défi'? Vous avez refusé de répondre à mes questionnements sur la démarche sceptique. Je ne vois pas pourquoi j'aurais accepté de déplacer mon questionnement sur un autre niveau que celui qui m'intéressait. Donnant-donnant.
Mais je vais tout de même démontrer les choses comme vous le demandez lors de mon analyse critique d'un article du skepdic. En fait je vais toucher les trois approches sus-mentionnées. Avec le souhait, même plus l'espoir, que vous daignerez accepter un débat sur la démarche sceptique après coup.
À l'avenir, je ne répondrai à vos questions que lorsqu'elles seront exemptes des allusions ayantrapport avec mon identité, ma bonne foi, ou mes motivations personnelles.
Et encore, après avoir répondu aux autres et si j'en ai le temps et si j'en ai envie.
"Il se défile, vous voyez!"... Ouais, ouais...
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