Chers amis, Le temoignage du docteur Marcantoni Médecin de la SS ayant participé aux interrogatoires de Pantel et ayant demandé sa reforme ne suffisant pas aux bons sceptiques, je m'adresse maintenant aux mauvais sceptiques . En effet, il est toujours possible de dire que tous les temoins de Pantel ont été achetés.Pourqoi pas ?Queles phenomenes ont été simulés , pourqoi pas ? La casette vendue en 1994 par les editions Vaugirard (12, avenue d'Italie 75627 Paris) intitulée "CONTACT ESPACE TEMPS" existe quand même et les declarations de MARCANTONI meriteraient quand meme d'etre versées au dossier Pantel hein!
Je me propose maintenant de vous retrouver d'ici peu l'article du quotidien marseillais dont il est question ci-dessous .Cet article sera bientôt en ma possession et là je crois que les bons sceptiques seront pris la main dans le sac pour mauvaise foi car vous ne pourrez pas cette foi-ci arguer que les complices de Pantel se sont introduit nuitemment au ZOO de marseille pour faire avaler des lames de rasoirs aux animaux et massacrer des crocodiles a coup d e pierres.
AH! AH! AH! Je vous tiens par le barbichette .
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Extrait du tome 1 de JC Pantel
"Terrible confirmation ! L'article décrit le caractère violent des nouvelles actions de l'O.M., ainsi "qu'ils" me l'avaient laissé sous-entendre. "Ils" viennent de se livrer à un massacre d'animaux au zoo de Marseille. Singes, dauphins, otaries, poneys, dromadaires crocodiles - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés - aurait pu écrire Monsieur de La Fontaine. Bien sûr, le journaliste commentant cette triste nouvelle ignore qui est responsable de cette horreur, il relate les faits, incriminant des vandales à travers des actes isolés mais les détails qu'il mentionne ne laissent place à aucune équivoque. Les projectiles dont ont été victimes les malheureux animaux désignent d'eux-mêmes les auteurs de ce que je n'hésite pas à appeler une tragédie.
Avec Jacques Warnier, puis avec Pascal Petrucci, je tenterai de mener une enquête en allant me documenter sur place, au zoo. Jamais je ne pourrai rencontrer Jim Frey, directeur de l'époque, mais j'aurai la malheureuse opportunité de traiter de l'affaire avec un gardien-chef et son subalterne qui ne réussiront, à leur insu me faut-il préciser, qu'à faire monter mon taux d'adrénaline. Article de presse à l'appui, je ne parviendrai pas à leur faire valoir le caractère extraordinaire de ces actes de malveillance, ils se cantonneront dans une description similaire des faits, ne soulignant que le préjudice causé au zoo et la cruauté de certaines personnes à l'égard des animaux.
Pourtant, lire, puis s'entendre dire pour confirmation, que des chimpanzés avaient eu une perforation de l'estomac après avoir avalé des lames de rasoir, que des otaries et des dauphins s'étaient étouffés en avalant des billes d'acier et surtout que d'énormes pierres avaient fracassé le crâne de deux crocodiles, ne pouvaient, à mon avis, que choquer sinon bouleverser tout entendement quand bien même fut-on le dernier des hurluberlus."
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