Heureux de te revoir !
1°) J'ai passé ,ma journée de vendredi a analyser les 5 émissions de JCP faites sur Provence culture. Ceci pour recouper les informations écrites dont je dispose .Il s'avère que non seulement la concordance est consternante . Mais en plus des éléments nouveaux permettant de faire sérieusement avancer mes enquêtes apparaissent.
2°) J'ai passé mon après midi d'hier Dimanche (il n'y a pas de répit pour les braves) a analyser la bande MP2 de quarante minutes de Karzenstein. Autant pour ce qui concerne des questions techniques qui vont t'étonner fortement qu'en ce qui concerne la nature que le fond du discours de Karzenstein. On est très loin crois moi des informations aléatoires que délivrerait un appareil électronique. Il y a de quoi stupéfier le monde entier. Dans cette bande de 40 minutes qu'aucun simulateur humain ou robot informatique ne pourrait jamais reconstituer (avec les moyen techniques actuels) il y a des une fortune pour la recherche fondamentale en ce qui concerne les procedé naturel (forcement) de fabrication de la voix qui ne peut pas apparaître dans notre monde aussi facilement que nous le ferions vous et moi lorsque nous debattons. TIENS ! TOI BIEN Il y a des contraintes "techniques" incroyables qui imposent a Karzenstein d'exiger une pause en fonction des capacités réceptives psychologiques de Pantel.La demande de pose est d'ailleurs toujours accompagnée du fameux coup de sifflet qui est d'autant plus long qu'il y a urgence de couper la communication. Les deux drniers sifflements sont tres rapprochés parcequ'il y a urgence de conclure a cause des conditions de transmission qui baissent.
Voici ce que dit Karzenstein a la fin de son dialogue dans les dernières secondes :
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Pour l'heure, l'échange en sa spécificité demande interruption de notre dialogue, compte tenu de votre condition psychophysique qui va se détériorant… Nous allons donc prendre congé, non sans rassurer Virginie, Martine, Jean, Patrick et d'autres que je ne citerai point Quant aux cancaniers et cancanières, ils comprendront, faute de ne l'avoir ressenti, que le changement en question fait partie intégrante de l'équation perpétuée dont nous nous sommes passablement entretenus lors de ces derniers cycles annuels. (Sifflement ) Concluons en faisant relever à celles et ceux qui ne l'auraient pas encore intégré que tout ce qui est issu de l'existentialisation est doté d'un registre apoptosique et que le "cancaniérisme" n'échappe pas à la règle…
Voilà, d'autres sujets vous préoccupant seront abordés ultérieurement.
Il m'appartient, comme de coutume, de vous demander de transmettre mes pensées d'usage à celles et ceux, de plus en plus nombreux, voyageant sur le cours de votre équation perpétuée, laquelle aura été jusqu'à surprendre parfois ceux-là même l'ayant agencée… Je vous dis à bientôt, Jantel ! (Sifflement)
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INCROYABLE MAIS VRAI. Tout se passe comme si un technicien de "l'outre monde" ou une conscience supérieure surveillait la "qualité du faisceau" (terme technique que les journalistes connaissent bien)
J'ai maintenant la preuve que toute l'affaire Pantel est a prendre en entier comme la plus grande affaire poltergeist de tous les temps.
Voici ci-dessous deux extrait du tome 1 , je pense que cela éclairera votre lanterne a toi et a Jules au sujet de la façon dont les voix arrivent.(dans le vide je vous le répète pour la millième fois) Pour ce qui concerne la récupération d'anciens enregistrements avant 97, cela ne devrait pas poser de problème. (C'est en cours)
------------------------------------------ EXTRAIT 1 "Il est plus de dix-huit heures en ce 15 juillet 1973, il y a à présent une heure qu'un dialogue s'est instauré entre des Etres que nous ne voyons pas et les pauvres humains que nous sommes. Pour corroborer ce que je viens d'évoquer dans le paragraphe précédent, il n'y a aucune commune mesure avec le timbre des voix des personnages qui avaient établi un contact avec moi, dans les conditions que vous savez : là, les voix sont métalliques, à mon avis, différenciées exagérément à dessein ; elles sont également terriblement persuasives, par instants, elles se veulent carrément autoritaires. Paradoxalement, nous n'avons pas peur, bien sûr nous échangeons des banalités mais. Les autres voix, quant à elles, "répondent" au patronyme de Jigor, Verove et Magloow. Par la suite, nous remarquerons, en fonction du dialogue que Jigor traite plus volontiers des sciences, des énergies et de la "lumière" en particulier, Verove de l'environnement végétal et les autres d'un peu de tout, mais surtout de "philosophie", matière qui va représenter la quasi-totalité de la deuxième partie de ce récit."
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EXTRAIT 2 Une sorte de fulgurance me traversa, mais mieux que de tenter de vous décrire l'ineffable, je préfère vous laisser à ce qu'exprima Karzenstein, sur un ton qui se modula selon qu'il traduisît sa "foi" ou ce qui demeure son incommensurable compassion. "Il me fut offert au cours de l'été 1948 de découvrir, à l'intérieur des terres qui forment l'autre rive de votre Méditerranée, un nouveau-né abandonné dans un carton. Cet Etre en devenir n'était encore qu'un individu en passe de rompre avec sa toute nouvelle vie consciente. Il m'incombait de prendre une décision, le bébé n'avait pas consommé sa probable rupture et de cela naquit le dilemme qui m'opposa à certains Etres présents ici, Jigor sera bien le dernier à me contredire, je pense ?ETC..ETC (la suite de ce message retranscrit est coupée ici pour réduire la grandeur du message). André Dellova interrompit là l'enregistrement sur son magnétophone, ce qui m'empêche de vous transcrire ici ce qui fut dit après cet émouvant discours que nous tint Karzenstein. ------------------------------------------------------------------------
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