Les femmes réussissent mieux dans leurs études que les hommes, et elles ont un revenu inférieur aux hommes.
Ca démontre encore une fois que le rapport niveau économique/réussite scolaire ne marche pas dans leur cas. Il ne marche également pas pour les groupes ethniques.
Par exemple, le taux de réussite scolaire des groupes minoritaires du Québec:
http://www.ledevoir.com/2002/11/26/14207.html
Vietnamiens -> russes -> chinois -> , ... -> francophone ...
suit-il le profil économique de ces groupes à l'intérieur de la société Québécoise?
Je pose la question et je n'ai pas de réponse. Mais celà m'étonnerait.
=================
Autres exemples:
Les Russes ont vécu assez précairement sous le systéme soviétique et celà ne les a pas empêché de "produire" de très grands musiciens, mathématiciens, joueurs d'échecs et de donner à leur population un niveau d'éducation assez élevé par rapport au reste du monde. Pas parce qu'ils étaient riche mais parceque dans leur culture on attribue à l'éducation et aux arts une grande importance.
Les Juifs ont également produit malgré leur petit nombre de grands musiciens, prix Nobel et joueurs d'échecs (Évariste appréciera). Dans le cas des échecs*: le jeu était pratiqué dans presque toutes les familles et les enfants l'apprenaient dès le plus bas age. Rien d'économique là dedans.
Avant qu'un Bozo du forum ne me traite de raciste, je préfère résumer une dernière fois la position que je défend:
plus que la position économique d'une minorité dans la société d'accueil, la culture et l'histoire d'un peuple est ce qui a le plus d'influence sur la réussite scolaire.
Cocolumbo
*Depuis l'année 1500, le jeu d'échecs est reconnue comme pouvant être pratiqué le jour du sabbath.
--modified at Tue, Jan 28, 2003, 18:58:32
|