J : Petit pleurnichard ! Je ne peux rien faire pour André qui est 50 ans en arrière dans les nouvelles et rien pour le NOF non plus, vraiment rien. Vous voulez que je donne une référence pour prouver que les enzymes sont des protéines ? Qu’un gène contient en moyenne 1000 bases ? Non mais ! Ce qu’il y a de plus logique comme approche est que les ignorants sur la question s’abstiennent (petit message au NOF).
Nonoé : La nouille glosait sur M. Pneumoniae mais je ne me souviens pas (ai-je tort ?)l'avoir entendu parler de M.Genitalium avant que j'en parle (encore une fois ai-je tort ?)
J : J’en ai parlé implicitement en parlant des plus petits organismes vivants (je disais 600-700 gènes). J’ai lu qqchose sur M.Genitalium il y a plus d’un an et on parlait vraiment de près de 600 gènes. De plus, la page que j’ai fournie (et sur laquelle j’ai téléchargé plusieurs info.) sur M. Pneumoniae parle de M.Genitalium. Le NOF, lui, n’est au courant que depuis que je l’ai mis sur la piste …
Nonoé tente de se sortir du pétrin en douce : [oui-oui Juju ! On sait (et depuis longtemps): C'est un parasite]
J : Le « on » exclut le NOF, évidemment.
Le NOF est supposé nous apporté la démonstration que je me trompais en parlant de M.Genitalium comme un organisme qui ne fonctionne pas indépendamment.
Le NOF tenta de faire dire le contraire à une citation scientifique qu’il n’avait pas le moindrement du monde compris.
Un rappel :
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Thus, M. genitalium is apparently the simplest organism capable of independent life with a minimal set of genes."
Wien Klin Wochenschr 1997 Aug 8;109(14-15):551-6
Comparative genomics of mycoplasmas.
"Independent life..."
Crétin-attardé : Je sens que tu vas me remercier encore une fois !
Julien : Il est idiot, mais je n’arrive pas à croire qu’il le soit tant que ça !
À même son copié-collé, on trouve la confirmation que M. genitalium est un parasite.
The drastic economization in genetic information must have been associated
***with the parasitic mode of life of the mycoplasmas***. During their reductive evolution from Gram-positive bacteria the mycoplasmas have lost the cell wall and many biosynthetic systems involved in synthesis of macromolecule building blocks provided by their host. ***Thus, the M. genitalium and M. pneumoniae genomes*** do not carry any gene involved in amino acid biosynthesis, and very few genes for vitamin, nucleic acid precursor and fatty acid biosynthesis.
Independent life... voulait probablement dire que M. genitalium se reproduit par elle-même, contrairement aux virus, … mais certaines biomolécules nécessaires à son métabolisme proviennent de son hôte.
Le vrai cancre (NOF) pourrait-il, à la devinette, nous dire qu’elle est la raison du nom de Mycoplasma genitalium ?? Certainement pas, je lui dis alors : c’est un agent d’infection génitale ! C’est un parasite de l’humain ! C’est pratique de savoir de quoi on parle.
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Pour finir, est-ce que M. genitalium a 479 gènes ? Je suis prêt à admettre que j’ai pu me tromper en parlant de 600 gènes. Je demeure convaincu d’avoir lu une estimation de près de 600. Ensuite, les 479 gènes dont parle l’article sont des « protein coding sequences ». Le NOF n’est probablement pas au courant qu’un génome n’est pas fait uniquement de gènes qui codent pour une protéine. D’autres gènes interviennent uniquement dans la régularisation et l’inhibition d’autres gènes. J’ai proposé, comme hypothèse valable, que l’estimation de 600 gènes comptait aussi les régions non codantes. L’autre hypothèse est que la première estimation a été revue depuis le temps.
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