1- On mémorise toutes les mélodies facilement.
2- Il en découle pour les pianistes bar par exemple une capacité à se rappeler des milliers de morceaux. Le seul fait que la mélodie trottine dans la tête, elle est automatiquement reportée sur l'instrument
3- C'est identique pour les concertistes qui doivent se souvenir jusqu'à trente minutes un concerto dans tous ses moindres détails.
4- L'assurance pour accompagner un artiste en direct est époustouflante, Les erreurs et fausses notes sont quasi impossibles.
5- les compositeurs peuvent composer SANS leur instrument et transcrire directement leurs oeuvres ou titres sur papier.
Dominique:
Bof, je constate que vous n'êtes pas musicien (Oups! ça m'a échappé). Du moins, l'idée que vous vous faites de l'oreille absolue est étrangement proche de celle que s'en font les amateurs et les débutants. Si vous désirez élaborer des définitions TRÈS personnelles pour des termes couramment utilisés, faudrait le préciser.
VOUS DÉCRIVEZ LA MÉMOIRE AUDITIVE pour laquelle il n'est nul besoin d'oreille absolue telle que définie par tout autre que vous. L'oreille absolue, si elle semble être innée (héréditaire), ne constitue aucun avantage dans la pratique musicale et est, oui! un handicap. Pour un musicien du moins.
De plus vous êtes dans les patates: la mémoire auditive comme l'oreille relative, ça se travaille et ça se développe. L'apprentissage commence dès l'enfance si tant est qu'il y a de la musique dans la maison et que le petit y prend goût; la vaste majorité de la musique occidentale écoutée dans les chaumières est encore largement tonale quand il s'agit de musique dite classique (généralement du baroque au romantique) et c'est encore plus vrai dans la chanson, le jazz et leurs dérivés. Quand un ado gratouille ses premières chansonnettes, en général ya trois accords pis ça module même pas: il ne fait que régurgiter un condensé de la musique tonale qu'il a absorbé depuis sa naissance.
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