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allez, je me tente pour "compétance"


Re: Re:Re:Re:redaction prochaine oeuvre -- GFhost
Posté par nono (koussouros,nono), Mar 02,2003,18:02 Index  Forum

Bon, qu'est ce que cette foutu compétance dont les plus incompétants se targuent et les plus compétants ignorent qu'ils en savent plus.

Déja ça semble plus se mesurer sur une echelle que sur une paillasse.

La compétance semble donc plus se mesurer au regard de la logique sociale que de la logique psychologique.

Il faut donc d'abord regarder ce qui conduit l'individu a attribuer une compétance à son pair ?

Ensuite il faut se demander si dans l'absolu ceci a t-il vraiement un sens ?

- Première condition pour reconnaitre la compétance d'une personnes.
Reconnaitre la personne. Si la peronne fonctionne dans un système de valeur éloigné du sien, ou bien a un sourire qui lui plait pas, elle ne va même pas regarder ce qu'elle est capable de faire ou bien au contraire diminuer ses capacités. Dés lors ses compétances ne pourront être mise en oeuvre. Et d'une certaine manière, même si c'est cruel. Elle est imcompétante au résultat.
Donc une compétance doit d'abord avoir l'aval de la société pour être réellement présente.
On peut alors ensuite se retrouver dans une situation ou le rejeté s'est ensuite fait dépouillée de sa compétance par une personne plus succeptible d'etre reconnu et la enfin la compétance peut se déployer.

- Deuxième condition
Il faut que le compétant donne l'impression de savoir. On reste encore dans la condition sociale de l'obtention de la compétance. Cette impression de savoir va se juger par des tas d'attitudes, dans la certitude d'une personne, sa capacité a faire sentir qu'elle comprend l'autre, l'usage de jargon, son age, l'usage de la manipulation, le rapport de force, le mensonge, etc...

-Troisième condition
Il faut que la personne connaisse ses limites. Dés lors il serra capable de n'intervenir que ce sur quoi il est capble et de déléguer ce qu'il ne sait pas faire. Sa compétance voulue ou non voulu doit donc être parfaitement connue.

-quatrième condition
Il faut que la personne soit capable d'assurer des taches qu'un faible nombre d'individu est capable d'assurer. Pour juger que ce nombre est faible, il faut que la quantité de travail total apporté par tous les compétants soit inférieur à la demande au point que c'est finalement le compétant qui va devenir maitre de la réussite ou de l'echec d'un travail.

-cinquième condition
Il faut en dernier ressort que le travail demandé soit en deça de ce que la personne est capable de faire. Si l'on demande quelque chose de farfelue au ragerd des conniassance humaines; on ne trouvera aucun compétant pour cette tache.


La compétance semble donc se résumer être un rapport de force entre deux individus ou les moyens permettant d'etre compétant sont quand à eux certes définissables mais bien peu de chose par rapport au facteur sociale. Car se sont parfois certains élément parfois d'autres. Il y a de tous.

Compte tenue pour chaque travails il y a des exgigences trés différentes alors c'est plutôt de l'ordre du hazard ou c'est non pas la personne qui se rend compétante par rapport à un travail déterminé mais plutôt que le travail demandé se trouve par hazard correspondres au aptitudes de la personnes. C'est simplement le hazard de la rencontre. Même si cet hazard a pu ensuite etre provoqué.

Donc ça semble seulement etre un rapport entre le nombre de personnes qui demandent un certain travail dans lequel se jouera une panoplie particulière d'aptitudes et le nombre de ces personnes accetés par les demandeurs ET possédant ces aptitudes.

Ce pourquoi le plus icmpétant se targuent car ils doivent lutter pour leur survie alors que les compétant n'ont pas besoin de batailler pour accomplir leur mission et donc leur reconnaissance sociale.

Et maintenant est ce que ceci, si l'on peut l'acceter dans cette définition a un sens dans l'absolu ?
Je vous laisse cette seconde question...

A qui le tour...


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