C'est à mon avis aussi un bon filon à fouiller. Quant à la méthodologie, au protocole de recherche, etc.. j'avoue mon ignorance totale de ces mécanismes. La courte discussion qu'il y a eu ici à cet effet, il y a quelques semaines, laisse entendre qu'il ne faut pas négliger la complexité de cette étape et bien cibler l'objet de l'étude. Mais j'ai pas l'impression que c'est impossible, loin de là. Je ne connais pas non plus les ressources (humaines et financières) des Sceptiques du Québec, mais à vue de nez, et si on était assis vous et moi en train de prendre une bière, je vous lancerais sans doute quelques suggestions (peut-être complètement farfelues) comme associer cette démarche avec une faculté de socio, d'anthropo (UdeM, UQAM, etc..), ou avec d'autres mouvements qui interviennent dans les mêmes plate-bandes, je pense ici au groupe Anti-Secte (de Montréal, pas de Marseille..), le Collège des Médecins (why not ?), ou quelqu'autre «SOS-Éso» s'il s'en trouve d'autres concernés par la situation.
J'ai l'impression que tous les éléments sont là, reste à trouver le porte-parole et faire les connexions les plus appropriées.
Personnellement c'est sans hésitation aucune que j'offre un coup de main à titre bénévole pour préparer le café, et ranger la paperasse ! ;)))
Korg
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