Bin justement, je me suis trouvé à assister à deux funérailles en peu de temps dernièrement et la deuxième fois, comme le curé répétait exactement la même rengaine, l'aspect parasitique de toute l'affaire m'a particulièrement frappé. Voilà une cérémonie de routine où on ne s'est jamais gêné pour récupérer la détresse des gens, la renommer, la réinterpréter et s'en servir dans le mouvement perpétuel de l'Église. De là à faire du marketing global avec tout désastre, il n'y a qu'un pas.