Difficile pour une personne souffrante de refuser un traitement d’homéopathie quand rien d’autre ne semble la soulager. Sachant que c’est, au pire, insignifiant, elle tentera ce moyen « au cas où »! C’est ce que j’ai fait il y a environ un an lors d’une douloureuse montée laiteuse suite à la naissance de mon bébé. Pourtant, j’étais au courant du « fonctionnement » de l’homéopathie et j’avais conclu qu’il ne s’agissait pas d’un traitement valable. La sage-femme qui m’accompagnait après mon accouchement avait des connaissances en homéopathie. Quand elle me proposa quelques granules de « lacta-quelque-chose », je n’ai pas hésité longtemps. Je me suis dit : « Si ça marche tant mieux… » Je ne saurai jamais si ça a fait effet en tant que tel puisque, au désespoir de sa douleur, on essaie simultanément tous les traitements possibles.