"Puisque l'homme n'est pas parfait, sa conception de la morale n'est pas parfaite."
Cet argument suppose qu'il existe une figure de l'homme parfait correspondant à un homme possesseur et acteur d'une morale parfaite : et tout le raisonnement s'écroule, d'autant qu'il se voulait par l'absurde : non, et s'appuie sur: oui.