Mais, ce pourrait-il que ces manières différentes d'appréhender la réalité de ce qui nous entoure puisse être déterminée génétiquement? Tout comme certaines personnes expriment des "dons" pour les mathématiques, parfois au détriment d'autres aspects de leur personnalité (je pense à certains autistes), ce pourrait-il que le scepticisme puisse être une forme de "don" ou de "tare"? (Il faudrait même, peut-être, pencher plus vers "tare" que "don" vu que les sceptiques sont beaucoup moins nombreux que les "croyants", donc seraient les a-normaux.)

Jean-François

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