Bonjour ,
@ curieux:
tu a écrit :Pas du tout, c'est toi qui ne t'expliques pas correctement, quand tu parles d'une particule que tu compares au neutrino alors que cette particule n'existe pas il ne faut pas sortir de polytechnique pour comprendre que tu pars dans tous les sens en laissant aux autres le soin de débroussailler ton terrain.
Si c'est tout ce que tu as trouvé, cela ne vole pas très haut.
Je ne compare pas mes particules au neutrino. J'utilise une partie de la description du neutrino pour ne pas, justement, que quelqu'un dans ton genre me sorte: "mais d'ou sort tu ces caractéristique qui ne correspondent à rien".
Dans le genre partir dans tout les sens, je te fait confience.
Je ne laisse pas non plus le soin au autres de débrousailler le terrain. J'ai moi même débrousaillé le terrain, je l'ai aplani, balisé et il ne reste plus qu'à lancer les bulldozer pour que les curieux puisse emprunter cette route sans se poser trop de questions. (ou du moins en ayant des réponses qu'ils font mine de comprendre)
@ Ptoufle:
tu a écrit :kalolo a écrit :Ptoufle a écrit :Peux-tu m'expliquer ce point plus en détail ?
Pour moi la différence de pression est symétrique par rapport à l'axe, il n'y a pas de présomption de rotation.
Pourquoi, alors, l'admettre ?
Ce cerait le cas si les composants de mon tissus éther étaient placé de façon parfaitement symétrique. Or il n'en n'est rien. Les composants (photons) du support (éther) sont placé en tétraèdre les uns par rapport aux autres.Il y a une limite, rapidement atteinte, à cette disposition si l'on garde une rigidité au système. Fait l'expérience toi-même et tu le constatera.
Désolé, je ne vois pas. Cela ne me convainc pas. Quelle force ou contrainte ferais mouvoir ce composant d'un côté plutôt que de l'autre ?
Et de quelle expérience parles-tu ? Je ne vois honnêtement pas comment tester cela en pratique.
Le support (l'environnement ou l'éther dans lequel les electrons et les protons se trouvent) n'est pas le vide. Ce n'est ni un gaz, ni un liquide et ni un solide. C'est autre chose. Un assemblage de particules élémentaires (les photons) liais entre eux par une force que j'ai appelé xPh. Cette force ne lie pas les photons de façon rigide mais élastique. Ils ont toujours tendance à reprendre leur place initiale.
Dans cet assemblage les photons sont disposé de façon à ce qu'ils soient à égale distance les uns par rapport aux autres de proche en proche. Ce qui donne, pour 3 photon un triangle équilatéral et pour 4 photons un tétraèdre.
Voici l'expérience dont je te parle :
En partant de cette base de tétraèdre, on peut les empiler sur deux ou trois niveaux. Au delà de ces niveaux il n'est plus possible d'obtenir de tétraèdre car les distance entre les photons sont diférentes.
Fin de l'expérience.
C'est là que commence à agir la force xPh en équilibrant les distances entre les photons. Le système tout entier est soit sous pression soit sous dépression suivant certaines zones. Donc non symétrique.
L'introduction dans cet assemblage d'une nouvelle particule va changer, localement, la disposition des photons. L'assemblage de départ n'étant pas symétrique, la disposition des photons autour de la particule ne sera pas symétrique non plus. L'ensemble n'étant pas rigide, la particule peut se déplacer dans n'importe quelle direction et sans effort.
Voila pourquoi rien n'empêche deux particules de tourner l'une autour de l'autre ou une particule de trourner autour d'une autre.
Un singe de rang élevé, est incapable de rien apprendre qui lui vienne d'un singe de rang hiérarchique inférieur. Cela a été amplement prouvé chez les macaques du Japon, et c'est vrai aussi des humains...