Bonjour SAVARD:
Merci pour les spécifications. Expérience intéressante.
En réponse à vos questions HALLUCIGENIA:
Vous savez comme moi que des questions ouvertes nous mènent à des réponses très explicites. J'avais 12 pages, que j'ai réduites à 6, puis à 2. Je vous livre donc un condensé menant à l'hypothèse.
1.Si c'est une "forme d'onde", on peut la mesurer, n'est-ce pas ? Quel appareil permet de la détecter ? Par la physique. (Ondes externes) (pas un nanomètre)
Einstein fit cette constatation que la définition du temps et de l’espace pour des systèmes de corps en mouvement relatif dépend de ce mouvement, ainsi que de la propagation de signaux pour mettre ces systèmes en relation (pour pouvoir dire quel est, vu de l’un, le temps ou la position dans l’espace de l’autre). Il se rendit compte qu’un constat de simultanéité pour deux événements dépend du système où il est fait, et n’est pas universel. Il eut l’idée de proposer une redéfinition de l’espace et du temps en les soumettant aux deux principes énoncés, sur le mouvement (relativité) et sur la lumière (constance de sa vitesse). Il déduisit immédiatement de ces considérations les formules de transformation qui font passer d’un système de
coordonnées et de temps à un autre en mouvement relatif (transformations de Lorentz), d’où découlent les propriétés des distances et des durées, inégales dans des systèmes en mouvement relatif, qui ont tant fait couler d’encre depuis, et qui correspondent à ce que l’on a formalisé ensuite comme l’“espace-temps” à quatre dimensions.
Réf : un homme dans l’univers et son temps
CONCLUSION
Pour tenter de vérifier des spéculations scientifiques formalisées par Einstein, l'Agence Européenne de l’Espace (ESA), en collaboration avec la NASA, met au point une antenne qui devrait mesurer les ondes gravitationnelles résultant du Big Bang initial : « Lisa ».
Cette antenne gigantesque composée de 3 satellites placés chacun au sommet d’un immense triangle équilatéral et connectés par des rayons lasers infrarouge, suivra l’orbite terrestre autour du soleil. Lancée à une distance de 5 millions de kilomètres de la Terre, Lisa aura pour mission de capter les basses fréquences de l’espace et de détecter les ondes gravitationnelles d’Einstein, ce qui confirmerait la théorie de la relativité.
La mission sera lancée en 2013... Tiré de la revue scientifique.
Et là, vous aurez l’appareil………..
2 .Et si certaines personnes y sont sensibles et peuvent la "capter", quels organes sensoriels sont utilisés ? Hémisphères du cerveau, électricité, tous les organes sont concernés tout dépend de la stratégie de chacun. Captation des ondes.
Grâce au développement de l'imagerie cérébrale, nous pouvons " voir " le cerveau travailler.
Le cerveau n'est jamais inactif et des informations sous forme de courant électrique circulent en permanence. Dès 1929, Berger a montré qu'il était possible d'enregistrer cette activité électrique cérébrale. C'est l'électro-encéphalographie, qui a longtemps été la seule méthode disponible pour explorer le cerveau vivant.
L'électro-encéphalographie consiste en l'enregistrement de l'activité électrique du cerveau par des capteurs posés sur la tête. Lorsque l'on présente un stimulus, comme une lumière, une image ou un son, la région cérébrale qui traite ce stimulus va modifier son activité neuronale et donc l'activité électrique recueillie à la surface de la tête. Comme le cerveau ne reste jamais inactif, cette modification est perdue dans l'activité cérébrale de fond. Mais si on répète de nombreuses fois la même tâche, on peut en faire la moyenne en extrayant la séquence des événements électriques entraînés par cette tâche.
Les régions temporales sont des régions de traitement qui fonctionnent même chez le dormeur adulte ou bébé. Ceci explique que vous intégrez dans vos rêves des éléments du monde externe ou qu’un son habituel ne vous réveille pas alors qu’un son même plus discret mais inhabituel peut vous réveiller.
ET COMME LE CERVEAU A un impact sur le tout……….
EINSTEIN :
Écoutez de la musique, c'est bon pour la santé ! Par Thomas Rajzman (08/04/2008)
La musique a ses codes de composition comme l'art a ses règles d'esthétisme pour nous sensibiliser. Il est possible de reconnaître, même pour les oreilles les moins musicales, les fausses notes ou les accords dissonants. Or ces notions de musique fausse ou juste ne sont pas anodines, elles ont un effet sur notre état psychologique. Par exemple, les sonorités les plus graves nous semblent plutôt désagréables alors que les aigues nous apaisent, les modes mineurs nous semblent plus tristes que les modes majeurs. Musique et cerveau : que peut nous dire la science ? L'audition, vu sous l’angle du traitement des informations auditives par le cerveau, est le plus complexe des cinq sens que possède l'être humain. Les chercheurs de l'institut Max Planck des sciences cognitives et cérébrales humaine de Leipzig en Allemagne ont étudié les actions de la musique sur le cerveau. Ils ont entre autres remarqué que les parties excitées par la musique n'étaient pas les mêmes que pour le langage mais que la musique couplée à la parole avait aussi pour effet de stimuler les deux hémisphères du cerveau.
Plus récemment (2005), le BRAMS (Institut international de recherches sur le cerveau, la musique et les sons) a ouvert ses portes à Montréal, regroupant des chercheurs du monde entier et notamment des professeurs de l'université de McGill et de Montréal que sont Isabelle Peretz et Robert Zatorre à l'origine de ce projet. Cet Institut constitue un lieu d'échange de connaissances unique à l'avant-garde de la recherche des interactions musique et cerveau.
L'une des récentes études (2008) réalisées démontre le potentiel de la musique pour les personnes souffrant de lésions cérébrales, son utilisation améliorant les traitements notamment par la particularité qu'ont les chansons de faire fonctionner la communication entre les deux hémisphères du cerveau. Considérant un échantillon significatif de personnes, les chercheurs ont démontré que l'écoute quotidienne de musique améliore l'humeur des patients et augmente leur état d'excitation.
Ces recherches ont pour résultat la compréhension des interactions entre la psychologie humaine et l'environnement sonore. Il serait donc possible de traiter des troubles du langage par la musique en stimulant les parties responsables de ces handicaps par la musique.
Pour traiter les troubles de comportements, l'une des panacées serait d'écouter... Mozart(1).
Ce dernier a en effet utilisé plus de sonorités aigues dans ses compositions que n'importe quel autre compositeur, sonorité ayant un effet bénéfique sur l'humeur. On parle alors de "mozarothérapie", musique utilisée pour calmer les personnes nerveuses, anxieuse ou dépressives.
Ludwig van Beethoven était lui aussi conscient des influences de la musique sur le corps humain, c'est ainsi qu'il choisit préférentiellement des rythmes imitant le battement cardiaque, permettant à ses auditeurs de synchroniser les battements de leur cœur sur celui du tempo de la musique écoutée.
D'après les parents d'Albert Einstein, la pratique du violon a eu sur leur enfant un effet sans aucun doute bénéfique. N'étant pas très doué pour les études, ses professeurs ont conseillé à ses parents de lui trouver une activité "manuelle". Ils lui ont donc acheté un violon. Il reconnaîtra des années plus tard que cette pratique a eu un réel effet sur ses capacités d'abstraction, capacités l'ayant conduit à formuler la fameuse théorie de la relativité générale.
Les relations musique/cerveau constituent encore un beau mystère que les neuroscientifiques tentent d'élucider. La recherche avance encore ici pas à pas... et les interprétations des résultats sont difficiles. A quand une véritable théorie des effets de la musique sur la matière grise qui nous régit ?
L'effet "Mozart" a été mis en lumière en 1993 par la spécialiste en neuroscience Frances H. Rauscher (université du Wisconsin Oskosh - USA), avec la publication d'un article dans Nature (vol 365, p 611) : "Music and Spatial Task Performance".
Définition Rémanence :
(Physique) Persistance de l'aimantation dans un barreau d'acier qui a été soumis à l'action d'un champ magnétique.
(Physique) Temps mis par un point de l’écran (pixel) pour passer de l'état allumé à l'état totalement éteint (et inversement, mais c'est surtout dans le premier sens qu'on s'en rend compte). Une rémanence trop importante (>40 ms) est gênante pour l’œil. On parle aussi de temps de réponse.
(Psychologie) Propriété d'une sensation, notamment visuelle, de persister après la disparition du stimulus.
L’état de la rémanence doit être provoqué, supervisé par le sujet et non permanent ce qui fait la différence en regard de la maladie mentale. Au moyen d’ancrages, nous pouvons provoquer le même mouvement d’ondes sans pour autant le faire de manière plus physique (ex : jouer de la musique). Prédisposition : des pensées vives (très visuelles), rapidité, aimer la recherche.
Musicalement Vôtre! Aussi bien pratiquer mes hémisphères. (lol)
MANirvana