Comme José le signale, chez vous ça commence toujours comme ça... ensuite, ça ce modère. Ca s'invers pas forcément, mais le "tout à fait valide" devient "grandement valide" et le "mauvaise qualité" devient "soulève des problèmes".thomas a écrit :Le protocole de Sheldrake est tout à fait valide. Les différents travaux efefctués par les sceptiques du CSICOP sont de mauvaise qualité : certains paramètres ne sont pas pris en compte par exemple ou d'autres font terriblement amateur. Dans le septième sens, Sheldrake reprend les travaux sceptiques et montre ce qui ne va pas
Expliquez-nous donc votre analyse du problème (sans nous demander de lire tout Sheldrake, ça fera plus sérieux: soulevez les points forts). On pourra juger de ce que vous avancez. Souvent, vous parlez beaucoup mais n'amenez rien de concret.
Et, s'il est vrai qu'il y a eu des expériences négatives, pourquoi ne parler que des positives? Parce que les autres ont été faites par des "chèvres"?
Ben, généralement la science fonctionne pas comme ça. Les résultats doivent pouvoir être obtenus par n'importe qui de compétent, même s'il n'y croit pas. L'"effet mouton/chèvre"* n'est qu'une manière de dire que le "psi" est réservée aux initiés. C'est du genre excuse ésotérique. D'autant plus que ça offre une excellente manière de faire de la sélection de données en donnant une impression de "scientificité" (suffit de dire qu'une expérience "négative" est faite par une chèvre, même si elle s'ignore mais qu'on ne doit considérer que les expériences de "moutons", donc positiives).thomas a écrit :Cela confirme ce qu'on savait déjà grace aux travaux sur l'effet mouton /chèvre : l'experimentateur fait parti intégranté du sytème, selon qu'il croit ou non à la réalité du phénomène, et sans que le protocole varie, les résultats seront là ou non
* On difficilement parler d'un véritable effet alors que tout est indirectement interprété. C'est comme l'"effet psi" de Péoc'h, de la spéculation.
Tout est affaire de présentation. Le problème peut être vu d'une autre manière: les sceptiques demandent la rigueur nécessaire. Et, cela fait disparaître l'"effet". Il est donc facile de comprendre que Sheldrake (ou autre) ne veuille pas trop collaborer. Et, en présentant bien les choses, il n'est pas très difficile de rejeter le problème sur les sceptiques. Bon, vous avez tendance à croire Sheldrake. Moi, j'aurai tendance à laisser parler les faits... et pense bien que dans dix ans, le "sense of being stared at" en sera toujours au même point*.thomas a écrit :Sheldrake donne plusieurs exemples de la difficulté de travailler avec des sceptiques de ce type et leur manque d'objectivité (données qu'ils ne veulent pas fournir, refus de débattre de certains points)
Jean-François
* Juste bon à alimenter des débats stériles.