FrankG a écrit :Laflamme a écrit :
La seule différence consiste dans la concentration de l'eau de mer qui avoisine 33 gr/l de sels totaux alors que celle de notre sang et milieu intérieur est de 9 gr/l.
Bon, vous commencez a raisonner. Maintenant poussez votre reflexion un peu plus loin, qu'arrive-t-il si on injecte une grande quantité de liquide très hyperosmolaire dans le système sanguin (je vous avertis tout de suite, vous risquez d'avoir a apprendre une chose ou deux avant de pouvoir repondre a cette question)
Après posez vous cette question : comment le sang transporte-t-il la grande majorité de l'oxygène dans le sang? Un indice : aux pressions atmosphériques ambiantes d'oxygène, seul 0,3ml de O2 peut être dissout dans 100ml de plasma. Le sang normalement oxygéné chez un être humain non anémique tourne autour de 19,5ml de O2 pour 100ml de sang. D'ou vient cette différence?
Peut-être quand vous pourrez répondre a ces questions vous comprendrez la pertinence des transfusions sanguines.
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Drôle de commentaire venant de quelqu'un qui affirme que la nature est parfaite et que les bactéries ne font que nous aidé a guérir. Pourquoi est-il si évident pour vous que les êtres humains peuvent être incroyablement méchant et déstructeur mais qu'il est totalement impossible que des organisme nous précédant dans l'évolution puisse causer du tort a d'autres êtres vivants. Nous découlons nous aussi de la nature, pourquoi ne sommes nous pas parfait est pacifiques comme ces gentilles bactéries?[/quote]
NOTE = Je m'adresserai à vous, FranckG, mais ma réponse interpellera tous les Sceptiques qui insultent l'esprit de Descartes et ont mis le doute au rancart ! Je n'ai vu aucun des postulats du cartésianisme ici. Je ne vois donc pas pour quelles raisons m'attarderais plus longtemps encore dans ce temple dogmatique où chacun à tour de rôle exprime ses opinions de manière "péremptoire, absolue et catégorique". Si ce jeu de pouvoir pseudo-scientifique vous satisfait, grand bien vous fasse !
C'est là tout le drame, FranckG, car l'homme est l'espèce la moins évoluée malgré sa prétention. Il est le seul à ne pas comprendre ou saisir d'instinct, comme l'animal, l'ordre des choses, les lois, l'évolution...
Il oeuvre dans son grand aveuglement à sa propre destruction.
La bactérie n’a pas d’ego, elle !
Je pense que vous n'avez pas encore compris, par vos questions et réflexions, que j'ai perdu la foi.
Vous aimeriez croire que j'ai été contaminé par des charlatans, car cela vous conforte dans les illusions que vous avez encore. Apprenez que je me suis volontairement dissocié. En silence. C'est la première fois, ici, donc dans un groupe de scientifiques (soit-disant !) que je sors de mon silence et je pense que j'aurais mieux fait de me taire, à lire autant d’inepties !
Ma vision à distance des Sceptiques était fausse. Le doute ne vous effleure même plus l'esprit. Je me retrouve face à d'ardents défenseurs du dogme. Des chiens de garde féroces.
Vous êtes hautement plus dogmatiques que les médecins que je croise tous les jours. Je ne parle pas des jeunes à peine sortis de la faculté qui ignorent encore tout des passions entre les hommes qui se font la guerre sourdement entre eux, des luttes fratricides, mais surtout le fait que depuis plus de cent ans, tous ceux qui sans exception ont soulevé des données séculaires et les ont remises en question ont vu leurs travaux écartés sous le fallacieux prétexte qu'ils contredisent les données reconnues par la soit-disant science médicale.
Selon l'éthique professionnelle, il n'est pas permis de discuter de la validité des moyens utilisés comme traitement en pratique médicale courante. Les intérêts pharmaceutiques priment sur le bien commun. Et ils cultivent la maladie pour en vivre, comme le disait si bien Jean Rostand. Cela crève les yeux ouverts, mais les votres sont fermés dur !
Cette façon de retarder le progrès, basé sur cette obscure détermination à exploiter ses semblables, fait en sorte que l'on déprécie systématiquement tous les travaux des chercheurs dont les conclusions ne s'accordent pas au dogme médical, car on ne peut prétendre qu'ils ont une formation et des méthodes de travail différentes des autres, n'est-ce pas ?
Les prétendus sceptiques sont assez dogmatiques pour refuser d'admettre qu'un médecin puisse ne pas partager leurs vues. On préfère crier haut et fort l'impossibilité de mon statut de médecin et de psychiatre, ma spécialité ! Cela ne prouve que la contamination de vos esprits. Hors du dogme, point de salut !
J'ai perdu la foi en lisant tous les travaux des "charlatans" que vous refusez de lire. Ce fut un choc, vous n'avez pas idée ! Haute trahison. Je suis révolté. Et pas seulement parce qu'on fait tout pour empêcher la diffusion ou qu'on démolit avec les croyances, surtout pour le traitement criminel réservé à ces chercheurs ! Je suis horrifié. Tous les droits et jusqu'aux droits humains les plus élémentaires sont bafoués.
Il faut être complètement éthéré et privé de toute émotion humaine pour ne pas voir l'horreur de telles pratiques sur des scientifiques dont le seul tort est de remettre en cause des aberrations thérapeutiques.
Dans le cas du Dr Hamer, le dernier sur lequel je me suis penché sur la longue liste centenaire, j'ai compris assez vite l'échec de toutes les tentatives pour le faire capituler corps et esprit = une force psychique peu commune. Peu d'hommes auraient résisté et d'ailleurs, très peu sont passés à travers cette sournoise inquisition.
Mais il y a aussi que ce médecin est supporté par de nombreux médecins dont plusieurs occupent des postes clés... Si vous saviez le nombre de médecins qui ont été guéris grâce à lui, vous tomberiez à la renverse. Les gourous diminuent sa crédibilité, mais les médecins ne sont pas tous fous !
Ses découvertes n'annihilent pas ses connaissances antérieures, pas plus que les miennes. Elle enrichissent d'une manière révolutionnaire la pratique médicale.
Le 25 janvier 2008, le Dr Hamer a rédigé une réflexion. La traduction de l'allemand au français ne rend pas justice à son esprit, mais elle donne une excellente idée des exigences !
"Fondamentalement on peut dire : Le futur médecin en la Germanique « Médecine Nouvelle Germanique » ne peut être un médecin « de série ». Il devra être humain et intègre, modeste, incorruptible et avoir les mains chaudes. Il devra aussi être largement qualifié, bien connaître l’ontologie, mais aussi très bien toutes les spécialités : la psyché, les scanners cérébraux, ainsi que l'ensemble de la clinique, car en « la Germanique » il n' y a plus de spécialistes, par ex. pour la gynécologie, le cœur, l’œil ou l’oreille, etc. Le médecin de la GNM devra non seulement bien connaître chaque spécialité mais encore pouvoir tout mettre en rapport avec les autres niveaux. Cela nécessite non seulement la qualification professionnelle et une certaine capacité intuitive, mais exige aussi un raisonnement de détective. En plus, il devra avoir du charisme, sinon il ne pourra nouer le contact avec le patient, c'est-à-dire que le patient ne s'ouvrira pas. Ainsi donc, sur 100 médecins il ne s'en trouvera peut-être qu’un qui conviendra.
Il ne suffit donc pas d’avoir lu quelques ouvrages sur la GNM ou d’avoir suivi quelques séminaires (Meta voleurs, têtes brûlées & cie, etc.) pour se jeter aussitôt sur les malades ou s'autoriser à voler/ s'approprier indûment la Médecine Nouvelle Germanique et l'amalgamer avec la médecine conventionnelle ou d'autres pratiques magiques, c'est beaucoup trop dangereux."
Ceci dit, pour expliquer simplement les choses, loin du jargon savant de votre spécialité, il n'y a qu'une différence entre un vivant et un mort = le % d'oxygène...
Il n'existe qu'une cause de mortalité = l'arrêt permanent de la respiration...
Et c'est pourquoi la quantité de sang que l'on retire d'un organisme représente un volume correspondant d'oxygène, puisque les globules rouges le transportent. Cette baisse d'oxygène prive l'organisme d'un % de vie. Et donc si vous donnez un litre de votre sang, cela peut suffire à mettre en péril votre vie. Le donneur diminue sa vie en cédant un volume d'oxygène et le receveur abaisse la sienne en recevant ce sang étranger au sien.
Toute chirurgie incluant une opération à coeur ouvert peut se faire sans apport de sang et qui plus est montre l'habilité du chirurgien ! J'ai vu à Houston les docteurs Charles W. Pearce et White Gibson pratiquer des centaines d'opérations à coeur ouvert sans aucun apport de sang. Aucun décès. Élimination des risques post-opératoires, d'hépatite infectieuse, d'accidents dus aux allergies ou incompatibilités et états de choc plus graves pouvant conduire à la mort. Gibson m'avait expliqué qu'il suffisait d'administrer trois fois plus de liquide que le sang perdu. Le soluté "Ringer amélioré" à l'époque, contenant du lactase de sodium, lui permettait même des opérations abdominales, comme l'ablation de l'estomac ou d'une partie des intestins, sans aucune transfusion sanguine.
Les travaux de René Quinton, physiologiste et biologiste français, ont aussi été occultés. Pourquoi selon vous ? Si le produit ou la thérapeutique ne reçoit pas l'aval des grands gourous en haut, pour vous, illuminés, le produit ou la thérapeutique est charlatanesque. Bravo ! Vous avez été bien dressés !
Vous ne savez absolument rien sur le commerce de "l'or rouge" ni les conséquences sur le bagage génétique de l'individu.
L'hématologue connaît les éléments constituants, leur nombre, la distribution globale, l'origine, le débit, etc. Mais ne lui demandez pas pourquoi ces éléments sont là ni par quel mécanisme varient les composants du sang en temps normal et dans des conditions spécifiques, vous aurez droit à une interprétation des faits spécialisée et claire seulement pour celui qui la formule. Il croit son raisonnement juste et logique, sa croyance étant que la transfusion est sans risque et assure un gain de vie. Perte d'hématites, donc déficit = apport étranger pour combler la perte. Conclusion pour lui évidente, mais déduite de l'interprétation des faits. Mais non pas de leur explication !
Un sang "pur et sans risque" cela relève de l'utopie et de croyances fantaisistes. On élève ainsi au degré de dogme une médecine qui fait plier les faits à la théorie !
Et on s'étonne encore que des nouveaux-nés de parents transfusés présentent une incompatibilité sanguine (facteur rhésus, hémolytique, viral, etc…) ? On cherche d'où proviennent ses altérations génétiques ! Le Dr Joseph Leroy a le premier, en 1952, référé aux modifications génétiques par les transfusions sanguines dans
Le sang, puissance de vie.
"La découverte des radiations a fait et continue à faire des dégâts irréparables chez des manipulateurs de rayons X ou de radium ou de rayons ultraviolets et chez des malades à qui on les applique aveuglément. La chimie si utile pour certaines améliorations de la vie a mis à la disposition des malintentionnés les explosifs et les gaz asphyxiants ; elle a servi à falsifier les aliments et à fabriquer une multitude de produits pharmaceutiques qui constituent à l’heure actuelle des fléaux inimaginables. Les découvertes de la bactériologie, précieuses pour étayer et perfectionner la propreté hygiénique, la technique chirurgicale et la pureté alimentaire ont fourni aux aveugles et aux fous des armes de destruction vitale (vaccinations innombrables et renouvelées ; opérations inutiles ; aliments stérilisés ; emploi des microbes pour créer des épidémies)." Dr Paul Carton
La médecine conventionnelle est une science occulte !
Les recherches médicales sont loin, très loin, de suivre les lois scientifiques. Elles sont toutes axées sur l'interprétation des résultats. Et l'utilisation d'appareils scientifiques n'est pas non plus une garantie de conclusions certaines, surtout quand l'objet de ces recherches vise l'ambition folle de "corriger la nature" et ainsi de perturber l'unité vivante. On pratique alors une médecine de mort.
"Le droit au doute scientifique", du géophysicien Claude Allègre dont j’ai pris connaissance il y a peu me semble un bon départ pour une réflexion urgente dans le monde scientifique.
"A-t-on le droit d'émettre des doutes sur une théorie scientifique "officielle", estampillée par les médias et les politiques ? "
" A partir des années 1980, un groupe de scientifiques a défendu l'idée que l'augmentation de la teneur en gaz carbonique dans l'atmosphère allait conduire à un réchauffement généralisé du climat de la Terre, à partir d'un mécanisme physique bien connu, l'effet de serre. C'est-à-dire l'absorption par certaines molécules, dont le CO2, mais aussi l'eau et le méthane, des rayons infrarouges émis par la Terre chauffée par le Soleil.
Ce groupe de scientifiques s'est organisé à l'échelon international sous l'égide des Nations unies pour rédiger des rapports officiels et promouvoir la recherche en climatologie. Sous-jacente à cette démarche, l'idée que l'homme est coupable et que nous courons à la catastrophe planétaire. Aujourd'hui, la climatologie est devenue une science à la mode, et ses budgets de recherche ont été multipliés par des facteurs importants (sans doute presque 10 aux États-Unis). Du point de vue médiatique et politique, cette théorie est devenue pour certains une certitude, une vérité incontestable."
La suite =
http://www.fahayek.org/index.php?option ... &Itemid=63
J’adore sa conclusion = "Au pays de Descartes, je revendique le droit au doute ! "
Le cartésianisme a pour première exigence de découvrir la réalité en vérifiant soi-même le commencement et de soutenir l'idée du progrès des sciences.
Mais il n’y a plus aucun progrès possible depuis 150 ans en médecine ! Ce n’est qu’un ressassement sans fin de vieilles théories présentées dans un emballage de modernité. Vos technologies sophistiquées vous aveuglent à ce point ?
Claude Bernard définit le doute comme la qualité la plus fondamentale de l'investigation scientifique. Vous ne doutez même plus, vous affirmez et vous pourfendez toute idée nouvelle ne cadrant pas dans votre sacro-sainte religion !
Je vous laisse continuer à tuer la vie avec les infectes potions supposément magiques de vos grand$ Manitou$ et faire enterrer vos morts par d'autres, puisque vous ne vous reconnaissez aucune responsabilité !
Lucas