Sur vos liens je relève les points suivants:
Celui-ci, simplement comme ça, c'est un peu étrange avec la gravité expliquée dans le texte.
Les données épidémiologiques concernant l'infection par le VHB sont assez peu précises en France. O.......
...........Les groupes à risque sont a priori les mieux vaccinés. Dans les hôpitaux de l'AP-HP de Paris, des enquêtes ont montré que 91 % de la population du personnel soignant est vaccinée. Si on affine l'analyse, ce taux tombe à 73 % parmi les laborantins, et les médecins n'ont jamais bien répondu aux campagnes de vaccination et on estime que la couverture vaccinale des médecins n'est toujours pas satisfaisante, voisine de 50 % [18]........
Cette conclusion que je trouve tout à fait adéquate et que je lie avec la suite de mon commentaire.
la nécessité d'une information objective et bien conduite du grand public, sous la responsabilité des pouvoirs publics et non des divers groupes d'influence, et la mise en place d'études épidémiologiques valables, permettant à la fois une mesure de l'impact de ces recommandations et un suivi des sujets vaccinés.
Un commentaire que je reconnais un peu polémique mais qui dans le fond justement est à mettre en parallèle avec la gestion de l'information, sur le deuxième liens, en fond de page 4 et page 5, il ressort, pour ce que j'en comprends sans étudier plus à fond le sujet, que le risque de développer une sclérose en plaque, existe sur des adolescents et est à l'étude à posteriori sur les enfants vaccinés en pré-adolescence, alors qu'il semble presque nulle sur les nouveaux nés.
Ceci signifie, pour moi, que mes enfants de 10 ans auraient servi à posteriori de cobayes, pour des connaissances épidémiologiques qui n'avaient pas été étudiées à la fin des années 80.
Je trouve cette attitude en complète contradiction avec la conclusion de l'article citée là-au dessus.
Et c'est là un des problèmes majeurs.
Avec les connaissances ébauchées dans l'article il est évident que je pense positive la vaccination des nouveaux nés. Pour tous les adultes et ados, je trouve simplement que sans avoir un dépistage et des chiffres valables, (Les données épidémiologiques concernant l'infection par le VHB sont assez peu précises en France) l'information devient discuttable, pas la logique du choix de vacciner tout le monde, mais la nécessité.
Je pourrais choisir de vacciner mes enfants, vu que j'en ai la responsabilité, même en cas de risque de complications dues au vaccin, si on me donne les moyens d'évaluer les vrais risques autant de la maladie que le vaccin protège, que ceux dues aux complications. C'est du reste ce que nous avons fait avec di-te ou di-te-per ou polio etc.
Percevoir une manipulation ou une omission d'information, qui se construit aussi à posteriori, ne construit pas la confiance dans les autorités sanitaires, avez-vous une confiance totale dans les pouvoirs publiques?
De plus à extrapoler de votre document qui parle de date 1990 - 1998 on pourrait sans grands efforts avoir vraiment l'impression d'avoir participé à un essai sur la population, et je ne suis pas de ceux qui trouvent que sans information ces méthodes sont correctes....!!!! Ce qui avait été suspecté et exprimé à l'époque, pour des raisons que j'ignore l'Italie aurait été choisie comme labo... je ne sais si cela reflète la rèalitè, mais la rèalité c'est que les italiens ne réagissent pas contre les décisions de l'état. Mais ceci n'est que spéculation de ma part.
Pour la grippe:
Ces pics automne - hiver sont prévus chaque année pour toutes les grippes non?
Et du reste on vaccine beaucoup de personnes âgées chaque année.
Au vu de l'évolution de cette grippe, colonies de vacances infectées, bateaux de croisière infectés, et puis tout disparaît dans le sable l'infection automnale et hivernale a-t-elle des raisons d'être plus virulente?