Je ne vois pas trop pourquoi tu en reviens à la vérification. J'ai parlé de confronter les aux modèles aux données (vérification) et tu as parlé d'honnêteté des scientifiques. J'essayais de suivre le sujet.epommate a écrit :Parce que personne n'a jamais fait de telles allégations. Je ne comprend pas trop ou tu veux en venir. La vérification n'est-elle pas un des fondements de la science ?
le débat ne peux pas avancer car il n'existe pas.. Je ne faisais que te citer un article scientifique pour voir si tu aurais des doutes face à ce que les auteurs (des scientifiques!!!!) rapportent. Ça ne te concerne pas plus que les modèles climatiques, en effet.epommat a écrit :Je n'y comprend rien et je ne suis pas sur que cela fasse avancer le débat. Est-ce que ca me concerne ?
D'abord je te demandais ce qu'est une fonction longue afin de voir le rapport avec le sujet. On peut faire des fonctions longues/courtes dans n'importe quel langage.epommate a écrit :Quelques exemple d'étude à la fin de http://c2.com/cgi/wiki?LongFunctions
C'est peut-être les standards en génie logiciel. Mais en science, le but n'est pas d'avoir le moins de bugs possibles, mais de pas en avoir. le vrai défi dans la modélisation est de reproduire ce qui se passe, et non d'avoir un code libre de "bugs".epommate a écrit :http://fr.wikipedia.org/wiki/Maintenance_du_logicielZwielicht a écrit :Être maintenable ne signifie pas contenir moins de "bug". Une fonction avec un bug ne fonctionne pas ou ne fait pas ce qu'elle devrait faire, un point c'est tout.
En génie logiciel, la maintenance du logiciel (ou maintenance logicielle) désigne les modifications apportées à un logiciel, après sa mise en œuvre, pour en corriger les fautes, en améliorer l'efficacité ou autres caractéristiques, ou encore adapter celui-ci à un environnement modifié (ISO/IEC 14764).
Qui a dit qu'on ne pouvait pas exécuter ou exécuter des modules pour examiner un code ? Regarde ce que j'ai souligné dans ma citation. De plus, aucun scientifique ne présenterait un code écrit ainsi, aussi peu documenté. Ensuite, en voyant ce code, je vois très bien ce qu'il ne fait pas. De sorte que si c'était censé être une équation physique quelconque, je pourrais dire dans les 5 premières secondes qu'elle ne l'est pas. Et surtout, il est très facile de voir que tout ce que ça fait est lire la source même du code et en imprimer des parties à l'écran, les détails seraient un peu plus longs à deviner mais c'est faisable.epommate a écrit :Sans exécuter ce programme, peux-tu me dire ce qui y est encodé:Zwielicht a écrit :Je vais regarder ton code source et le tester. En le testant je vais voir ce qu'il fait, s'il le fait bien. En l'examinant je vais voir si les résultats y sont encodésCode : Tout sélectionner
#:: ::-| ::-| .-. :||-:: 0-| .-| ::||-| .:|-. :|| open(Q,$0);while(<Q>){if(/^#(.*)$/){for(split('-',$1)){$q=0;for(split){s/\| /:.:/xg;s/:/../g;$Q=$_?length:$_;$q+=$q?$Q:$Q*20;}print chr($q);}}}print"\n"; #.: ::||-| .||-| :|||-| ::||-| ||-:: :|||-| .:|
Donc tu reconnais qu'un modèle physique a ceci de différent d'une simple somme empirique de polynomiaux qui viserait à reproduire des résultats de loto ?epommate a écrit :Je n'ai jamais prétendu le contraire.Voilà, ton programme n'invoquerait aucune loi physique. Ça serait une somme de polynomes ajustés mathématiquement. Alors que des modèles physiques utilisent des formules physiques, à la base.