Salut,
Elucubration a écrit :À mon avis, le redico ferait perdre du temps inutilement à Zwielicht et aux autres participants. Il serait plus simple que dedale avoue avoir fait erreur en affirmant que le CO2 atmosphérique est un aérosol, que l'effet de serre pourrait engendrer un refroidissement global, que le dioxyde de carbone d'origine volcanique bloque les rayons du Soleil, que le terme "global" dans "réchauffement climatique global" fait référence au temps plutôt qu'à l'espace, edit : que la vapeur d'eau n'est pas un gaz, etc. etc
Ouais ben tu portes pas ton pseudo pour rien toi. Tu es une véritable industrie à produire de l'ânerie.
Commençons par la fin :
-
que le terme "global" dans "réchauffement climatique global" fait référence au temps plutôt qu'à l'espace
les courbes dont nous débattions sont
des indicateurs de température pour des périodes données. Donc quand nous parlons de courbes globales de température, ça n'indique pas les lieux mais les périodes.
affaire suivante :
-
que le dioxyde de carbone d'origine volcanique bloque les rayons du Soleil
Que le co2 soit volcanique ou pas, ça ne change rien, c'est toujours du co2. J'ai parlé des volcans car certains disaient qu'ils n'émettaient pas de co2
1 - le co2 absorbe le rayonnement infra-rouge qui est ré-émis depuis la terre vers l'espace.
2 - cette absorption limite l'évacuation d'énergie. C'est ce qui provoque l'effet de serre.
3 - ce même rayonnement infra-rouge est absorbé par les molécules, ce qui altère leurs propriétés.
Voilà en gros ce qui se passe et comment je l'explique avec ma petite connaissance.
Ce qui est triste, c'est que tu te décarcasses à expliquer et que tu t'aperçois que des mecs dans ton genre, qui n'on rien pompé, viennent tout saboter en s'érigeant comme de grands justiciers qui viennent mettre de l'ordre. Moi j'appelle ça des guignols.
affaire suivante
- que l'effet de serre pourrait engendrer un refroidissement global
Ma véritable erreur a été d'avoir cité un scientifique qui pensait ça à une bande de crétins, vous en l'occurrence.
Comme si toi, tu avais la moindre capacité de savoir évaluer les conséquences de l'effet de serre.
Je n'ai fait que rapporter une info, et tu es incapable de la prendre compte. Tu confonds scepticisme et incapacité.
affaire suivante :
- en affirmant que le CO2 atmosphérique est un aérosol
Un aérosol est l'état d'une substance volatile composé de divers éléments. Parmi ces éléments, il peut y avoir sur co2.
Si tu me démontres que, tout aérosol confondu, il n'y a jamais de co2, j'admettrais mon erreur.
Et tu dis que la vapeur d'eau est un gaz. C'est le nec+ultra de la misère intellectuelle.
Affaire suivante : ha? c'est fini! Moralité : chien qui aboie ne mord pas. Ca sert à quoi de fanfaronner quand on a rien compris?
Zwielicht a écrit :Je crois que tu fais exprès pour répondre à de vieux messages quand des questions plus récentes t'embarrassent.
Et tu peux me préciser quelles questions m'embarassent?
Tu peux répéter ça aussi souvent que tu veux.. ça ne regarde que toi. Et tu n'as pas encore répondu (en retard sans doute) aux questions sur le % de CO2 dissout dans l'eau des nuages.
Ha oui, je vois. Je ne le répète pas pour toi. Les gars comme toi, on leur explique en vain sur 300 pages. Ca fait le même effet que de discuter de la naissance de la vie avec un témoin de jéovah.
Maintenant ta question :
- tu veux dire : le % de co2 dans toute l'eau des nuages de nôtre planète?
- et tu te demandes pourquoi je ne répond pas à ce genre de question parfaitement débile.
- moi je m'interroge sur ton % de connerie
Dans d'autres circonstances, ça ne me gonflerais pas de répondre. Mais là : à quoi cela servirait-il?
Si ta question avait été intelligente :
peut-on évaluer la masse d'eau contenue dans l'atmosphère et donc estimer du même coup la proportion de co2 susceptible de se mélanger et former de l'acide carbonique? par exemple, j'aurais trouvé ça moins absurde, plus dans le thème du débat malgré l'ignorance que cette question recèle.
Pour ma part, ma réponse est claire : on ne peut pas évaluer cela, il suffit de réfléchir un peu
L'humidité de l'air, la teneur en eau de l'atmosphère, c'est ce qui varie le plus, selon l'altitude, la température, la pression, les phénomènes saisonniers qui influences également la teneur en co2. Si je te répond sur un plan très global qu'il y a peut être, disons 10% du volume global de co2 contenu dans l'air qui s'agglutine à l'eau des nuages ou des brouillards - sachant que la proportion de co2 dans l'atmosphère est en moyenne de 0,04% env. et que l'eau des nuages doit constituer au pif entre 0,4% et 0,7% (voire plus) de l'atmosphère : je peux avoir raison comme me tromper. C'est évident que ces chiffres que je te donne peuvent être sans aucun rapport avec les mesures réelles qui, elles varient considérablement. Cette moyenne n'est pas applicable à un pic de pollution ou à une saturation hygrométrique, par exemple. Et c'est ça le vrai problème - les conséquences des pics de pollution sur le climat - pas de démontrer que tu détiens une ineffable et transcendantale vérité et que tu pleures ta mère pour me discréditer alors que je m'en tapes royalement.
Ta petite stratégie est claire : tu veux prouver que tu es meilleur que moi. Sinon tu n'aurais pas attendu : tu aurais toi-même apporté une réponse sans rien attendre des autres.
En science on tente de respecter le vocabulaire un minimum si on n'est pas un expert, ce qui devrait être notre cas à tous ceux qui discutent ici.
Si tu n'es pas un expert c'est ton problème. Personne n'est contraint par tes limitations. Imagines que si tout le monde raisonne comme toi, on est encore au paléolithique à attendre dans un profond respect que les erectus évoluent. Moi je discute, je ne joue pas au flic.
Je ne l'ai jamais sous-entendu. le 22 juin j'ai même écrit : L'acide carbonique, dans la chimie actuelle, est différente du CO2
.Donc tu mens.
et tu as écrit : "bref c'est du gaz!" donc tu patauges et te rattrapes comme tu peux à la volée, tant bien que mal.
Et moi je ris de voir un grand couillard être horrifié parce qu'on pense qu'il a commis une erreur. Ca égratigne ses dogmes, sa haute considération de lui-même.
Je n'ai pas avancé de point de vue personnel à fate. Je tente de te faire admettre que tu as tort sur des trucs tout simples qui sont à la base des points de vue que tu soutiens dans le sujet sur le climat (dont on est bien loin, par ta faute).
Tentes plutôt de discuter normalement, et tu verras que tout est plus simple, car tu es un véritable livre ouvert dans lequel je ne vois que de la pure connerie.
En outre, vouloir te faire passer pour une blanche colombe te rend aussi pitoyable que pathétique :
Cette date(1850) sort de ton imagination.
Ne crois pas que je vais recopier 15 fois les même sources, ou reprendre à 0 une discussion qu'on a déjà eu.
Tu es dans un foutoir pseudo-scientifique qui fait que les choses n'avancent jamais vers la vérité.
Ça ne nie aucunement l'existence de l'acide carbonique et ça s'appuie sur l'article que tu as amené (de W. Spring) il y a déjà 5 jours (ça fait depuis tout ce temps que tu pinailles).
Tu en es à te nier toi-même, pourvu que ça puisse te faire mousser.
Faut assumer mon vieux : tu as pris des éléments à la volée (des indos de la NASA, des données bicentenaires, des périodes vagues, etc) et tu as conclu avec précipitation. Ca ne veut pas dire que tu es un imbécile : ça veut dire que tout le monde peut faire des erreurs. Et moi, pour reconnaître ça, je n'ai pas besoin d'un flic sur le dos qui d'ailleurs n'a aucune autorité dans le domaine.
Si tu cesses de me gonfler, tu verras qu'on peut discuter : tout le forum n'attend que ça. Nous sommes ridicules. Moi je développe mes idées, je n'attend rien de toi. Fais pareil et tout se passera bien.
C'est un gaz dans l'article. Ma phrase est claire.
Bon ben tu vois on avance : c'était pareil pour moi avec l'article sur l'effet de serre conduisant à une glaciation. Mais bon, moi je n'ai pas dit "bref".
Quand on dit "bref", on ferme la porte au débat. On abrège.
Donc par "gaz acide carbonique", Tissandier réfère au CO2, en 1875. Comme Dalton réfère au CO2 par "acide carbonique".
Ca se peut. Les termes sont équivoques, on ne sait pas très bien.
Quoi qu'il en soit, comme je l'ai déjà dit, avec les ressources du 19°, il était certainement difficile de se prononcer sur la nuance entre co2 et acide carbonique.
Non, car acide carbonique désigne pour eux tout comme pour Dalton le CO2.
Ca c'est la version qui t'arrange : comme par hasard, ça ne désigne pas l'acide carbonique mais le co2, bien entendu.
Là je n'ai plus le temps. Mais si tu es d'accord, je vais essayer de te démontrer qu'au niveau de l'observation seule, il est très difficile de faire cette différence. C'est à dire que, par exemple, on observe du co2 qui s'échappe de la surface d'une eau pétillante -> dans l'eau pétillante se trouve une réaction qui elle est l'acide carbonique : la seule observation ne permettant pas de démontrer la différence entre le co2 qui s'échappe de l'eau et le co2 combiné à l'eau (à moins de se soumettre à l'observation moléculaire comme au 20° siècle), il est normal que les savants du 19° ne soient pas très clairs quand à la désignation de ces 2 corps qui peuvent sembler être le même dans l'air ou dans l'eau, a priori. On est d'accord sur ce point, quand même? (...de diou)
Pourtant, même si les termes ne sont pas bien différenciés en raison de la difficulté à observer, ça n'empêche que les 2 corps sont bien observés : c'est à dire du co2 pur, en tant que gaz, et l'acide carbonique, ce même gaz mais qui est combiné avec de l'eau. Donc lorsque des chercheurs capturaient l'humidité atmosphérique, ou faisaient des précipitations pour en extraire leur gaz carbonique, c'était bien de l'acide carbonique. Lorsqu'un chercheur piégeait des émissions provenant du vivant, c'était bien du co2. Seulement ces corps n'étaient pas encore aussi précisément classifiés qu'ils ne le sont aujourd'hui - heureusement que ça évolue. Mais ils étaient cependant identifiés, comme pouvant tenir l'un de l'autre, ou répondant à des critères communs, mais obtenus avec des expériences différentes qui les faisaient être distincts. CE qui explique ces termes divers et parfois hybrides.
Ensuite, ce sont avec les expériences reproduites, la validation des critères, que les termes se sont précisés.