Les sceptiques: "Est-ce qu'on ne pourrait pas parler de quelque chose de plus intéressant?"
Enola Gay: "Dites-moi ce que vous pensez de la chanson! Dites-moi ce que vous pensez de la chanson! Dites-moi ce que vous pensez de la chanson! Dites-moi ce que vous pensez de la chanson! Dites-moi ce que vous pensez de la chanson! Allez, dites-moi ce que vous pensez de la chanson! Allez!"
Les sceptiques (lassés devant son comportement puéril): "Elle n'est pas franchement transcendante."
Enola Gay: "Vous n'avez pas le droit de dire ça! Pantel est un génie! Vous êtes de grands méchants! Des nazis qui fusillent les chansons qui ne vous ont rien fait. Pourquoi vous en parlez, d'ailleurs?"
Et voilà qu'il agite deux nouveaux "chiffons rouges": les chanteurs québécois* et J.-P. Petit. À croire qu'il tient pas mal du ravi, ce mec. Incapable de parler rationnellement de Pantel, tellement il est en adoration béate (et stupide) devant son image folklorique.
Jean-François
* Peut-être est-ce la faute au québécois si Pantel n'a pas grand talent
