Veuillez m'excuser Denis que le débat soit ainsi détourné, mais c'est le fait d'Enola (et non le mien) qui évite ainsi de répondre aux questions qu'on lui pose et ne s'attache qu'à démasquer l'identité des gens pour mieux baver sa haine (voir encore ses deux succintes interventions). Sachez que je me serai bien passé d'écrire tout ceci qui n'a pas grand intérêt, qui n'a que l'intérêt de répondre uniquement à tout ce qu'à avancer Enola et de révéler les méthodes fascisantes employées pour discréditer la parole d'un homme. Tirez-en donc les leçons que l'on peut en tirer au-delà du récit que je fais.
Je n'étais venu que pour apporter mon témoignage et mon interprétation du cas Pantel afin d'éviter à certains de se leurrer, et comme je l'ai dit espérer faire parler certains (comme Trouvésurlilith) qui ont bien plus de choses à dire. Je termine donc le plus brièvement possible en espérant qu'Enola cessera d'attaquer ainsi pour masquer le fait qu'il n'a rien à rétorquer à tout ce qui est avancé. Je pense que vous en auriez fait de même si vous l'on vous décrivait publiquement comme un immonde et fieffé salopard. Ensuite je répondrai à vos questions.
Enola me discrédite concernant les études de philosophie que j'ai entreprises: en effet je ne me suis pas dans un premier temps présenté aux examens (mais Pantel peut-il me le reprocher lui qui a toujours fui face à ses échéances, sauf le jour où son père l'a accompagné jusque dans l'amphi pour passer le concours d'entrée à la sécurité sociale), ce qui ne veut pas dire que je n'ai rien appris au cours de mon passage à l'université, simplement j'avais, grâce à la dévalorisation pantélienne relayée jusque dans les Textes, perdu toute confiance en moi. En outre il est vrai que cet éminent penseur et scientifique qu'est Platania a eu l'occasion de m'aider pour deux dissertations dont la paternité je dois le reconnaître lui revenait quasi exclusivement: mais ses notes (un 9 et un 10 en première année de philo) ne sont pas révélatrices de la réputation qu'Enola fait de lui.
Peut-être ai-je émis des plaintes comme le souligne Enola face à cette espèce de démolition de l'individu qui s'opère quand Pantel n'a pas les résultats escomptés avec lui. Car pour prétendre m'avoir "choyé comme son propre fils" je dois dire que je n'ai jamais eu (Lucette mise à part) le moindre geste d'affection ou la moindre parole réconfortante. Je n'ai d'ailleurs jamais vu Jean-Claude affectueux ni tendre ou attentionné avec qui que ce soit (à part son chien), même pas avec sa femme. Cela dit, je ne dirai pas non plus que j'ai été martyrisé ou harcelé, loin de là.
J'ai donc décidé de me libérer des Pantel mais pas sans justifications: ce geste devait leur démontrer justement que je n'étais pas attaché à leur hospitalité et que si je les fréquentais ce n'était pas pour profiter d'eux comme ils me le reprochaient en permanence. La vérité comme je l'ai dit c'est que Pantel se montrait de plus en plus intolérant et Lucette avec lui de moins en moins amicale. C'est sur le prétexte qu'ils ont refusé de garder mon chien quelques heures (service que je ne leur avais jamais demandé - en outre je ne demandais jamais rien - on voit là les limites de leur générosité) que j'ai décidé de couper les ponts. Ils n'ont peut-être pas compris mon départ impromptu, car ils ne savaient pas ce que Dakis m'avait révélé.
J'ai pu par la suite quelque peu m'expliquer avec Lucette qui m'a confirmé que Pantel était bien un manipulateur, qu'il provoquait ces phénomènes - pas tous cependant selon ses dires - et qu'il était bien la cause de ces voix qui lui transmettait ces Textes, comme me l'avait dit Dakis. Je les revus encore quelques fois, mais Pantel qu'une seule fois car il commençait régulièrement à quitter le foyer pour fréquenter une autre femme.
Pour ce qui est de l'athlétisme affirmer que je stagne misérablement dans une grande médiocrité c'est faux: après ce départ j'ai continué à m'entraîner, j'ai battu tous mes records (en dehors du 800m où je n'ai fais que réaliser une performance 7 centièmes supérieure à mon record) malgré de nouvelles blessures à répétitions (entorse, ruptures de ménisques, déchirure musculaire), faisant des podiums régionaux, il y a deux ans j'ai couru en 33' la distance des 10 km (18 km/h de moyenne) et l'année dernière je figurais à une très honorable place aux championnats du monde de course de montagne. Je vous laisse seuls juges de la médiocrité dans laquelle je me vautre. Enola peut-il en dire autant lui qui semble-t-il n'y connaît vraiment pas grand chose en athlé malgré ce qu'il affirme ?
Je précise qu'avant de rencontrer les Pantel je ne faisais pas de compétition, j'ai décidé de quitter le foot pour un sport individuel, et n'ayant pas les moyens de me payer un vélo je me suis inscrit au club d'athlé (si j'avais été un peu plus riche j'aurai évité toute cette histoire - comme quoi tout tient à peu de choses). Et ce sont les propos tendancieux d'Enola qui laissent à penser que l'on me forçait: non, l'athlé constitue un vrai plaisir et une véritable exigence envers moi-même, sans doute Pantel me mettait la pression et me dévalorisait régulièrement mais ne forçait point. Sans doute que je me manifestais pas la constance qu'il attendait mais ce n'est qu'avec le temps et surtout en me déprenant de Pantel que j'ai pu prendre conscience des choses, me posséder moi-même et me construire en reprenant confiance en moi: c'est pourquoi j'ai persévérer en athlétisme comme dans les études de philosophie où cher Enola j'ai obtenu par mes propres moyens bien plus qu'un deug. Tout ce qu'Enola sait de moi ce sont les pitoyables recherches internet qu'il a dû effectuer (pour pouvoir s'en prendre à moi) et voir les quelques courses sur route régionales que j'ai dû gagner, d'un niveau modeste j'en conviens mais il serait bien incapable d'en faire autant, il est tout juste bon comme Pantel à dévaloriser les autres.
Enfin, qu'il sache que Lucette ne m'a jamais refusé net sa porte (qu'en sait-il puisque Pantel est séparé de Lucette ? ) car je ne m'y suis jamais présenté, que certes je lui ai écris une lettre lui demandant de s'expliquer sur cette histoire et qu'elle n'a jamais répondu, que je l'ai croisée trois fois ces dernières années, qu'elle m'a dit de passer la voir quand je voulais et m'a donné son numéro de téléphone à deux reprises (que j'ai perdu), qu'à chaque fois qu'elle croise mon père au marché du village elle lui dit de me dire que je peux venir quand bon me semble et que cela lui fera plaisir.
Voyez comme quoi vous êtes loin de la vérité, malgré ces merveilleux êtres qui parlent à Jean-Claude et qui pourtant ne lui apprennent pas grand chose et ne prédisent rien. Désolé Denis d'avoir été si long.

Mais votre calvaire avec le mien s'achève là; en espérant encore une fois qu'Enola ne se disperse plus.