Denis a écrit :J'ai l'impression (dis-le si je me trompe) que, pour toi, il y a une discontinuité psychique radicale entre l'homme et les autres animaux. Je la conteste, cette prétendue discontinuité.
Je ne considère pas qu’il y ai discontinuité psychique absolue entre l’homme et l’animal cependant, je ne comprend pas comment vous réussisez le tour de force de ne pas voir le paradoxe fondamental qu’il y a entre la coexistence des domaines du non-vivant, du vivant et du pensant.
Bien sure, aucun ne peut véritablement être conçu indépendamment des autres. Où est donc l’Un dans ce multiple ? En faite, depuis Platon ce problème a hanté toute l’histoire de la pensé scientifique.
L’argument « objectif » qui permetterait miraculeusement de résoudre de manière définitive et objective le paradoxe de la coexistence du non-vivant , du vivant et du pensant quoi qu’en diront les uns et les autres n’existe pas.
Lorsqu’on fait le choix d’une hypothèse particulière, il convient de se demander pourquoi on le fait, ce qu’on recherche et ce qui en découle (de notre conception de l’homme et de sa place dans l’univers)
Le matérialisme qu’il soit constructiviste ou positiviste n’amêne pas une vérité scientifique objective; c’est une négation de la recherche des caractéristiques universelles capable d'exprimer aussi bien les concepts mathématiques, scientifiques, économique, artistique, ou métaphysiques.
Commencons par les relations entre le non-vivant et le vivant. Épistémologiquement, il a existé deux manières apparemment opposées de fuir le méga-paradoxe; le vitalisme et le matérialisme. Dans ce cas, le matérialisme nie simplement l’existence du paradoxe car il voit le vivant comme un épiphénomène du non-vivant : il n’admet pas de différence qualitative entre les deux.
Quant au vitalisme de Stahl et de Bichat, il fut complètement limité à l’anatomie comparative. Ne disséquant que des cadavres pour comprendre les trouble physique et les maladies, ils leurs fut impossible de comprendre comment plusieurs organes peuvent participer à un même effet simultanément.
Ces deux approches (compatibles avec l’hétérogénie domminante) furent réfuté avec succès par les physiologistes du XIXe siècle, comme François Magendie et Claude Bernard.
Quel est la différence entre la biosphere et la noosphere?
Comme l'a démontré le géochimiste Vernadsky, l’évolution général de la biosphere suit des lois fondamentales comme l'encéphalisation c’est a dire l’autocomplexification noospherique (le procesus de complexification des systèmes nerveux animal). Sont évolution a surment commencé dès l’apparition des premiers organismes pluricellulaire animal. Donc même si la naissance de l’humanité en tant qu’espece est probablement du au hasard, l’évolution du pouvoir cognitif fait parti des lois de la nature.
L’humanité justement par des technologies créative (donc non biologique) a augmenté de 1000, sa densité démographique potentielle relative depuis sont apparition. Aucune espece de notre biosphere n’a fait cela avant nous.
Le bien pour moi même si il est relatif dant le geste et la situation personnelle, est tout de même totalement universel pour notre espece. C’est la recherche du bonheure, ou de l’idée qu’on s’en fait.
La nourriture, l’eau, l’hygiene, l’abrit, la santé, l’acces aux biens d’utilité et de services,
l’éducuations, la liberté d’expresion, de religion et d’opinions. Le droit a la dignité par le progres morals, artistique, scientifique, économique et politique, voila ce qui est bien universellement pour l’humanité.
Et non, l’homme n’est pas qu’un animal comme les autres, en tant que partie intégrante de l’aventure de l’univers, notre espece est la représentante toute puissante de la noosphere sur terre.