LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

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Fair
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#51

Message par Fair » 21 sept. 2011, 06:03

Bonjour Krapelin,

Je ne suis pas sûr de vous suivre, mais peut-être avons-nous une définition différente de la "maladie mentale". Vous dites :
Kraepelin a écrit :Les informations dont nous disposons nous laissent croire que l'autisme est une maladie dont la base principale est organique.
Si par "organique" vous parlez d'une "faille" ou d'un "problème" ou d'une "malformation" du cerveau, bref d'un problème neurologique, je suis d'accord avec vous.

Mais vous ajoutez ensuite :
Kraepelin a écrit :C'est pourtant une maladie dont les principales manifestations concernent le fonctionnement de l'esprit.
Puisque le cerveau est l'organe (selon moi) qui "forme" l'esprit, l’intelligence, la perception de soi, etc ... C'est normal (voir évident) qu'un "problème" au cerveau affecte l'esprit.

Mais lorsque vous dites :
Kraepelin a écrit :C'est donc bien une maladie mentale et sa place est bien dans le DSM-IV.
Là je ne vous suis pas puisque je fait une différence entre "maladie neurologique" (affectant évidemment l'esprit, etc ...) et maladie mentale (voir Wiki "trouble mental") qui parle d'un trouble psychologique ( ce n'est pas le cas de l'autisme) ou comportemental (qui n'est pas un trouble relié exclusivement à l'autisme).

L'autisme n'est pas pour moi une maladie mentale qui devrait avoir une place dans le DSM, mais un problème neurologique dont les "symptômes" peuvent "se rapprocher" de la maladie mentale. L'autisme n'est pas (toujours AMHA) l'affaire des psychiatres, mais celui des neurologues et, à la limite, des psychologues comportementales, cherchant à changer des comportements (pour le bien physique et social de la personne) et non à "guérir" la personne ou à "comprendre" les motifs psychologiques de ses comportements.

Bref, le problème se situerait au niveau du cerveau, au niveau neurologique, et non d'un "trouble mental" ayant place dans le DSM, laissant place au psychiatres pour "trouver une solution à l'autisme". Il s'agit d'un problème "physique qui affecte le mental" et non d'un "problème mental".

J'espère que vous comprendrez ma pensée. Ma formulation est peut être boiteuse, je n'ai pas toujours les bons mots pour exprimer ma pensée.

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Florence
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#52

Message par Florence » 21 sept. 2011, 10:19

Intéressant article sur le sujet dans la Revue Médicale Suisse de cette semaine
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken

mauricemaltais
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#53

Message par mauricemaltais » 21 sept. 2011, 16:00

Bonjour

Tout en ssayant de plus en plus de faire la recherche sur les moyens d'avoir des meilleurs résutlatat pour mieux relaxer je ne répondrez pas aux questions qui sont en dehors de la meilleure manière qu'on peut employer d'abord chez les autismes et les gens en général pour mieux relaxer.

A-t-on essayé d'avoir un animal près d'un autiste. Chez Cory cela n'a pas fontionné. Et avec le sport,l' intelligence et l'habileté semblent aller ensemble. Ma parente à une habileté qu'on voit rarement ches les femmes. Cory est très habile dans le sport. En espérant qu'ils vont faire du sport pour seulement y participer et non pour absolument gagner des trophées

Beaucoup d'athlètes qui réussissent dans le sport sans vouloir y gagner sa vie se recrutent parmi ceux qui vont ou qui peuvent aller à l'université.

Ceux qui sont surpris par le fait qu' une grande intellgence peut occasionner des inconvénients pourraient se demander pourquoi le pourcentage de l'autisme monte graduellement en particulier aux États-Unis. Dans une certaine régions c'est presqu'une épidémie. Son nom est je pense Sun Valley si je me trompe pas. ET c'est une des régions où on y trouve le plus de chercheurs. Si le cerveau continue à se developper constamment avec le temps ,le groupe d'autistes peut devenir une force qu'on doit respecter parmi la population.

Maurice

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Brève de comptoir
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#54

Message par Brève de comptoir » 21 sept. 2011, 18:44

Si le cerveau continue à se developper constamment avec le temps ,le groupe d'autistes peut devenir une force qu'on doit respecter parmi la population.
Encore du mythe... Le développement du cerveau humain... Tu parlais de la grosseur du cerveau l'autre fois... il y avait des espèces homo qui avaient de plus gros cerveau que l'homo sapiens. la baleine ou l'éléphant ont il me semble un plus gros cerveau que l'homme... Comme dit ma chère et tendre, c'est pas la taille qui compte (enfin elle le dit pas à moi^^).

Donc ça veut dire quoi le "développement du cerveau" ? Pas grand chose à mon humble avis. Comme l'intelligence. Tu ne cesses de parler d'intelligence. Ce n'est pas quelque chose de scientifiquement mesurable. C'est parfaitement subjectif. Et les tests de QI, c'est de la branlette. Ça prend en compte que certains aspects d'une certaine forme d'intelligence. Au lieu de parler d'intelligence, il faudrait sans doute mieux parler d'aptitudes. Si dans tes exemples, certains autistes (s'ils le sont vraiment) ont des aptitudes exceptionnelles, il en reste pas moins que pour les aptitudes courantes ils sont parfaitement déficitaire. C'est sûr les tests de QI ne vont pas mesurer des choses aussi qu'avoir le réflexe de faire une liste de course, savoir déclencher une conversation intéressante à base de "il fait beau aujourd'hui"...

Sur la question si c'est une maladie mentale... il me semblait avoir compris pourtant que ce n'était pas une maladie... C'est un trouble avec des causes neurologiques. Il n'est pas question de guérir de ce trouble. C'est un handicap à vie et les autistes, selon le degré de trouble, devront s'adapter et être aidé pour naviguer dans la vie au quotidien. Ça c'est vraiment la vision normative qui voudrait que chaque individu ressemble au canon qu'on se fait de ce que doit être un être sain. C'est cette même vision qui a fait passer l'homosexualité pour une maladie...

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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#55

Message par dom. » 21 sept. 2011, 18:54

Et pour les psychanalystes l'homosexualité et la masturbation sont des maladies.
Moi je pense que la psychanalyse est une maladie de la société au même titre que les sectes, le religions, les pseudosciences, les astrologues, les gourous etc...
Une maladie c'est ce le fait d'être atteint par un trouble qui cause des souffrances. La psychanalyse est un trouble dont la science, la société sont atteints. Au niveau individuel cela se traduit par des croyances irrationnelles en des fausses vérités.

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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#56

Message par mauricemaltais » 21 sept. 2011, 19:10

Bonjour

Voici un site qui parle du bien que les animaux peuvent apporter aux autistes.

http://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=137

Maurice

Jean-Francois
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#57

Message par Jean-Francois » 21 sept. 2011, 19:12

mauricemaltais a écrit :Ceux qui sont surpris par le fait qu' une grande intellgence peut occasionner des inconvénients pourraient se demander pourquoi le pourcentage de l'autisme monte graduellement en particulier aux États-Unis
Sans doute parce que ce "syndrome" est mieux étudié et que les techniques de dépistage se sont améliorées. Depuis quelques années, les affections neurologiques sont redevenues "à la mode", en grande partie à cause de l'important développement des techniques de scanner qui permettent l'étude des bases céérébrales de ces affections.
Dans une certaine régions c'est presqu'une épidémie. Son nom est je pense Sun Valley si je me trompe pas. ET c'est une des régions où on y trouve le plus de chercheurs
Après la transmission des caractères acquis à la descendance, voici les concept momoesque de "transmission des caractères acquis à la descendance d'autrui". On n'arrête pas le progrès :lol:
Si le cerveau continue à se developper constamment avec le temps
Nan! À partir d'un certain âge (aux alentours de 60-70 ans), il commence à se rabougrir. Si vous parlez d'une augmentation moyenne au sein de la population humaine (ou d'un sous-groupe), quelles sont vos sources? Parce que, à ma connaissance, un tel accroissement n'a pas été démontré (contrairement à la réussite aux tests de QI qui, elle, s'améliore constamment).

Jean-François
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Denis
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#58

Message par Denis » 21 sept. 2011, 20:01


Salut JF,

À propos du cerveau, tu dis :
À partir d'un certain âge (aux alentours de 60-70 ans), il commence à se rabougrir.
Misère!

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:) Denis
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Kraepelin
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#59

Message par Kraepelin » 21 sept. 2011, 21:24

Fair a écrit : Là je ne vous suis pas puisque je fait une différence entre "maladie neurologique" (affectant évidemment l'esprit, etc ...) et maladie mentale (voir Wiki "trouble mental") qui parle d'un trouble psychologique ( ce n'est pas le cas de l'autisme) ou comportemental (qui n'est pas un trouble relié exclusivement à l'autisme).
La division entre le neurologique et le psychologique est très perméable. Certaines maladies sont assez à cheval entre les deux. Leur classement d’un côté ou de l’autre doit probablement dépendre de facteurs historiques.
Fair a écrit : L'autisme n'est pas pour moi une maladie mentale qui devrait avoir une place dans le DSM, mais un problème neurologique dont les "symptômes" peuvent "se rapprocher" de la maladie mentale.
Dans ce cas, il faudrait aussi retirer la schizophrénie du DSM-IV parce qu'on est à peu près certain qu'elle a une forte composante organique.
Fair a écrit : L'autisme n'est pas (toujours AMHA) l'affaire des psychiatres, mais celui des neurologues et, à la limite, des psychologues comportementales, cherchant à changer des comportements (pour le bien physique et social de la personne) et non à "guérir" la personne ou à "comprendre" les motifs psychologiques de ses comportements.
Votre vision de la neurologie et de la psychiatrie est un peu naïve. Le type de compétences nécéssaires pour comprendre les outils d'évaluation et les techniques de traitement des autistes n'ont pas grand chose à voir avec les compétences de neurologues. Les psychiatres et les psychologues sont bien mieux préparés.
Fair a écrit : Bref, le problème se situerait au niveau du cerveau, au niveau neurologique, et non d'un "trouble mental" ayant place dans le DSM, laissant place au psychiatres pour "trouver une solution à l'autisme". Il s'agit d'un problème "physique qui affecte le mental" et non d'un "problème mental".
Je comprends votre raisonement. Il semble logique mais il est en fait erroné. Il n'y a pas un division étanche entre le neurologique et le psychologique. Par ailleurs, la cause prédominante d'un trouble n'est pas non plus toujours le meilleur indice du meilleur spécialiste disponible pour le traiter. Les manifestations de la maladie et les vecteurs les plus susceptibles d'aider la personne ont bien plus d'importance que les causes possibles.

Dans le cas de l'autisme, les neurologues ne peuvent pas faire grand chose. Ils ne sont même pas compétent pour diagnostiquer la maladie. Les tests standardisés peuvnet faire mieux que les scans pour le diagnostic de ces troubles. Pour ce qui est du traitement, les techniques intensives de rééducation comportementale peuvent quelque chose. Les pédopsychiatres et les psychologues sont donc bien mieux préparés.
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell

Jean-Francois
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Re: Sauve qui peut!

#60

Message par Jean-Francois » 21 sept. 2011, 21:35

Denis a écrit :À propos du cerveau, tu dis :
À partir d'un certain âge (aux alentours de 60-70 ans), il commence à se rabougrir.
Comme tu dis: misère! Chacun sauve c'qui peut! Mais, rassure-toi (?), il y en a chez qui ça à l'air de commencer beaucoup plus jeune :mrgreen:

Cela dit: je n'y suis pour rien dans la conception de ce machin (à l'utilité fort discutable, par ailleurs, à l'échelle cosmique).

Jean-François
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Échelle cosmique

#61

Message par Denis » 21 sept. 2011, 22:04


Salut JF,

Qu'entends-tu par "échelle cosmique" ?

Ça ?

:) Denis
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Morphogenetic
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#62

Message par Morphogenetic » 21 sept. 2011, 22:45

mauricemaltais a écrit :Bonjour

Tout en ssayant de plus en plus de faire la recherche sur les moyens d'avoir des meilleurs résutlatat pour mieux relaxer je ne répondrez pas aux questions qui sont en dehors de la meilleure manière qu'on peut employer d'abord chez les autismes et les gens en général pour mieux relaxer.

A-t-on essayé d'avoir un animal près d'un autiste. Chez Cory cela n'a pas fontionné. Et avec le sport,l' intelligence et l'habileté semblent aller ensemble. Ma parente à une habileté qu'on voit rarement ches les femmes. Cory est très habile dans le sport. En espérant qu'ils vont faire du sport pour seulement y participer et non pour absolument gagner des trophées

Beaucoup d'athlètes qui réussissent dans le sport sans vouloir y gagner sa vie se recrutent parmi ceux qui vont ou qui peuvent aller à l'université.

Ceux qui sont surpris par le fait qu' une grande intellgence peut occasionner des inconvénients pourraient se demander pourquoi le pourcentage de l'autisme monte graduellement en particulier aux États-Unis. Dans une certaine régions c'est presqu'une épidémie. Son nom est je pense Sun Valley si je me trompe pas. ET c'est une des régions où on y trouve le plus de chercheurs. Si le cerveau continue à se developper constamment avec le temps ,le groupe d'autistes peut devenir une force qu'on doit respecter parmi la population.

Maurice
Mr Maltais

Parliez-vous des recheches en neuroplaticité qui est vraiment encourageant car notre cerveau peu se refaire une santé via de
nouvelle connexion neuronale .

http://www.amazon.fr/%C3%A9tonnants-pou ... 2714444083

http://adapt.snes.edu/spip.php?article484

La question de l'autisme est mentionné ici

http://expliquenoustout.blogspot.com/20 ... icite.html

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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#63

Message par mauricemaltais » 22 sept. 2011, 23:09

Bonjour

À Jean-François, le cerveau comme les autres parties du corp tôt ou tard se détoriore. Mais je présume que c'est la condition du corps en générale qui est en cause, non l'âge.

Concernant l'augmentation graduelle du nombre d'autistes je voulais dire que génération après génération il va y avoir une augmentation constante dans le nombre si comme je pense les générations futures seront plus intelligentes que celles du passé.

Je parle des problèmes que peuvent avoir des gens qui ont une intelligence au-dessus de la moyenne en particulier les autistes mais dans le monde en général ceux qui ont le même degré d'intelligence eux aussi peuvent avoir des problèmes en se défoullant avec la démesure de l'alcool ou de la drogue. Il semble vraiment que les agissements curieux des autistes et de d'autres comme ceux qui sont schysophrènes sont pour eux une façon pour se défouller. Le couple qui s'occupait de dix des victimes de cette maladie disaient que ces patients faisaient une crise régulièrement mais jamais deux en même temps. Donc les crises n'étaient pas entièrement incolontaires sans cela ils n'auraient pu faire ce tour de force.

Donc les autistes pourront combattre un jour leurs agissements comme Cory a combattu le syndrome de Gilles de la Tourette et le mathématicine qui a reçu un prix Nobel après avoir combattu lui-même la schysophrénie. Ils pourront le faire quand ils seront convaincu qu'ils peuvent eux-même faire le plus gros du travail .

Maurice

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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#64

Message par Jean-Francois » 22 sept. 2011, 23:32

mauricemaltais a écrit :Mais je présume que c'est la condition du corps en générale qui est en cause, non l'âge
Plus généralement, c'est la faute au 2e principe de la Thermodynamique :lol:

Cela ne change rien au fait que le cerveau qu'on ne peut affirmer que "le cerveau continue à se développer constamment avec le temps". Même si la neuroplasticité est une réalité, il y a une limite à ce que les neurones peuvent faire: aux nouvelles connexions qu'ils peuvent établir, aux nouvelles protéines qu'ils peuvent synthétiser, etc. De plus, la plasticité cérébrale est évidemment plus grande à 15 ans qu'à 30 ans.
Concernant l'augmentation graduelle du nombre d'autistes je voulais dire que génération après génération il va y avoir une augmentation constante dans le nombre si comme je pense les générations futures seront plus intelligentes que celles du passé
Si la population humaine continue d'augmenter, le nombre d'autistes augmentera proportionnellement. Pour le reste: comme, selon moi, vous mélangez l'autisme avec plein d'autres choses qui n'ont pas forcément rapport (problèmes d'attention, dyslexie, etc.)... il est difficile de vous suivre.

Jean-François
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#65

Message par Poulpeman » 22 sept. 2011, 23:49

Salut,

Je viens de visionner le documentaire.
Je savais que la psychanalyse, c'est du grand n'importe quoi. Par contre j'ignorais qu'elle était aussi misogyne.

Poulpeman
Si Dieu existait, il faudrait s'en débarrasser. (Michel Bakounine)
Mon blog : critique de l’idéologie dominante et promotion de la philosophie libertaire

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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#66

Message par mauricemaltais » 24 sept. 2011, 16:58

Bonjour

À Jean-François, je suis d'accord avec toi que je peux être parfois difficile à suivre c'est de la recherche et une journée on semble sur un bon filon et l'endemain cela nous parait absurdre. Mais c'est de l'aide énorme qu'on peut apporter parce que mênes nos erreurs font avancer la recherche.

Depuis très longtemps je me demandais pourquoi les autistes très souvent ont des problèmes de santé même chez ceux de haut niveau. Une recherche chez ceux qui qu'onduisent un taxi à Londres peuvent donner une réponse. Cela peut faire poser également plusieurs questions. Il y a 10 milles rues dans cette ville . On a examiné leur cerveaux et on est persuadé que de nouveaux neurones sont venus s'ajouter aux autres pour les aider à toutes les connaitre. Je donne l'adresse d'un des sites qui en parle.

Donc plus on se sert de son intelligence plus on peut faire naitre d'autres neurones. Ce qui pourrait expliquer que les personnes âgées qui continuent malgré d'âge de faire des travaux intélectuelles font retarder certaines maladies. Concernant les autistes d'abord leur cerveau commence à augmenter vers le début de la deuxième années. Mais le processus est peut-être déjà en marche si pour plusieurs autistes leur santé fait défaut dès la naissances à cause surtout d'un accouchement difficile.

Ma première opinion sur pourquoi il a un lien entre mauvaise santé et autisme. Le nouveau né constatant qu'il n'a pas la force de se servir adéquatement de ses membres commencent par dépit à avoir une activité intellectuelles plus intense que les autres .Cela va le distraire de la présence de sa mère d'abord. Et comme ceux qui conduisent un taxi à Londres il va y avoir une augmentation dans la production de d'autres neurones et une augmentation de la grosseur de leur cerveau .

Parmi ceux qu'on considèrent comme autiste profond il y en a qui sont vraiment des autistes mais peut être il y aa des enfants dont leur intelligence est plus limité. Il existe peut-être des tests pour les différencer.

IL est peut-être plus facile d'augmenter son intelligence que d'apprendre à ne pas en abuser.

C'est une piste qui est plus qu'intéressante.

http://gappesm.net/test/FAQ-Intelligenc ... telligent/

Maurice

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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#67

Message par Jean-Francois » 24 sept. 2011, 17:41

mauricemaltais a écrit :À Jean-François, je suis d'accord avec toi que je peux être parfois difficile à suivre
Pourquoi "parfois"? :lol:
On a examiné leur cerveaux et on est persuadé que de nouveaux neurones sont venus s'ajouter aux autres pour les aider à toutes les connaitre
Si je me souviens bien, cette étude concerne spécifiquement une région du cerveau nommée l'hippocampe. Cette région sert, en gros, de "centre de tri" en lien avec la mémoire (la mémoire spatiale, ici). L'hippocampe est la 2e région où se ferait une neurogenèse (production de nouveau neurones) chez l'adulte, la première est le bulbe olfactif. Notez qu'en plus de la naissance de neurogenèse, il y a aussi de la mort neuronale dans ces régions: les neurones qui servent peu ou pas (c'est une question de connexions avec d'autres neurones) dépérissent.

Cela dit, comme pour les oiseaux, vous inversez encore la logique du raisonnement: c'est parce qu'il se fait de la neurogenèse dans cette région que de nouveaux neurones peuvent être intégrés à des circuits fonctionnels (ceux qui servent aux chauffeurs de taxis à se repérer spatialement). Rien n'indique que le processus est actif, que c'est le mode de vie des chauffeurs qui cause la neurogenèse. Au contraire, il existe de nombreuses raisons de croire que ce n'est pas le cas (la rareté de la neurogenèse chez l'adulte, par exemple, ou le fait que celle-ci se produise au niveau de l'hippocampe chez tout le monde).

Donc cette affirmation:
"[d]onc plus on se sert de son intelligence plus on peut faire naitre d'autres neurones"
est très certainement fausse. Les comportements qui dépendent de régions où se fait de la neurogenèse - les processus de mémorisation, par exemple - pourraient effectivement être maintenus à un meilleur niveau par la pratique, que les processus qui dépendent grandement de régions où il ne se fait pas (ou peu) de neurogenèse.

On ne connait pas les circuits de l'"intelligence" mais, en supposant qu'ils existent, on peut évaluer qu'ils seraient situés surtout dans des régions corticales (l'hippocampe est une région sous-corticale). Les études qui se sont penchées sur la question n'ont pas montré de neurogenèse notable au niveau cortical. Bref, votre hypothèse ne tient pas.
Le nouveau né constatant qu'il n'a pas la force de se servir adéquatement de ses membres commencent par dépit à avoir une activité intellectuelles plus intense que les autres
Du gros n'importe quoi :roll: un nouveau-né ne constate rien et n'a certainement pas la capacité cérébrale pour prendre une telle décision, surtout "par dépit".

Jean-François
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Jonathan l
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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#68

Message par Jonathan l » 25 sept. 2011, 08:00

bati a écrit :
Jonathan l a écrit :http://www.autisme-montreal.com/freepage.php?page=48.21
Le taux de prévalence pour l'autisme et les troubles envahissants du développement est de 60-70 par 10 000 (Fombonne 2001).
Les études épidémiologiques situent l'incidence pour une clientèle autiste sans déficience intellectuelle à environ 26 cas par 10 000 habitants. Il y aurait donc environ 65 000 personnes touchées par ce syndrome au Canada, 18 000 au Québec et plus de 8 000 dans la seule région métropolitaine (Montréal et banlieues).
On est loin du 1%... Très loin. C'est plus proche du 50% si on inclus les autres TED avec l'autisme.
Merci de faire la distinction entre trait autistique et autisme. (je me répète un peu la)

Je fait un rapide calcul des chiffre que vous donné
26 / 65 *100 = 40 %
donc d'apres les chiffre de Fombonne en 2001, il est dit que 40% des autiste n'ont pas de déficience mentale associé. Vous vous concluez que 40 % sont des autistes de haut niveau....
Pour les autiste, Je maintien ~80 % sont atteint de déficience associé 20 % sans déficience et au alentour de 1% de haut niveau (source: le Centres de Ressources Autisme de Nice ).
wikipedia est plus optimiste il donne 60 % d'autiste atteint de déficience associé. (ça ne veux pas dire que les 40% qui reste sont des génies)

Pour les chiffres:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Autisme#En_France
Comme ça vous pourrez pas dire que je n'en ai pas donné.
et encore les chiffres sont sous évalués:
L'avis no 102 du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) indique que la France accuse un retard, en comparaison aux pays d'Europe du Nord ou anglo-saxons, en ce qui concerne le diagnostic et l'accès à un accompagnement éducatif adapté.
Jonathan l a écrit : Concernant les débilité face à la mère. c'est jusque dans les années 2000 que ça persisté au Québec.

Aujourd'hui on rencontre souvent les débilités sur les diète sans gluten et sans caseine. J'ai même vu certain organisme qui disait que ça guérissait l'autisme.
Et bien sur les hypothèses foireuses sur les vaccins. Le Thimérosal entre autre.
Ces deux mythes sont persistent.
rien a dire, je suis entièrement d'accord avec vous.
Juste une chose l'absence de caséine et de gluten semble calmer certain comportement stéréotypé et l'anxiété.(information trouver en discutant avec des aspies du Quebec ). je n'ai aucune preuve, juste des témoignages, je ne sais pas si cela est vrai.


Non je n'ai pas le monopole de la vérité, quand je me trompe, je l'admet.

cordialement,

(A partir de demain je pars une semaine, je ne pourrais suivre se fil, donc pas vous répondre, désolé)

Le 65 comprend tout les troubles du spectre. donc aussi Rett, Asperger et les autres TEDs.
Malheureusement, ils ne disent pas combien de% sont autres que autisme. Donc le pourcentage est bien plus élevé que 40%

Ensuite, tu commet un énorme erreur. Un autiste sans déficience est automatiquement un autiste de haut niveau. Autiste de haut niveau est un autiste avec un quotient supérieur à 70. comme on est considéré déficient à 70 et moins, automatiquement, tout les autiste avec un QI supérieur a 70 est haut niveau.

J'ignore si tu peux lire l'anglais, mais voici 2 article interresant sur ce sujet qui démontre clairement que le taux d'autiste de haut niveau, donc sans déficience est beaucoup plus élevé que tu ne le crois.

http://www.futurity.org/health-medicine ... can-excel/
Up to 70 percent of autistic children are considered high-functioning, though they have significant social communication challenges.
The study was published online Nov. 2 in the Journal of Autism and Developmental Disorders.


http://www.wrongplanet.net/article365.html
No, not really. Based on studies conducted throughout the last two decades, it would appear that Mr. Kirby is completely wrong to say that most autistics are "low functioning." The most recent studies which look into the official number of individuals diagnosed with Asperger's Syndrome paint a very different picture.

What's interesting to note is that Asperger's clearly makes up more than half of autism diagnosis alone. Considering this fact, why would anyone get the impression that high functioning autistics are in the minority?

The simple answer is that people such as Kirby and organizations such as Autism Speaks benefit from the public incorrectly believing in a picture of autism that is completely wrong. How do they benefit exactly? Think about how many people donate to autism organizations because they want to help the "poor autistic children." Granted, Asperger's Syndrome isn't the easiest thing to be diagnosed with. But would as many people donate money if they knew that more than half of the 1 in 150 'sufferers' are actually not suffering from anything other than social skill problems, sensory issues, and mainly being misunderstood by society?
1 Bjorn Kadesjo, Christopher Gillberg, and Bibbi Hagberg. (1999) Jr. Autism and Developmental Disorders, 29, 327-331.
Concernant les truc de diètes, j'ai vu une études prouvant que c'était inéfficace dans la majorité des cas, mais que par contre que cela avait un impact positif, sur les enfants atteint d'intolérence au gluten et au lactose!! :ouch: J'essairai de la retrouvé.

P.S. J'ai jamais dit qu'ils sont tous génies, ou on tous des talents. Mais seulement que la majorité sont capable de fonctionner en société et que la majorité des autistes n'ont pas de retard mental. Personnellement, et ce n'est que mon expérience, de toutes les personnes que je connais dans le spectre, aucun ne soufre de retard mental. Un seul est incapable de vivre par lui-même. Mais il a des co-morbidité importante. Sur ceux que je cotoit, 3 sont classé génie (130 de QI et plus) mais sans talent particulier. Je me suis occupé il y a plusieurs années d'un jeune autiste lourd, je soupconne qu'il avait lui aussi un QI très élevé avec un talent clair pour les langues (il apprennait une nouvelle langue en quelques mois seulement s'il avait accès à l'audio). Par contre le contact avec lui était extrèment difficile et pénible. La majorité du temps lorsqu'il daignait s'adresser à nous c'était soit pour donnez des ordres, soit pour nous insultés et/ou nous rabaissez.
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.

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#69

Message par Jonathan l » 25 sept. 2011, 08:25

Maurice, tu fais probablement référence a Syllicone Valley ou il y a apparemment une très grande partie de la population qui est Aspies (ils sont principalement en informatiques). Et comme ils representeraient une grande parti de la population, et que les gènes sont en cause, ils est normal d'y voir une plus grande occurence de naissance d'enfant dans le spectre.
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.

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#70

Message par mauricemaltais » 25 sept. 2011, 16:53

Bonjour

À Jonathan, tes références et ton expérience sont plus qu'intéressantes. Les autistes qui te lisennt doivent se sentir mieux reçus.

Maurice

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#71

Message par Jonathan l » 25 sept. 2011, 19:38

L'activisme de la communauté autistique Française n'est pas très fort, du moins de ce que j'en ai vue, comparé aux différents groupes anglophones. Éffectivement chez plusieurs de ces groupes un discour réducteur serait mal acceuilli. Ils ont tendance à ce défendre bec et ongles, parfois de façon un peu trop virulente, lorsque le discour s'approche le moindrement de celui d'Autism Speak.
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.

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#72

Message par Jonathan l » 25 sept. 2011, 19:49

J'ai retrouvé ceci par rapport aux diètes.

http://en.wikipedia.org/wiki/Gluten-fre ... -free_diet

En lisant celui-ci, j'ai remarqué quelque chose auquel je n'avais pas pensé: Les dangers associé à ces diètes, entre autres le manque de calcium et de vitamines D. Et pourtant j'aurais du y penser, étant intolérant au lactose, je prend souvent (je suis pas régulier) des suppléments de calcium ou vitamine D.
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.

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#73

Message par mauricemaltais » 26 sept. 2011, 15:51

Bonjour

À Jean-François, en se fiant à l'étude que Jonathan 1 nous donne le nombre d'autiste qui peut avoir une vie proche de la normale est beaucoup plus grand qu'on disait auparavant. Il semble que comme dans le réchaufement de la terre, ce que je crois, mais ce que je n'aime pas c'est que trop souvent on mente pour mieux convaincre les gens.

Si on parle du principe que comme dans le cas des gens qui conduisent un taxis à Londres plus on fait appel à son intelligence plus elle semble augmenter. cela peut concerner l'emploi mais aussi la maladie. Un des plus grand génie ne peut presque pas se servir de son corps. Pus on est dans la m...plus notre intelligence augmente en cherchant à s'en sortir. Donc pour que notre intelligence augmente il faut trop souvent être obligé de s'en servir. Si elle peut augmenter elle peut aussi diminuer surtout quand on en est sorti.

Chez les autistes beaucooup sont habiles en dessin. Une amie me disait que vu que j'ai une belle écriture je devrais être bon en dessin. Comme elle j'ai commencé à dessiner . Pour commencé j'ai essayé de dessiné les visages. Cela j'e l'ai fait facilement.

Mais quand j'ai voulu dessiner tout le corps je dessinais des montres. Mais en pratiquant tous les jours, le corps humain que je dessinais était moins montrueux. Mais quand je reste une couple de jours sans dessiner les Frankesteins reviennent. Donc l'habileté de nos membres vient de notre cerveau. Il ne faut pas être surpris du génie de Leornard de Vinci parce qu'abord être dessinateur selon moi c'est d'avoir d'abord une intelligence au-dessus de la moyenne.

On a les défauts de nos qualités et les autistes doivent corrigés les défauts qui ont un lien avec le niveau de leur intelligence. Ils risquent d'avoir un complexe du supériorité surtout qu'on les rabaisse en général. Comme disais Jonathan le dialogue est parfois difficile avec eux . J'en ai vécu l'expérience . IL travaillait en traduction simultanée.

Le cas des autiste devrait être appelé "L'intelligence en marche ".Grâce à cette recherche cela pourrait possiblement aidé à trouver des moyens pour augmenter l'intelligence de ceux qui semblent en avoir pas suffisamment comme les faire travailler dans les mots croisés. le dessin et surement dans d'autres travaux où excellenet les autistes.

Maurice

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#74

Message par Jean-Francois » 26 sept. 2011, 20:34

mauricemaltais a écrit :Si elle peut augmenter elle peut aussi diminuer surtout quand on en est sorti
Une chance qu'on peut comprendre qu'il s'agit de l'intelligence... on aurait pu croire qu'il s'agit d'un "autre" organe :lol:

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Re: LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'autisme

#75

Message par Jonathan l » 28 sept. 2011, 15:03

Maurice, évite les généralisations. Pas parce qu'un autiste peut bien dessiner que tous dessine bien, ou que cela est un trait autistique. Même que je dirais que je crois que le taux d'autiste qui dessine bien doit être plus bas que la moyenne puisque les tâches qui demande de la dextérité fait souvent plus défault chez les autistes. (ok je vois l'ironie de dire de pas généralisé et émettre une généralisation dans la même phrase. Bien qu'un autiste puisse bien performé au niveau physique/coordination, c'est plutôt rare.)
Cartaphilus a écrit : A propos de la "très grande majorité des gens qui croient en dieu" : 100 milliards de mouches ne peuvent se tromper ; la m...., c'est forcément bon.

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