Sylvain a écrit :Globalement, ce qui me gène c'est qu'on appelle idéologues ceux qui veulent des améliorations pour le peuple (meilleurs salaires, services publics, droit du travail) et qu'on appelle pragmatiques ceux qui veulent une politique d'austérité et qui interdisent aux états d'avoir accès au crédit très peu cher.
Oui, parce que dans la conjecture actuelle, les "améliorations pour le peuple" (encore "le peuple"... décidément, c'est un gimmick) sont inaccessible et aggraverait la situation.
Je vous signale que ce sont justement les améliorations précédente, qui sont devenus des "acquis" (donc forcement impossible à ne serait-ce que réformer pour une certaine partie des gens) qui ont causé une part de l'insolvabilité actuelle de l'Etat. Bien sur, il n'y a pas que ça, mais en situation de faillite, ça n'est pas le moment de rajouter des coûts.
Quand au crédit peu cher, c'est encore une illusion d'optique que de penser qu'on peut se sortir des problèmes en imprimant du papier. S'il peut y avoir un effet conjoncturel d'une politique monétaire assouplie, il faut au bout d'un moment payer la facture, soit par l'inflation, qui produira une perte de l'enrichissement provoqué par la création monétaire, soit par une baisse de la confiance dans la monnaie qui crée pas mal d'autres problèmes annexes (notamment l'impossibilité progressive pour la banque centrale de gérer la circulation de l'argent.)
De fait, prôner une politique d'arrêt du déficit est effectivement pragmatique, même si ça va à l'encontre de la tendance des populations européennes et surtout française de sans arrêt croire que l'Etat peut tout, doit tout et doit régler tous les problèmes individuels des gens.
Après, la décision de la manière de mener cette lutte contre le déficit peut être plus ou moins bonne.
La manière dont on gère l'austérité en France est par exemple très très mauvaise. Celle dont on gère l'austérité en Grèce est aussi trop brutale et pas assez ambitieuse, puisqu'il n'y a pas qu'une réduction des déficits à faire, c'est carrément une construction d'un Etat moderne qu'il faut faire et seulement se contenter de maintenir à fond perdu sa solvabilité et exiger des réductions du déficits sans aller plus loin c'est se voiler la face sur ce qu'il y a à faire et sur la capacité des dirigeants grecs, dont l'Etat est noyauté par le clientèlisme, à le faire.
A mon avis, il aurait fallu mettre un coup de canif dans la souveraineté et mettre les grecs devant un choix en proposant au référendum: rester dans l'Euro, recevoir des fonds et accepter une tutelle de l'Union, selon un plan définissant précisément les limites politiques de cette tutelle, sa durée (par exemple 4 ou 5 ans, le temps d'un mandat parlementaire), son objectif, ou alors sortir de l'Euro de manière négocié mais ne plus compter sur l'aide de l'UE pour régler le problème de la dette.
Si en plus cette politique d'austérité fonctionnait on pourrait se dire que de manière "pragmatique", ça vaut le coup. Mais même d'après les critères des agences de notation ces politiques ne sont pas bonne puisque Moody's avait dégradé la note de l'Espagne malgré un précédent plan d'austérité.
Ca n'a rien à voir. Moody's note la solvabilité d'un Etat sur l'instant alors qu'un plan d'austérité est une politique qui ne porte ses fruits que sur le moyen, voir long terme.
Que Moody's dégrade l'Espagne ne veut pas dire que son plan ne marche pas, mais simplement que les réformes n'ont pas encore réussit à inverser la tendance et c'est normal, c'est trop tôt.
Là où on peut mettre en cause Moody's, par contre, c'est sur la pertinence de noter un pays qui se réforme, sachant que la dette est plus souvent à moyen terme (donc avoisine les effets attendus des réformes) qu'à court terme, ce qui aggrave le problème de solvabilité, puisque les préteurs se baseront sur la notation, faites sur la situation actuelle, pour emprunter une dette remboursable après les réformes.
Cela dit, il y a quand mêle une logique, même si c'est moralement contestable et qu'on peut émettre des objections. Un pays qui se réforme fait un pari sur l'efficacité de ces réformes, donc sa capacité économique est tributaire de ce pari et les investissements réalisés dans ce pays sont fatalement spéculatifs.
Pendant qu'on décide les nouvelles mesures indiquées ci-dessus pour l'Espagne (good point), on vient encore d'imprimer 500 milliards à moins de 1% à distribuer aux banques. Ce qui fait avec les 500 autres milliards de fin 2011 1000 milliards. Qu'elles vont s'empresser de replacer à la BCE.
C'est plus de 3 fois la dette grecque.
Oui et d'ailleurs je pense que c'est quand même une grosse erreur de la BCE de faire cette politique une seconde fois. La première avait un sens, il s'agissait d'éviter l'arrêt du crédit par les banques, la seconde me semble moins justifié.
Cela dit, il ne faut pas se leurrer, cette politique aura fatalement un coût, parce que ce sont des prêts et non des dons, donc les 1000 milliards, les banques vont devoir les rembourser et je ne vois pas bien comment sans recréer une crise du crédit.
De la même façon que la monétisation pour les Etats, la facilité de crédit ne fait que déplacer le problème et le paiement du problème.
En ce qui concerne la relance, si elle ne consistait qu'à imprimer du papier pour le donner aux travailleurs pour qu'ils puissent consommer, ce serait déjà un progrès par rapport au fait de le donner aux banques qui le replacent sur les marchés spéculatifs ou à la bce.
Non.
Mettons qu'on donne des milliards "aux travailleurs" (encore un fourre-tout, hein!)
Bon, mettons qu'ils achètent majoritairement Européen avec ça et pas importé et qu'il n'épargne pas tout en plaçant ça dans les banques qui replaceront ça à la banque centrale, vu qu'avec le climat de méfiance, elles ne se prêtent plus trop et ne prêtent plus tellement.
On augmente les commande de l'industrie. Ces mêmes industries, voit soudainement leur carnet de commande se débloquer après 3 ans de crises à faire des économies parce que le carnet de commande est réduit. Elles sont toutes contentes et se disent donc "chic chic chic, je vais pouvoir vendre".
Comme la croissance redémarre, elles doivent suivre la demande en hausse et donc ont besoin d'argent pour investir dans, par exemple, une commande plus importante. Sauf que, comme la demande augmente et que la production ne suit pas au début, elle n'ont pas l'argent tout de suite pour investir dans plus de fourniture.
Donc elles vont à la banque et....ba rien, vu que les banques sortent de 3 ans de crises et ne prêtent plus ou du moins pas aussi facilement et comme il y aura un décalage entre le moment où elles se diront qu'on peut préter et le moment où l'industrie en a besoin, l'industrie ne pourra pas fournir la demande.
Comme l'industrie ne peut pas, les prix augmentent, donc on achètent moins avec le même argent, donc les liquidités de la banque centrale n'auront rien produit d'autre qu'un effet temporaire sur la demande en lui octroyant temporairement un pouvoir d'achat que le reste de l'économie ne peut pas suivre assez vite pour éviter que les prix montent par rareté de l'offre.
Et c'est en supposant quand même beaucoup de "mettons" au début pour imaginer qu'on achète local, qu'on épargne pas....
Tout cela pour une bonne raison: l'argent circule et n'agit pas en simultané partout et surtout, toutes les composantes de l'économie n'ont pas des intérêts parfaitement coordonnés. Au contraire, les intérêts sont souvent contradictoire et mettre de l'argent dans le circuit ne fait que produire un choc visant à relancer le système.
Or, ça ne marche que si le système est en circuit à peut près clos pour que l'argent circule un peu partout. Sauf qu'actuellement, dans le monde, presque aucune économie ne fonctionne en circuit clos. La richesse des pays industrialisés tient d'ailleurs essentiellement à l'inverse, à savoir le fait qu'ils ne soient pas clos et capable d'accueillir une masse considérable d'investissement étranger et d'investir eux même considérablement à l'étranger. Bref, une capacité à avoir un capital (je sais, c'est mal) très important permettant plus d'investissement globalement que d'autre pays.
Si on injecte de l'argent là dedans, non seulement on diminue en valeur le capital, mais il y a toute les chances pour que l'argent finissent par sortir du pays. En soit, ça n'est pas un drame, mais ça ne relance forcement pas la machine.
Mais la politique proposée à gauche du PS n'est pas seulement ça, car la création d'infrastructures pour une transition énergétique via du crédit productif entraîne tout un bouleversement. Il faut créer de nouvelles formations professionnelles de nouveaux métiers, de nouvelles technologies. C'est tout un entraînement car les savoirs se diffusent, la création d'un savoir faire en France crée une offre potentiellement exportable. Tout en diminuant nos importations d'hydrocarbures et donc en diminuant notre déficit commercial. Il s'agit de voir l'économie comme une dynamique où l'Etat en donnant une direction claire et en planifiant des actions en gros tout en laissant aux régions la mise en oeuvre au plan local insuffle de quoi démarrer et ne change pas d'avis au milieu du gué.
Oui, mais c'est du yakafocon ça, surtout dans la politique financement qui revient à dire "c'est pas grave, on imprimera du papier" comme sç c'était sans conséquence.
Sur le fait qu'il faille faire une transition énergétique, je suis effectivement d'accord, après le fait qu'il faille en passer par une sorte de plan quinquennal financer on ne sait comment par un Etat qui est déjà surendetté. J'ai plus de mal...
Surtout qu'au final, je ne vois pas pourquoi l'austérité empêcherait ça. On peut parfaitement rediriger des ressources économiser et faire le doublon, à savoir investir une partie de ce qui est économisés et en plus réformer l'Etat devenu trop peu efficace, trop lourd, trop plein de complexité contradictoire au point que le citoyen ne s'y retrouve absolument pas, surtout au niveau fiscal.
Après, je trouve ça quand même très amusant de voir l'extrême-gauche proposer un énorme plan de refonte de l'économie de l'énergie et en même temps proposer un système d'impôt punitif pour le capital. Va falloir me dire comment on compte financer ça sans capital.
Parce que même sans parler de la "fuite des riches", une bonne par du revenu fiscal de l'Etat vient aussi, in fine, du fait qu'il y a un investissement considérable en terme de capital, issus notamment de l'étranger et que ça alimente quasiment tout les impôts en fournissant une part non négligeable de la croissance molle de la France.
Avec une fiscalité punitive, des lourdeurs administratives encore renforcées pour les entreprises, et globalement un climat très anti-entreprise, ce n'est pas seulement les riches français qui vont fuir, mais aussi les investissements étrangers. Et donc à moins de revenir au Franc pour posséder un levier monétaire et financer par monétisation les projets et in fine provoquer sans arrêt une inflation, donc encore plus de fuite des capitaux (à moins de rétablir le contrôle des changes)...
'fin bref, je suis très très loin d'être convaincu, parce qu'au delà de l'incantation "il faut", il n'y a pas grand chose de concrètement réalisable ou de pragmatique justement en mettant face à face la réalité du monde et de l'économie et les projets.
Et même dans l'hypothèse totalement utopique où "l'on renverserait le système" pour permettre tout ça, le chaos provoqué mettrait des années à se résorber, il n'y aurait strictement aucune garanti que le nouveau système s'organiserait selon les voeux de l'extrême-gauche (et à mon avis, aucune chance, mais ça ne regarde que moi).
C'est de la vente de rêve et donc clairement de l'idéologie dans ce qu'elle a de plus extrême politiquement: le yakafocon et demain les lendemain chanteront.
En ce qui concerne la TVA vous dites que vous comprenez mais pas forcément que vous approuvez. Je ne le crois pas, pour vous l'augmentation de la tva n'est pas un choix politique, mais c'est un choix "de bon sens"
Et bien ne me croyez pas si vous voulez, mais vous vous trompez.
D'abord parce que je suis très critique de ce qu'on appelle le "bon sens". Selon moi, ça n'existe pas. Le pragmatisme ça n'est pas le bon sens, qui voudrait que la solution s'impose d'elle même par sa logique, c'est le fait de confronter ses idées à la réalité et de savoir les adapter ou en changer quand elles sont clairement irréalisables, très incertaines ou contre-productives.
Il n'existe pas de solutions de bon sens, il y a des solutions qui marche, d'autre qui ne marchent pas et toute la palette entre les deux des plus ou moins efficaces.
Le pragmatisme, c'est concilier un objectif, une éthique et une idéologie avec la réalité pour avoir à la fois le maximum de solution qui marchent avec le minimum de compromis vis à vis de son éthique personnelle et dans le but d'arriver au meilleur résultat possible en accord avec son idéologie.
Le dosage est difficile et tout sauf relevant du "bon sens". Au contraire, parfois il faut se faire violence et aller contre ses croyances personnelles s'il s'avère qu'une solution qu'on pensait injuste ou mauvaise s'avère à plus long terme profitable à tous.
Dans cette manière d'écrire il y a implicitement l'idée que toute personne qui dirait qu'augmenter serait une mauvaise idée serait "illogique", presque folle.
Non, et j'en ai assez que vous déformiez ce que je dis et d'avoir à reprendre encore une fois l'explication de mes postes précédents sous prétexte que vous ne savez pas lire.
J'ai dit que c'était logique que l'Etat augmente la TVA en premier, parce que c'est un impôt simple.
Logique ne veut pas dire fondé ou inévitable, mais découlant d'un raisonnement qui ne se contredit pas lui même. On peut parfaitement être logique et avoir tord.
Que l'Etat augmente en premier la TVA est cohérent dans la logique de fonctionnement de la politique. Les politiciens actuels, pour une bonne part d'entre eux, visent la popularité et la réélection ou du moins avoir suffisamment de soutien dans l'opinion pour éviter le désordre.
Dans une situation où ces gouvernement se retrouve à devoir passer des mesures impopulaires et à trouver des ressources rapidement, la TVA est un choix logique, puisque c'est un impôt dont l'augmentation est en trompe l'oeil (puisque le taux augmente peu même s'il rapporte beaucoup, on peut donc faire croire à une faible hausse des prélèvements et donc déclencher moins de colère) et qui dégage beaucoup de ressource et vite.
Maintenant, pour logique que soit le recours à cet impôt, ça ne veut pas dire que c'est la bonne chose à faire.
On peut très bien comprendre la logique d'un raisonnement sans pour autant que le raisonnement soit justifier. Par exemple, il y aune logique compréhensible dans la création de ce qui est devenus les actifs toxiques, il est possible de comprendre pourquoi ça s'est fait, pourquoi c'était cohérent avec le système tel qu'il existait à ce moment et quand même dire qu'on est pas d'accord.
On peut même faire mieux, on peut pointer du doigt pourquoi, même en étant logique et cohérent, c'était une catastrophe en puissance.
La logique n'est jamais qu'une cohérence d'un système de pensée, pas une preuve de sa justesse.
Par exemple, l'idéologie que vous défendez est aussi assez logique en elle même, les éléments que vous défendez sont cohérent les un avec les autres, c'est ce qui lui donne son pouvoir de convaincre, puisque les propositions apparaissent cohérentes entre elles. Mais c'est aussi un corpus d'idée déconnecté de la réalité telle qu'elle se construit et qui de fait, bien que cohérent avec lui même, ne l'est pas avec la réalité.
En voulant rester logique avec, ce corpus s'enferme dans sa contradiction avec la réalité et évolue en parallèle.
La proposition de planification écologique semble plus pragmatique puisqu'elle part elle de la réalité : il y a un risque pour l'écosystème, il faut décarbonner l'économie.
Non, elle n'est pas pragmatique. Elle part d'un fait unique pour construire un modèle d'idée et de proposition, mais ne le confronte ensuite plus à la réalité dans sa complexité.
Partir d'un seul fait sans le remettre en contexte, ce n'est pas du pragmatisme, c'est s'auto-justifier en cherchant des faits pour prouver un postulat et ne plus en bouger.
Les partis de l'austérité n'entendent rien à cela et si ce sont ces politiques d'austérité qui sont mises en oeuvre les murs de la réalité sociale et écologique vont les ramener à la réalité.
A ce moment là la violence révolutionnaire ou gratuite sera à l'oeuvre.
Oui, et le grand soir sera là...
La stabilité de l'emploi est un facteur important de socialisation, impossible de louer un appartement sans un CDI.
Non, c'est un facteur important de la socialisation tel qu'elle existait il y a encore 30 ans. Aujourd’hui, la société, le monde est très différent et il conviendrait de s'y adapter plutôt que de vouloir maintenir des schémas de pensées. Non que la stabilité soit à bannir, mais on peut la penser différemment qu'en ayant un emploi à vie garanti et surprotégé.
D'ailleurs, l'exemple de l'appartement est flagrant de ce décalage. On a d'un coté des possédants qui sont encore dans des schémas de stabilité de l'emploi face à un monde plus jeune qui ne vit plus dans cette stabilité. De fait, la précarité est provoqué aussi par le choc de ces deux mondes et l'incapacité pour les premiers, qui sont souvent plus agés et possédant un plus fort patrimoine, de s'adapter à une plus grande instabilité du monde émergeant.
L'Etat aussi ne s'adapte pas en continuant de privilégier les rentes et les situations de protection de ce qui est déjà plus stable et en écartant l'instable qui devient précaire.
Par exemple, en privilégiant fiscalement l'investissement immobilier plutôt que l'investissement en entreprise, il encourage les rentes, créer de la précarité pour ceux qui aurait besoin d'un logement en encourageant la hausse des prix.
Idem, en protégeant le salarié qui est à la fois un investissement très cher pour l'entreprise, donc un risque accrue et en rendant son licenciement plus difficile, il encourage une moindre embauche, obligeant une partie de la population à vivre de job à temps restreint qui ne déboucheront pas sur des jobs plus pipérine parce que l'embauche y est très restreinte par les contraintes de l'Etat.
Encore une fois, ça promeut la rente de ceux qui sont déjà en place au détriment de ceux qui essaie d'arriver
Et il y a des tas d'exemples où une meilleure prise en compte de l'instabilité pour la rendre efficace et acceptable serait surement une meilleure politique que de tenter de maintenir une stabilité coûteuse, qui n'existe souvent plus et qui est maintenu artificiellement au profit de ceux qui sont déjà dedans et au détriment des autres.
En ce qui concerne l'idée que le smic est trop haut, c'est environ 200 euros au dessus du seuil de pauvreté.
Oui, mais ça n'est pas tellement cette proximité qui pose problème.
Avec la rigidité du travail en France et en plus un SMIC très haut, on maintien un chômage élevé (parce que l'embauche coûte très cher et le licenciement aussi) mais aussi un salaire médian assez bas, puisque les employeur maintiennent aux SMIC beaucoup d'emploi pour ne pas avoir une explosion de leur coût du travail (sachant que pour une PME, la dépense en coût de l'emploi+les charges et les impôts, c'est rarement un gage de rentabilité importante)
De fait, ce n'est pas le smic qu'il faut augmenter c'est réussir à augmenter ce seuil de pauvreté et le revenu médian.
This is our faith and this is what distinguishes us from those who do not share our faith.
(John Flemming, Évêque irlandais, 3ème dan de tautologie, ceinture noire de truisme, champion des lapalissades anti-avortement.)