spin-up a écrit :(si pour toi les interactions s'expliquent par l'effet Doppler, ajouter l'energie de liaison est curieux et superflu)
Juste au cas ou tu croirais que je viens d'ajouter cette énergie à ma thèse, je peux te dire ce n'est pas le cas, et cette énergie n'est pas non plus superflue, elle a toujours été inhérent au principe: j'ai toujours dit que la lumière échappée des accélérations entre les composants servait plus loin à l'accélération entre les atomes.
spin-up a écrit :Deja par rapport aux données expérimentales, c'est très douteux: une énergie qui s'échappe va forcement quelque part et ca se verrait.
J'imagine que tu parles de l'énergie qui s'échapperait des molécules, sinon celle qui s'échappe des composants sert immédiatement à l'interaction entre les atomes. Tu as raison de dire que si de l'énergie s'échappait des molécules, ça se saurait, mais c'est sans compter sur l'interaction gravitationnelle, car avec ma thèse, il s'agit bel et bien d'une interaction. Mais tu préfères peut-être celle d'Einstein, son espace-temps courbe qui ne nécessite aucune interaction? J'ai déjà spécifié que la lumière qui s'échappe de l'interaction entre les molécules était trop faible pour être détectée, car elle dépendrait uniquement de la différence d'intensité entre la lumière émise et celle perçue par le même atome, différence qui ne peut pas être absorbée par interférence. Tu dis ici que l'interférence ne peut pas absorber deux ondes:
spin-up a écrit :Je prédis que tu voudrais repondre que cette énergie est absorbée par interferences. Mais non, ca ne marche pas comme ca. Les interférences n'absorbent rien, elles modulent juste spatialement.
J'imagine que tu veux dire qu'il n'y a plus apparence d'onde mais qu'elles sont toujours là. Je n'ai rien contre, mais si les ondes ne sont plus détectables par aucun appareil de mesure, ça revient au même. Selon ma thèse, parvenue aux molécules, la lumière qui a servi à l'accélération de tous leurs composants serait devenue très faible à cause de cette interférence, et les molécules ne pourraient se lier entre elles que si l'intensité de leurs vibrations baissait sous un certain seuil, que si elles se refroidissaient quoi. En bas de ce seuil, elles pourraient interagir entre elles si elles demeuraient suffisamment longtemps côte à côte pour que les accélérations entre leur atomes aient le temps de se coordonner, autrement, la faible lumière qui s'en échapperait servirait à les accélérer à distance les unes envers les autres, à la gravitation quoi.
Dans ma thèse, cette faible lumière transporte l'effet Doppler cosmique, celui que les molécules cherchent justement à annuler en accélérant, et cet effet viendrait d'un décalage entre les accélérations qui se transmettent d'échelle en échelle, parce qu'elles doivent se justifier très précisément les unes les autres, et qu'elles ne sont pas identiques entre elles. Mais ça, c'est une autre histoire, et je ne peux pas l'expliquer avec autant de précision que je voudrais, mais si tu me poses la question, je peux quand même aller jusqu'au bout de mon raisonnement.