Ghost a écrit :Il vous a coincé, c'est tout!
La meilleure preuve que vous errez dans les grandes largeurs est que vous êtes incapable de me citer ses/des arguments rationnels (froids et méthodiques, dites-vous

)... Il a sorti deux seuls arguments:
- la peine de mort a un effet dissuasif... ce qui est parfaitement faux quand on évalue les faits (mais, bon, les faits vous vous en foutez).
- la peine de mort empêche la récidive, ce qui est trivial mais ne justifie pas en soi la peine de mort (ne serait-ce que parce que la prison aussi empêche la récidive).
Le reste est uniquement émotif ("tuons ces salauds, point final"). Bref, ces arguments sont fortement incomplets et ne constituent pas une démonstration. Votre vision des choses est donc fortement illogique et biaisée*... mais ce n'est pas nouveau.
* Vous ne cherchez qu'à me piquer en disant des céhoenneries.
Cela dit, je ne nie pas qu'il y ait aussi des arguments non-rationnels contre la peine de mort. Et ces arguments sont mille fois plus humanistes que ceux que l'on peut invoquer pour la peine de mort.
Enfin, répondez donc à la qustion que j'ai posée à HdP... juste pour juger de votre degré d'hypocrisie sur la question. HdP semble avoir compris le problème d'une position en demi-mesure: il ne répond pas à la question.
magicfingers a écrit :La pathologie sociale transmissible génétiquement...
Oui, le "gène du mertrier" n'a jamais été démontré (mais, bon, quand on fait dans la démagogie, on se fout de vérifier ses arguments). Et pour cause: si on pourrait invoquer des prédispositions génétiques (taux de testostérone, ec.), il est impossible de croire que ces mêmes prédispositions ne sont pas exprimées chez des non-meurtriers.
Jean-François
P.S.,: Ghost, vous avez raison de n'avoir pas continuer sur la conscience... vous alliez ajouter des inepties à votre cahier déjà chargé
