Ça change des conneries qu'on a l'habitude d'entendre...BeetleJuice a écrit :Je serais vous, je renoncerais à l'écriture pour le moment, parce que vous n'êtes pas au point.


Ça change des conneries qu'on a l'habitude d'entendre...BeetleJuice a écrit :Je serais vous, je renoncerais à l'écriture pour le moment, parce que vous n'êtes pas au point.
Alors, combien ?Momo a écrit :Et a Mireille, vous lui donnez combien ?Denis a écrit :environ 20.
Pas fort, comme QH.
Non, c'est encore pire. Tous les défauts du premier sont multipliés.Mireille a écrit :Bon voilà une version qui vous plaira peut être plus
Je déteste ce genre de phrase toute faite et idiote qui voudrait que suivre son coeur et croire en soi suffise à faire quelque chose et surtout, je déteste encore plus la manie des gens sur internet (enfin certaines parties d'internet dont ce site ne fait heureusement pas partie) qui consiste à encenser la moindre production pseudo artistique en oubliant les défauts dès lors que le producteur s'affuble du prétexte fallacieux d'être amateur ou de faire ça par loisir.Greem a écrit :Ça change des conneries qu'on a l'habitude d'entendre...BeetleJuice a écrit :Je serais vous, je renoncerais à l'écriture pour le moment, parce que vous n'êtes pas au point.
Je ne tiens pas mordicus à toujours avoir le dernier mot. Ça serait trop lourd en effets pervers. Faut-il te faire un dessin?Hey Denis ! Tu as encore oublie de me repondre, decidement ca devient une manie chez vous !
Denis, tricheur au scrabble, inventeur de mots qui n'existent pas, a écrit :vodonchier
Mireille a écrit :Vers l’âge de 12 ans, je m’étais faite (platoniquement) une nouvelle amie, elle souffrait d'un acné assez pervers. En effet, ses boutons étaient si gros et purulents que s'approcher d'elle n'était pas prudent.
Elle ressemblait à rien plutôt qu'à un être humain.
Je n’osais imaginer ce qu’une grimace de dégoût incontrôlée aurait eût comme conséquence sur la condition des femmes dans le monde. Et pour vous dire la vérité, je ne pouvais absolument pas me permettre d’en perdre une seule, vu le nombre impressionnant d’amis que j'ai failli avoir.
Contrairement à ma nouvelle amie, j’avais un jolie visage tout lisse mais en tee-shirt on m'appellait elvis.
Et même en bourrant de kleenex mon tout premier soutien-gorge , je n’arrivais même pas à donner l’impression d'être de l'appartenance de celle qu'on loge.
Donc, nos deux solitudes s’étant rejointes sur le peu d’intérêt que nous portaient les garçons, nous passions notre temps libre à jouer à des jeux puériles depuis longtemps délaissés par celles qui à notre plus grand désarroi avait détourné de nos gentilles personnes nos «prospects» préférés.
Un jour, ou j’en avais vraiment assez d'être magistralement ignoré lors d'un jeu qui consistait à se faire embrasser par le mâle en devenir qui nous attrapait, je me rendis chez ma nouvelle amie boutonneuse le cœur remplit d’une amertune sans précédente.
Elle m’écoutât patiemment, puis, d’un ton remplit d’une assurance qui fit éclater son bouton du bout du nez, elle me dit qu’il n’y avait qu’une personne au monde à qui l’on pouvait faire confiance et c’était le petit Jésus.
Très impressionnée, je l’écoutai m’expliquer comment prier. Le soir venu, dans mon lit, je croisais mes mains et dans mon écran mental je placai le petit Jésus au centre, puis, Joseph et Marie de chaque côté. Toute la petite famille réunie, je pouvais commencer à leur raconter tous mes malheurs. Jésus était particulièrement beau dans cette belle image que je m’étais imprimée me souriant en chemise haiwaienne, tongue au pied et cigare sous le nez.
Émue par cette grande expérience mystique je le vis alors tendre ses bras vers moi, et soudain, comble de malheur sont magnifique short tomba au sol laissant voir un organe des plus choquant. Devant cette magnifiquence et malgré la honte qui me submergat, je repris vite mes esprit et courut telle un panda en manque de bambou me chercher un lait grenadine sans glaçon et en reprenant au détour my man, mon doudou, LE doudou avec qui j’avait déjà tant perdu de temps.
je perdis définitivement l'envie de prier, je n’ai pas non plus raconté cette histoire à ma grande amie de l'époque et j’ai cramé mon doudou parce que…Non ça pas question que je vous le partage .
Notes : Quelques années plus tard…
Mon amie a toujours ces boutons ; un miracle ! Elle est aujourd’hui une prostituée,
Moi, je n’ai pas plus de poitrine et je n’ai jamais retrouvé la foi mais j’ai encore de l'espoir.
De rien mireilleMireille a écrit :Méchant Carlito
Et votre chirurgien, ce spécialiste de la lobotomie, il ou elle s'appelle comment?Momo a écrit :Et j'y pense, il y a aussi la charcutiere qui porte ce premon. Sa specialite est l'andouillette bien relevee, qu'elle travaille avec amour et gourmandise !
C'est du Christine Angot imité ? Je suis certain que la qualité littéraire vaut celle de ChristineMomo a écrit : Moi, me faisant tringler par ma compagne equipee d'un gode-ceinture, deguises tous les deux en pandi-panda, photographies par mon fiston de 16 ans et demi, dans notre jardin, a la vue des voisins et des passants.
Aucun souci avec vos gendarmes, ils viennent souvent mater pour se branler, tout comme M. le maire et la pharmacienne qui est aussi notre dealeuse, en se cachant entre le cypres argente et le bosquet d’hortensia, cachette leurs servant aussi de petit coin sauvage.
Denis, notre chien de garde, aime bien nettoyer leurs doigts, a travers le grillage du mur.
Mais aucune de ces personnes n'a encore ose participer plus cordialement a nos jeux de jardin. Dans nos jeux de salon ou de cuisine, bien a l'abri des regards, la, c'est une autre limonade, on pense meme agrandir la maison !
BJ, t'es payé par les éditeurs français pour dire ça ? Tu veux torpiller les futurs talents de la littérature québécoise ?BeetleJuice a écrit :
Non, c'est encore pire. Tous les défauts du premier sont multipliés.
Jean-Francois, ce n'est pas gentil ca, comme commentaire !J-F a écrit :sociabilité
Mireille a écrit :J'oubliais, mon nounours, il s'appelle BeetlJuice.
Farce à part, c'est un concours amateur où je travaille, mais bon....je vous donnerai quand même le résultat, il y a très peu de gens qui osent faire un texte et j'avais envie de vous faire rire, c'est manqué, c'est pas grave.
Hey les totos flingueurs (Denis et J-FMomo a écrit :J'oubliais, ma pharmacienne, elle s'appelle Mireille.
Et j'y pense, il y a aussi la charcutiere qui porte ce premon. Sa specialite est l'andouillette bien relevee, qu'elle travaille avec amour et gourmandise !
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