Pardalis a écrit :Amelie14 a écrit :Tant pis, il faut savoir accepter !
Non, je n'accepterai jamais l'antisémitisme. Et vous?
Alors reprenons les définitions :
Antisémite
L'antisémitisme désigne un sentiment systématique d'aversion envers les Juifs en tant que peuple ou "race", supposée inférieure. Il peut prendre la forme d'une opinion ou d'une attitude hostile, de discrimination (ghetto, expulsion), de racisme, de persécution. L'antisémitisme constitue une négation du droit à la différence.
Sionisme
Le sionisme est une idéologie politique, décrite comme nationaliste par les uns et comme émancipatrice par les autres, prônant l'existence d'un centre spirituel, territorial ou étatique peuplé par les Juifs en Terre d'Israël (Eretz Israel). À la naissance du mouvement, à la fin du xixe siècle, ce territoire correspondait à la Palestine ottomane, puis après la Première Guerre mondiale à la Palestine mandataire. Sur un plan idéologique et institutionnel, le sionisme entend œuvrer à redonner aux Juifs un statut perdu depuis l'annexion du Royaume d'Israël à l'Empire romain, à savoir celui d'un peuple disposant d'un territoire.
Antisionisme
L'antisionisme (ou anti-sionisme) désigne historiquement l'opposition au projet sioniste1 d'établissement d'un foyer national juif en Palestine.
À l'époque contemporaine, il couvre plusieurs concepts et peut désigner l'opposition à certaines positions ou politiques de l'État d'Israël ainsi qu'à son extension ; dans sa forme la plus extrême, il peut marquer l'hostilité à son existence-même2,3,4.
Il se manifeste à son origine auprès des populations arabes, particulièrement en Palestine mandataire; au sein de certaines communautés juives ultra-orthodoxes qui rejettent le sionisme socialiste et laïc du Yishouv ; parmi l'administration britannique, particulièrement après la Grande Révolte arabe de 1936-1939. L'opposition au projet sioniste et au Plan de partage de la Palestine culmine avec la Guerre de 1948.
L'antisionisme est sujet à controverses, considéré par certains comme une forme voilée d'antisémitisme, qualifié de « nouvel antisémitisme », alors que pour d'autres cette critique est tenue pour un « amalgame » ou est dénoncée comme étant « un moyen d'empêcher toute critique d'Israël ». Dans sa « version radicale » l'antisionisme est estimé être « le principal vecteur de l’antisémitisme ».
Voilà une fois le tout posé, non je n'accepterai jamais l'antisémitisme !
Vous pensez que la quenelle est lié à cela ce qui est totalement faux, je ne parle pas de ce que Dieudo a pu faire ou dire avant ces quelques semaines. Je suis plus à m'inquiéter de l'humanité dans sa globalité et de son devenir.
Je tente de vous dire que cette quenelle est belle et bien une façon de dire merde aux gouvernements en place, c'est un geste qui rallie pour dire NON au projet sioniste. Et quand bien même on peut l'enfermer, arrêter ces spectacles, ce geste a permis une ouverture à des milliers de gens et de croire en un changement.
Alors je l'attend la question : croire en quoi ou quel changement ???
Arrêtez 5 mn et cessez de gesticuler, parfois il suffit de prendre du recul et de s'écouter pour voir où nous en sommes et qu'il faut peu de choses.
Lui ou un autre aurait donner le même résultat, il suffisait d'une personne controversé et ayant une grande gueule ...
Il en veut au mouvement politique et pas au peuple Juif.
Alors La quenelle est-elle un geste antisémite, néonazi ou juste un bras d'honneur moderne, un "allez tous vous faire foutre" qui se moque du système ?
https://www.youtube.com/watch?v=rNsZGBV_2UA#t=12