Ce qu'on eut corréler, c'est effectivement la ferveur religieuse avec les cas supposé de miracles. Si on regarde les canonisation au moyen-âge, on constate que les miracles avaient plus de classe qu'un "simple" petit bout d'os qui repousse, on ressuscitait, des anges apparaissaient, on avait des effets lumineux.jroche a écrit : 1) Ne pourrait-on pas aussi valablement la corréler au déclin global objectif du Catholicisme, donc de la ferveur qui va avec, plombés par un karma monstrueux (qu'on a cru purger par de simples actes de contrition... enfin, autre sujet) ? Surtout que les périodes de guerre voient classiquement un sursaut de cette ferveur...
Depuis les progrès de la médecine et un meilleurs contrôle, il semble que les miracles de lourdes soient en voie d'extinction.
Et si comme vous le pensez, l'esprit agit sur la matière, pourquoi le seul exemple à proposer est un cas plutôt ancien qui ne permet pas de statuer. C'est peut-être un mauvais diagnostique, une supercherie, une rémission spontanée,....