Pour ceux qui ne veulent pas tout lire, allez directement à la ligne rouge en bas
Ça fait longtemps que je ne vous es pas arrosé de notions subjectives pour tenter de les éclaircir au "mieux". I'am back
Et mon domaine de prédilection ?
La société, le couple, l'amitié, l'individu, le groupe (identitaire)...Et ce qui est d'apparence en chacun de nous et qui se "sublime (désoler le mot et zozotypé) ou se transforme" dans la masse ou en solo.
Avant de lancer le débat de manière plus profonde, j'aimerais d’abord savoir si les sceptiques acceptent les prochaines notions (dans les questions).
Et si le territoire flou du sujet est un obstacle ou non à un certain éclaircissement :
- De se que j'observe, personnellement,...l'humain à besoin un peux de l'autre, puis un minimum du groupe et de la société.
Il à besoin d'appartenir à un groupe, et si il n'en n'a pas besoin il demeure un minimum dépendant à l'autre (ou d'autres) sur certains points (pas forcement vitale mais très pratique, quoi que...).
Il parait difficile pour un humain de ne pas toucher, voir les autres, les entendre mais surtout communiquer ...les autres sont une façon de se voir soi-même et de se construire, par la critique ou l'affectif et l’échange etc. Se besoin née possiblement de notre dépendance à l'enfance, il évolue pour faire évoluer notre identité collective sécurisante et enrichissante.
Et aussi pour répondre à nos besoin d'identité et d'appartenance à un groupe.
On peux s’ennuyer seul trop longtemps, souvent, et l'humain à besoin d'une place identitaire dans un groupe, d'une appartenance.
Pour mieux prendre conscience de lui (et répondre à divers besoins plus primaire en option), il lui faut d'autres personnes.
Est-ce acceptable comme idée ? (c'est un constat que je sais incomplet, je l'exprime pour le détordre).
- L'humain parait, paradoxalement, avoir besoin tout autant d’être lui même et de se sentir sans les autres.
Il à besoin de son espace, il à peur de noyer son "individu" dans le groupe et de disparaitre dans l'autre.
Il veux exister dans le groupe comme un individu mais n'est pas tjr seul. Il joue le jeu, mais ne peux disparaitre dans le groupe sans risqué de se perdre. (exemple avec l'endoctrinement ou le groupe est important, tout autant que la solitude)
Il à donc besoin de sa "liberté", or du groupe, pour évaluer ses propres besoins et son envie identitaire à lui, sans le groupe. Pour pouvoir s’écouter lui même il à besoin de faire abstraction de l'influence du groupe.
Respiré, se savoir différent (dans le sens qu'il existe en tant qu’être distinct) des uns ou des autres.
Pour répondre à un besoin de calme tout simplement ou pour se poser son propre constat d’être un individu et non pas un groupe ou l'autre.
Il à besoin de se distinguer de l'autre pour se sentir.
Est-ce une base qui peux potentiellement s'approfondir ?
Finalement on à l'air d'avoir besoin de l'autre pour s’observer et se construire sois, mais on à aussi besoin de s'en discerner (de l'autre et/ou des autres) pour être sois.
Si on peux en parler, j'essayerais d’évoquer des "problèmes" que je pense ou croie voire en nous, dans nos relation et dans la société en lien avec ça.
Puis tenter de savoir si on peux vivre avec ses deux notions sans en corrompre une ou l'autre, ou si en faite, elle ne sont qu'illusion et reflète un autre truc.
Merci.
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