Pour étayer mes dire et mes observation un autre expérimentateur à fait une vulgarisation différente de la mienne mais semble arriver au même conclusions que moi sur ce sujet, je vous donne le lien de la page et la citation.
citation :
J’ en était resté dans ma précédente version à un bras de balancier souple pour imiter la cinématique d’ un être humain capable d’ impulser du mouvement à la balançoire juste en agitant un peu les jambes avec la bonne synchronicité.
Ce peut être efficace mais pas suffisamment surtout au vu de la complexité du système.
Dans le balancier deux voies sont possibles pour tirer de l’ énergie ; la Force gravitationnelle, ou la Force centrifuge. Et j’ ai choisi d’ utiliser…les deux en transformant le concept initial mais en gardant l’ essence de celui-ci ; « la déformabilité ».
J’ avais déjà me semble-t-il réalisé un post sur cette notion. Mais tout comme mon premier post sur le Balancier il n’ avait pas eu l’ échos que j’ en attendais. Je voudrais aujourd’hui remettre le couvert sur cette notion de déformabilité (quitte à paraître LOURD) car c’ est à mon sens l’ une des rares voies qui permettent de s’ affranchir des principaux obstacles auxquels nous nous sommes tous heurté à un moment ou à un autre. Reprenez chacun un ou plusieurs de vos concepts qui s’ est terminé par un râteau et introduisez-y la déformabilité du rotor ou du stator et vous verrez où je veux en venir. 8 fois sur 10, ça marche (au moins sur le papier). Alors c’ est sûr que l’ implémentation de cette déformabilité peut s’ avérer coton dans certains cas, mais c’ est une option que dorénavant j’ évalue à chaque fois que cela parait possible.
Pour la mettre en œuvre à moindre frais énergétiques, pas de secrets ; c’ est énergie cinétique ou gravitationnelle.
Le montage ci-après utilise donc les éléments suivants :
__ un balancier dont le bras est extensible. Il est constitué d’ un bras prolongé par un coulisseau muni d’ une butée haute (bloque l’ extension max du bras) et d’ une butée basse (bloque la rétraction max du bras). Une masse solidaire du coulisseau est retenue vers l’ axe de pivotement par un élastique (ou un ressort) d’ un côté, tandis que l’ autre côté est garni d’ un aimant de bonne puissance.
__ un bâti qui en plus de supporter les roulements de l’ axe comporte deux stators métalliques (S)de section croissante du bas vers le haut.
Fonctionnement :
Au lâcher du balancier (Point A)la masse, dans un premier temps retenue par l’ élastique tire de plus en plus fort sur ce dernier, surtout après avoir dépassé la verticale. A partir de là, l’ aimant va en plus entrer dans la zone d’ attraction du stator (Point C )et tirer toujours plus sur l’ élastique jusqu’à atteindre la butée. Attiré par le stator qu’il veut saturer magnétiquement il va hisser la Masse très haut jusqu’à la fin de course (Point D). Là, brutalement privée d’ énergie cinétique et toujours soumise à la traction de l’ élastique, la Masse ne pourra que s’ incliner devant la Gravité malgré les efforts de l’ aimant et brusquement plonger pour raccourcir le bras à sa côte mini.
Libéré, le bras repart pour un nouveau cycle.
lien :
http://www.conspirovniscience.com/forum ... 21&st=5500
En espèrent que ces précision aideront à comprendre dans quelle mesure un moteur à aimant permanent reste experimentable avec un relatif succès.