Tu es gonflé vu que tu as très clairement écrit: "[j]e ne présume pas (comme tu sembles le faire) que Lépine a tué ces jeunes femmes parce qu'elles étaient des femmes, ni même parce qu'il croyait qu'elle était des féministes."Kraepelin a écrit :Je ne change pas d'avis, je précise ma formulation qui n'était pas assez claire.Jean-Francois a écrit : Tu changes d'avis? Tu admets que Lépine avait un problème avec les femmes?
La première partie de la phrase ne prête pas à interprétation et est une négation du fait qu'il y a eu 14 femmes tuées pour zéro homme. Il n'y a pas à présumer car ce n'est pas un hasard: Lépine a choisi des femmes comme victimes.
Par comparaison, ça, ça tient de la langue de bois:
"[j]e ne nie pas que Lépine ait eu, dans son délire, un problème avec les «féministes» tel qu'il se les représentait (n'importe quelle étudiante de polytechnique devenant automatiquement implicitement une féministe pour lui). Je dis que ça n'a pas la signification que certains lui prête."
L'utilisation de mots-fouines comme "certains", "tel qu'il se les présentait", "féministes"-entre-guillemets maximise les interprétations possibles.
En plus, je me demande comment tu pourrais connaitre SA "représentation du féminisme" ou LA signification de cette représentation puisque tu disais que son "insignifiant verbiage" était sans importance. Tu ne fais preuve de consistance, là.
Chiales-tu parce que je n'ai pas répondu immédiatement à une de tes questions alors que tu venais d'éluder la majeure partie de mon message? C'est un peu puéril.Je fais l'effort de répondre à tes questions. Pourquoi ne fais-tu pas l'effort de répondre aux miennes?
Si tu chiales à propos de la "question de société", précise donc un peu ce que tu entends par là pour que je puisse répondre pertinemment.
Rapprochons donc la digression du sujet:À Christian, Kraepelin a écrit :Mais surtout tu changes un peu le sujet de cette enfilade...
Essaie de prétendre que c'est parce que les femmes signalent plus leur décès aux policiers que les hommesESG2009 a écrit :Les femmes demeurent plus susceptibles que les hommes d’être victimes d’un homicide aux mains de leur conjoint. En 2009, le taux d’homicides sur une conjointe était environ trois fois supérieur à celui des homicides sur un conjoint
 
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Même remarque qu'à Kraepelin: je ne suis pas sûr de quel "enjeu de société" vous parlez.Si je peux me permettre: en quoi le fait que ce type minable avait des problèmes avec les femmes en fait un enjeu de société?
Jean-François




 , laisse-moi rire, en inventant des pseudos maladies mentales, vous (les psys) déculpabilisez  les criminelles, leurs parents, la société de leur responsabilité, Marc Lépine, Guy Turcotte sont de belle exemple du retard dont vous nous faites vivres, si tu veux en parler intelligemment, commencer par vous psychanalysez vous-même.
 , laisse-moi rire, en inventant des pseudos maladies mentales, vous (les psys) déculpabilisez  les criminelles, leurs parents, la société de leur responsabilité, Marc Lépine, Guy Turcotte sont de belle exemple du retard dont vous nous faites vivres, si tu veux en parler intelligemment, commencer par vous psychanalysez vous-même.





 On peut comprendre (ou suspecter) la provenance de sa frustration, comme celle de l'ensemble de la population d'ailleurs, à propos de cas particuliers et hyper médiatisés, comme celui de Turcotte, p. ex, mais cela n'a rien à voir le présent sujet. Dans ce genre de cas, le problème (qui a déjà été soulevé par plusieurs), c'est que le psychiatre qui est choisi par la défense est nécessairement choisi en fonction de son avis qui est en faveur de la défense et vice versa pour le procureur (ou la partie adverse). Il serait de loin préférable qu'il y ait un seul (ou plusieurs) professionnel neutre et impartial qui ne soit pas choisi en fonction de son avis favorable/défavorable par l'une ou l'autre des parties.
  On peut comprendre (ou suspecter) la provenance de sa frustration, comme celle de l'ensemble de la population d'ailleurs, à propos de cas particuliers et hyper médiatisés, comme celui de Turcotte, p. ex, mais cela n'a rien à voir le présent sujet. Dans ce genre de cas, le problème (qui a déjà été soulevé par plusieurs), c'est que le psychiatre qui est choisi par la défense est nécessairement choisi en fonction de son avis qui est en faveur de la défense et vice versa pour le procureur (ou la partie adverse). Il serait de loin préférable qu'il y ait un seul (ou plusieurs) professionnel neutre et impartial qui ne soit pas choisi en fonction de son avis favorable/défavorable par l'une ou l'autre des parties.