Exemple intéressant mais l'article est pour le moins concis et orienté.Pepejul a écrit :Dans ce cas l'ours est humain :
http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes ... cide.dhtml
source à vérifier.
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Exemple intéressant mais l'article est pour le moins concis et orienté.Pepejul a écrit :Dans ce cas l'ours est humain :
http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes ... cide.dhtml
source à vérifier.
Pas souvent été dans une situation d'urgence, de catastrophe ou de premiers soins, hein ?f.didier a écrit : Prends un groupe de dauphins, l'un d'entre eux est soudainement blessé (voir tué), les autres vont fuir.
Chez l'humain, la même situation, les humains autour se précipiter sur lui, vont essayer de la soigner, même si c'est juste que arrêter hémorragie, et si y a toujours danger, le mettre a l’abri.
Je m’intéresse a la zoologie, et c'est une réaction que j'ai rarement (je ne dis pas jamais) vu chez l'animal alors que elle est quasi automatique chez l'humain.
Je dirais, libre arbitre : décisions ne faisant pas l'objet d'une détermination absolue.unptitgab a écrit :Il pourrait être bon de savoir ce que l'on met derrière la notion de "libre arbitre", si c'est le choix de ne pas faire un mouvement par simple nécessité, alors tous les animaux connaissent le libre arbitre. Si c'est la conception religieuse, qui concéde à l'homme une part de liberté vis-à-vis d'un destin là c'est plus difficile à défendre parce qu'il faudrait prouver avant que le déterminisme est un fait.
Ben ouais, c'est sûr, mais t'es trop bête pour saisir que ça voulait juste signifier de parler de l'intelligence que manifestent certains animaux. Ce n'est qu'une nécessité langagière pour informer qu'on parle des animaux autres que « l'Homme », même si ce dernier en est également un.Dorothy a écrit :Visiblement, lorsque tu emploies ici l'expression "intelligence animale", tu exclus l'humain. !
Il est un animal comme les autres, mais quand on veut parler spécifiquement des humains, ben l'on utilise le mot « humain » ou « Homme » dans le but de signifier qu'on ne cause pas de tous les autres animaux. C'est une question pratico-pratique qui ne change rien au fait que l'homme est un animal.Dorothy a écrit :Quand ça vous arrange, l'homme est un animal "comme les autres", et puis des fois, quand ça vous arrange, on fait la distinction entre l'homme et l'animal.
T'es pathétique! Tu passes tes journées à piocher des textes sur le site pour pouvoir ensuite ressortir des bouts de phrases à opposer comme si nous étions tous un seul et même personnage.Dorothy a écrit :Il me semble que c'est Pierre Cloutier, membre fondateur des Sceptiques du Québec...
Donc même le poisson un peu con qui voit du plancton à droite et à gauche et qui décide de manger celui situé sur sa gauche fait preuve d'un libre arbitre?Babel a écrit :
Je dirais, libre arbitre : décisions ne faisant pas l'objet d'une détermination absolue.
PS: je ne me place pas du tout dans une conception religieuse.
PS2 : en faisant des recherches de fils anciens, je vois que la notion a été débattue et rebattue. Je ne sais pas si on peut apporter quelque chose de nouveau à ce qui a déjà été écrit.
C'est très abusif comme exemple. Votre poisson a le choix entre le même et le même. Le fait de se nourrir ne relève pas du libre arbitre.unptitgab a écrit :Donc même le poisson un peu con qui voit du plancton à droite et à gauche et qui décide de manger celui situé sur sa gauche fait preuve d'un libre arbitre?Babel a écrit :
Je dirais, libre arbitre : décisions ne faisant pas l'objet d'une détermination absolue.
PS: je ne me place pas du tout dans une conception religieuse.
PS2 : en faisant des recherches de fils anciens, je vois que la notion a été débattue et rebattue. Je ne sais pas si on peut apporter quelque chose de nouveau à ce qui a déjà été écrit.
Remarquez que je n'affirme pas que le suicide est la preuve du libre arbitre. J'ai tendance à le penser mais je pose la question. Les contre arguments m'intéressent. De ce point de vue, le fait de savoir à quel point on peut ou non parler de suicide chez les animaux peut être révélateur. Ou pas...unptitgab a écrit :Tout comme le suicide peut être la seule solution que l'on trouve pour stopper une douleur, c'est pourquoi la notion de libre arbitre concernant le suicide est étrange, cela signifierait que le suicidé avait le choix entre vie et mort, or le choix qui se propose à lui est douleur ou mort, si la douleur devient trop intense la mort peut devenir une nécessité pour celui qui le vit. Kraepelin serait plus à même de parler du suicide que moi de part son expertise, là est juste la vision que j'en ai.
Salut,unptitgab a écrit :Ou bien l'homme a plus de chance de contracter comme maladie la dépression que les autres animaux, ce qui expliquerait le taux de suicides plus élevé chez notre espèce.
La dépression n'est pas seule cause de suicide. Loin s'en faut.unptitgab a écrit :Ou bien l'homme a plus de chance de contracter comme maladie la dépression que les autres animaux, ce qui expliquerait le taux de suicides plus élevé chez notre espèce.
J'adore tes répliques, toujours surprenantes et finesDenis a écrit :Il est loin d'être impossible que je sois ton père. Si tu me communiquais ta date de naissance, je pourrais consulter mon carnet de rendez-vous aux alentours de 9 mois avant ta première sortie de route. On aurait une meilleure idée sur "à quel point c'est loin d'être impossible". Quant à "être ta mère", je nie formellement. Je m'en souviendrais.
En mettant les humains d'un côté et les animaux de l'autre, tu crées un faux problème. Tu mets l'ensemble des animaux (excluant les humains) dans le même panier et tu conclus que l'entraide n'est pas courante chez les animaux. Si tu ajoutais les humains dans le panier tu pourrais arriver à la même conclusion.f.didier a écrit :Tout ca, je le nie pas, ce que je voulais dire, c'est que ce qui est courant chez l'humain (aider les siens), ne l'est pas chez l'animal.
T'es sûr de ça ?Prends un groupe de dauphins, l'un d'entre eux est soudainement blessé (voir tué), les autres vont fuir.
Pas toujours, comme l'a expliqué Florence.Chez l'humain, la même situation, les humains autour se précipiter sur lui, vont essayer de la soigner, même si c'est juste que arrêter hémorragie, et si y a toujours danger, le mettre a l’abri.
La phrase serait aussi vraie si tu disais:Je m’intéresse a la zoologie, et c'est une réaction que j'ai rarement (je ne dis pas jamais) vu chez l'animal alors que elle est quasi automatique chez l'humain.
Je m’intéresse a la zoologie, et c'est une réaction que j'ai rarement (je ne dis pas jamais) vu chez l'animal alors que elle est quasi automatique chez le lycaon.
Dans le but de se suicider ou dans l'espoir de s'en tirer vivant ?f.didier a écrit :Je vois que deux cas qui me sautent aux yeux, et encore...Babel a écrit :Est-ce qu'on a pu mettre en évidence des signes de suicide chez certaines espèces animales ? Je ne parle pas de se laisser mourir mais bien d'un acte volontaire pour se donner la mort. Est-ce que ça a été observé ?
Les moutons, qui quand ils sont acculés au bord d'une falaise par un loup, préfère sauter que de se laisser dévorer.
Suicide ou désorientation ?Apres y a les mammifères marins qui vont s’échouer volontairement sur les plages, tous les ans, on a des histoires de dauphins ou baleines qu'on retrouve morte échouées.
Aucune idée vu qu'on leur a jamais posé la question. Et si on leur a posée, elles n'ont jamais répondu.Raphaël a écrit :f.didier a écrit : Dans le but de se suicider ou dans l'espoir de s'en tirer vivant ?
Suicide ou désorientation ?
Les perroquets s' auto-mutilent parfois à mort.Babel a écrit :Je doute qu'on ne voit jamais de Seppuku chez les animaux.
Je ne pense pas que ce soit si automatique, la pression d'observation du monde animal augmentant ces dernières années de plus en plus de comportements sont notés qui, il me semble, ne permettent pas d'être si catégorique.f.didier a écrit : Prends un groupe de dauphins, l'un d'entre eux est soudainement blessé (voir tué), les autres vont fuir.
Chez l'humain, la même situation, les humains autour se précipiter sur lui, vont essayer de la soigner, même si c'est juste que arrêter hémorragie, et si y a toujours danger, le mettre a l’abri.
Je m’intéresse a la zoologie, et c'est une réaction que j'ai rarement (je ne dis pas jamais) vu chez l'animal alors que elle est quasi automatique chez l'humain.
Je l'ai trouvé ici, sur Youtube.ce documentaire* sur des sociétés chien-chat-singe et humains dans une moindre mesure est quand même fascinant : les babouins enlèvent des chiots et les élèvent pour les protéger contre leurs prédateurs. La frontière avec les comportements humains est ténue dans ces sociétés animales, les images sont impressionnantes.
(...)
* j'imagine qu'on peut le trouver en streaming mais je n'ai pas beaucoup cherché je dois dire.
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