C'est bien ce qu'il me semblait.curieux a écrit :je sais très bien que la RG explique l'avance du périhélie de mercure.

C'est bien ce qu'il me semblait.curieux a écrit :je sais très bien que la RG explique l'avance du périhélie de mercure.
de l'autre tu disLa RR explique l'avance anormale du périhélie de Mercure par exemple, va donc expliquer ça avec l'absence du vent d'éther..
Pourrais-tu préciser à l'avenir, stp, quand tu utilises le bon côté.je sais très bien que la RG explique l'avance du périhélie de mercure.
Si c'était une pub d'aujourd'hui, le gars se retrouverait en caleçon.Cartaphilus a écrit :Salut à tous.Elle est présente dans le Petit Larousse de 1905.
Et a été malheureusement illustrée :
On avait bien compris que t'avais beaucoup de mal à saisir le sens des phrases qu'on prend la peine de faire. Même avec 5 façons différentes de les exprimer, tu ne cherches pas comprendre dès lors que cela heurte ton idée fixe.richard a écrit :Pourrais-tu préciser à l'avenir, stp, quand tu utilises le bon côté.
Depuis mon abcès au cerveauil y a quelques années j'ai effectivement du mal à saisir pas mal de choses. À cause des séquelles j'ai besoin qu'on soit clair et précis dans ses explications, désolé!On avait bien compris que t'avais beaucoup de mal à saisir le sens des phrases qu'on prend la peine de faire.
Serais-tu d'accord avec cette formulation?les lois de la gastronomie italienne combinées au principe de relativité nous imposent que : τ = τ'
Or donc le temps propre dτ d'un observateur sera le même quand il est immobile par rapport à un repère donné (où l'écoulement du temps est dτo) que lorsqu'il a une vélocité v (l'écoulement du temps est alors noté dτv) par rapport à ce même référentiel: dτ = dτo = dτv.curieux a écrit :En clair, le temps propre c'est celui qui est mesuré dans le référentiel où se trouve l'horloge, donc forcément il ne change pas pour celui qui fait la mesure.
Il y a un seul temps propre. Pourquoi tu lu donne trois indices différents ?richard a écrit :Mais ta formulation plus scientifique est très compréhensible (même moi je la comprends, c'est te dire!)Or donc le temps propre dτ d'un observateur sera le même quand il est immobile par rapport à un repère donné (où l'écoulement du temps est dτo) que lorsqu'il a une vélocité v (l'écoulement du temps est alors noté dτv) par rapport à ce même référentiel: dτ = dτo = dτv.curieux a écrit :En clair, le temps propre c'est celui qui est mesuré dans le référentiel où se trouve l'horloge, donc forcément il ne change pas pour celui qui fait la mesure.
Non, pas si les différents référentiels sont en mouvement les uns par rapport aux autres.richard a écrit :parce qu'il est égal à des temps propres (τo, τv, etc.) de référentiels différents (Eo, Ev, etc.).
Oui. Parce que New-York, Paris et Montréal sont dans le même référentiel.richard a écrit :On pourrait faire pareil pour un voyageur qui se promène de New-York à Paris en passant par Montréal: dτ = dτNew-York = dτMontréal = dτParis
Salut richardrichard a écrit :Or donc le temps propre dτ d'un observateur sera le même quand il est immobile par rapport à un repère donné (où l'écoulement du temps est dτo) que lorsqu'il a une vélocité v (l'écoulement du temps est alors noté dτv) par rapport à ce même référentiel: dτ = dτo = dτv.
Oui ...richard a écrit :Nous pouvons donc conclure que le temps (propre) d'un observateur passe de la même façon que celui-ci soit en mouvement par rapport à un référentiel donné ou qu'il soit immobile dans ce référentiel.
on peut donc en déduire que le temps (propre) d'un observateur en mouvement par rapport à un référentiel donné passe de la même façon que le temps propre de quelqu'un qui est immobile dans ce référentiel.le temps (propre) d'un observateur passe de la même façon que celui-ci soit en mouvement par rapport à un référentiel donné ou qu'il soit immobile dans ce référentiel.
Si tu veux, mais c'est assez malhabile de comparer des grandeurs suivant des axes qui ne sont pas parallèles sans donner explicitement les bornes (évènements début et fin entre lesquels on mesure un intervalle de temps).richard a écrit :puisqueon peut donc en déduire que le temps (propre) d'un observateur en mouvement par rapport à un référentiel donné passe de la même façon que le temps propre de quelqu'un qui est immobile dans ce référentiel.le temps (propre) d'un observateur passe de la même façon que celui-ci soit en mouvement par rapport à un référentiel donné ou qu'il soit immobile dans ce référentiel.
Je l'avais dit !richard a écrit :On peut donc en déduire que le temps propre, τ, d'un observateur en mouvement par rapport à un référentiel donné passe de la même façon que le temps propre, τ°, de quelqu'un qui est immobile dans ce référentiel; soit sous forme mathématique, dτ = dτ°.
Chanur a écrit :Je l'avais dit !richard a écrit :On peut donc en déduire que le temps propre, τ, d'un observateur en mouvement par rapport à un référentiel donné passe de la même façon que le temps propre, τ°, de quelqu'un qui est immobile dans ce référentiel; soit sous forme mathématique, dτ = dτ°.![]()
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Donc, s'il te plaît, précise, pour dτ et dτ° les évènements début et fin de l'intervalle considéré.
Tu enfonces une porte ouverte, ce que tu dis assis, Galilée le disait allongé.richard a écrit :On peut donc en déduire que le temps propre, τ, d'un observateur en mouvement par rapport à un référentiel donné passe de la même façon que le temps propre, τ°, de quelqu'un qui est immobile dans ce référentiel; soit sous forme mathématique, dτ = dτ°.
dτ et dτ° représentent l'écoulement du temps (propre) dans les référentiels respectifs. Ce sont des quantités infinitésimales, aussi pour obtenir la durée d'un événement suffit-il d'intégrer entre le début et la fin d'un processus: Δτ = ∫oτ dτ. On trouve ainsi que le temps de cuisson des pâtes est le même sur Mars, dans une fusée que sur Terre (à pressions égales): Δτp = Δτ°p.pour dτ et dτ° les évènements début et fin de l'intervalle considéré.
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