Raphaël a écrit :Psyricien a écrit :Cette distinction est une chose qui vous est propre. Si vous ne l'explicitez pas, c'est une question impossible à comprendre.
Qu'elle différence faite vous entre une durée (\({\rm d}t\)), et "cours du temps" (également \({\rm d}t\)).
Ma définition du cours du temps rejoint celle d'Étienne Klein:
EK a écrit :D'abord, ce que les physiciens appellent le «cours du temps», qui est le fait que le temps passe. Il est tel qu’on ne peut pas retrouver dans le futur un instant qu’on a déjà traversé dans le passé.
Communément nommé: "irréversibilité du temps"

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M'enfin, je dis ça, je dis rien ...
La définition que vous prenez est dangereuse, elle donne l'impression que vous considérez l'existence de "deux" temps:
-->Le temps au sens de la relativité
-->Un "temps" lié à l'évolution du système (la causalité).
Par dessus cela vous considérez cet "extra-temps" comme absolu. Alors que de base, comme je vous l'expliquait, une telle quantité lié à l'évolution d'un système ne fait sens qu'entre évènements causalement liés.
Cette ambiguïté, ne sert pas à grand chose sinon créer la confusion (et faire les bonheur des "philosophe", qui peuvent se caresser la barbe avec ardeur en y songeant.)
Votre volonté de vouloir voir le temps comme une succession de feuillets 3-D "absolu", est alors vaines ... puisque votre "extra-temps" ne fait aucun sens quand il s'agit de parler d'évènement non causaux (dont l'ordre dans le temps est variable d'un référentiel à l'autre, conformément aux observations).
Cette confusion entre "temps" et "évolution d'un système" ne mène à rien. Quand on parle de chose distincte, on prend soin d'utiliser des mots distinct ... sinon, on n'y entend plus rien

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Quant-à savoir ce qui donne la "direction" de propagation sur l'axe temporel, je vous conseille de jeter un coups d'oeil sur le 4-vecteur vitesse.
-->Comment je mesure cet "écoulement" ?
À l'aide d'une mesure indirecte qu'on appelle la durée. C'est d'ailleurs la bonne façon de procéder puisque les durées collent bien à notre réalité. Sauf que ces durées ont un côté illusoire qui ne permet pas vraiment de comprendre la nature du temps (D'où vient le temps ? Quel est son mécanisme ? Si je voulais créer un nouvel univers, je m'y prendrais comment pour créer le temps ?)
Le temps: Sous-espace de dimension 1 de l'espace-temps dont la signature de la métrique est opposée à celle de l'espace.
D'où vient le temps ? Pas sur que ce soit une question scientifique ça.
Quel est son mécanisme ? C'est comme demander le mécanisme de l'espace. La question est flou.
Créer du temps ? Et créer de l'espace ? On fait comment ?
Les question que vous vous posez sur le temps en particulier, pourrait tout aussi bien être transposer à l'espace.
Mais ces question relève plus de la "métaphysique" que de la "science".
Aussi, vous entrez dans le vain univers des croyances si vous pensez pouvoir y répondre.
-->pourquoi séparer "cours du temps" et durée ?
Parce que dans la durée est une mesure fixe où tout existe "en même temps".
Heu ... détaillé plz

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Mais une durée étant un écart de temps, quand vous considérez une durée non-nulle, assurément cela implique que tout n'existe pas "en même temps", puisque une durée non-nulle indique justement des écarts de temps.
Encore une fois, mots et concept semble danser la samba dans cette affirmation.
Il faut ajouter le cours du temps pour que les instants se succèdent sinon on reste figé dans le temps.
Non, je n'ai pas besoin de deux objet ("cours du temps" et "durée") pour faire évoluer un système.
C'est comme faire la différence entre un chronomètre arrêté et un autre qui avance.
Ce que je lis depuis quelque message ressemble à un mauvais gloubiboulga philosophique. Je commence à me dire que c'est surement parce que s'en est un

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G>
Next one :
Je vous demande une preuve, vous me donnez une définition qui ressemble à s'y méprendre à une pétition de principe. Cette phrase est parfaitement irréfutable ! C'est pas très sérieux ça ...

Oui je vous donne une définition, parce que votre requête était justement invalidé par la définition du mots.
L'Univers est définis en soit comme un système fermé.
Quand j'emploie ce terme, je parle donc d'un système fermé.
Il ne s'agit pas d'une propriété à démontrer, il s'agit d'une propriété qui définie le terme.
Vous saisissez ?
De part ça définition, il n'y a pas "d'extérieur" à l'univers. L'Univers, est donc un système fermé, par définition.
N'ayant personne avec qui échangé de l'énergie, l'énergie se conservent (sauf si vous me trouvé un mécanisme magique à préciser capable de faire disparaitre de l'énergie).
J'ai la désagréable impression que vous vous moquez de moi.

Non, mais ça pourrait venir

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Si un atome(système) emet de l'énergie de sous forme de rayonnement d'énergie, est-il raisonnable d'affirmer que cette énergie n'est plus disponible pour cet atome (système) ?
Pourquoi réduire la taille du système ? C'est comme regarder un match de boxe, et dire en plein milieu: "j’arrête de considérer l'existence d'un des participant". C'est vous qui faites "disparaitre" de l'énergie, car vous considérez légitime de ne plus considérer l'entièreté du système initial. Vous réduisez la taille de votre système, en quoi votre description est "mieux" que celle de quelqu'un qui définie autrement le "système", et conserve dedans tout les participant ?
Ici, vous tirer des conclusions fallacieuses sur la base d'un choix descriptif arbitraire ! Cela ne fait pas très sérieux !
Le temps ne se mesure pas via la variation d'énergie d'un système. Le temps se mesure via des phénomène périodiques. Ce qui invalide votre idée ... aussi dur que cela soit à assimiler

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De même lorsque l’énergie d'un ressort qui se détend se dissipe en chaleur et en mouvement, est-il raisonnable d'affirmer que, l'énergie dissipée n'est plus disponible pour l'horloge (système) ?
Et alors ? Vous croyez que la mesure du temps c'est la quantité d'énergie contenu dans le ressort ? Que né-ni, la mesure du temps c'est la période des oscillations. Mais vous allez encore fuir cela, que la fois précédente sur les "comtoises".
Qu'il est dur de se défaire de ces croyances ...
Etudions le pb voulez vous:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A ... se-ressort
wiki a écrit :La période est indépendante de l’amplitude (isochronisme des oscillations) : elle ne dépend que de l'inertie du système (masse m) et de la caractéristique de la force de rappel (constante de raideur k du ressort)
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En gros, la période de oscillations est indépendantes de l'énergie contenu dans le système. C'est pour ce la que l'on utilise de tel systèmes pour mesurer du temps ... justement parce que même avec des perte d'énergie, la période des oscillations ne change pas.
Cela invalide complètement votre idée ... navré !
Vous jouez sur les mots : notre Univers est composé de matière (jusqu'à preuve du contraire) sauf pour des quantité infime qui ne survive pas à leur passage...
Non je ne joue pas sur les mots ! Vous me demandiez si l'anti-matière existait dans la nature !
Je vous donne la réponse: OUI.
Qu'elle ne vous plaise pas, n'est pas mon soucis premier.
L'anti-matière se produit très bien dans la nature, contrairement à votre assertion !
En passant : le profane que je suis sais bien que l'antimatière existe, je ne suis pas de votre niveau mais pas trop con quand même...
Voulez vous vraiment que je réponde à ça ? (la réponse ne se baserais pas sur vos connaissance empiriques, mais bien sur votre approche des problèmes rencontré ... histoire d'être équitable) C'est une vrai question, a vous de voir

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